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Plan filles et maths

Dans ces deux articles vous avez encore une fois l'idéologie féministe :

La ministre veut des versions moins genrées (bien évidemment filles et femmes ce n'est pas un genre) et elle annonce :

- un lancement du plan "fille et maths"

- attirer plus de femmes dans les formations aux métiers d’ingénieur et du numérique

- un objectif de 50 % de filles dans la spécialité mathématique en terminale en 2030, contre 42 % actuellement, dans le cadre d’un plan « Filles et maths » visant à féminiser les filières scientifiques.

- un rapport (les rapports dont on connaît la conclusion avant l'édition) des inspections générales qui préconise au moins 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 et 30 % en 2030 

- Il faut que les filles choisissent davantage la spécialité maths en première, qu’elles la conservent en terminale et qu’elles prennent en plus l’option maths expertes

- Le premier « pilier » du plan « Filles et maths » présenté par la ministre est « de sensibiliser et de former tous les professeurs dès la rentrée 2025, du primaire au lycée 

De la part de la ministre comme du HCE, l'instauration de quotas ou d'objectifs de féminisation, il n'y a rien de surprenant, cela fait  partie de leur construction sociale et sociétale :

"L’instauration de quotas, terme que la ministre n’utilise pas, est une recommandation de longue date du Haut conseil à l’égalité. Dans son rapport de 2023 portant sur l’invisibilisation des femmes dans le numérique, le HCE  avait préconisé d’imposer des quotas de 50 % de filles dans les spécialités scientifiques (mathématiques, physique) et 30 % minimum en NSI (numérique et sciences informatiques) au lycée."

Les filières STEM comme certaines fonctions et spécialites doivent correspondre au normes féministe. C'est à dire des actions spécifique aux genre féminin, des objectifs de genre et une sanctuarisation de ces objectifs de genre via des rapports, sensibilisation lois,... ), des recrutements, des épreuves, des nominations permettant d'obtenir notre cible de genre.

Le nombre ou le pourcentage féminin serait une égalité. Nous sommes contre cette affirmation et nous dénonçons leurs méthodes et discours.

https://www.huffingtonpost.fr/politique/article/elisabeth-borne-fixe-une-strategie-pour-former-plus-de-femmes-dans-les-filieres-scientifiques_249706.html

La ministre de l’Éducation nationale a annoncé le lancement du plan « Filles et maths » pour attirer plus de femmes dans les formations aux métiers d’ingénieur et du numérique.

POLITIQUE - Les lycées sont appelés à « encourager les filles à choisir et conserver » les maths dans leur cursus. Dans un entretien aux Échos, la ministre de l’Éducation nationale Élisabeth Borne a fixé ce mardi 6 mai un objectif de 50 % de filles dans la spécialité mathématique en terminale en 2030, contre 42 % actuellement, dans le cadre d’un plan « Filles et maths » visant à féminiser les filières scientifiques. 

« Je veux créer des classes aménagées maths et sciences en 4e et 3e. Ces dispositifs existent aujourd’hui pour la musique ou le théâtre et l’objectif est de développer aussi la culture scientifique et technique », a-t-elle précisé sur France Inter ce mercredi 7 mai. 

« On va expérimenter dans cinq académies dès la rentrée et on veut généraliser, avec au moins une classe de ce type dans chaque département, à la rentrée suivante », a-t-elle souligné. Les académies concernées sont celles d’Amiens, de Bordeaux, de Martinique, de Nancy-Metz et de Normandie.

Ces classes permettraient « d’avoir des activités supplémentaires pour découvrir les sciences, les maths autrement avec des chercheurs, des partenaires, que les chefs d’établissements et les recteurs sont en train de rechercher » et « de pouvoir sensibiliser des jeunes à la recherche, à l’expérimentation dans les sciences », a exposé Elisabeth Borne.

La ministre reprend par ailleurs à son compte « l’objectif » d’un rapport des inspections générales qui préconise au moins 20 % de filles dans chaque classe préparatoire scientifique en 2026 et 30 % en 2030.

Le but est de « renforcer la place des femmes dans les filières d’ingénieur et du numérique. Il faut que les filles choisissent davantage la spécialité maths en première, qu’elles la conservent en terminale et qu’elles prennent en plus l’option maths expertes (choisie par seulement 33 % de filles, NDLR) », affirme la ministre dans cette interview aux Échos.

Sensibiliser et former les professeurs

Une étude du ministère de l’Éducation publiée en mars a montré que les filles restent sous-représentées dans les matières scientifiques en terminale générale, en sciences de l’ingénieur ou sciences informatiques et numériques (15 % dans les deux cas), en éducation physique (32 %) et, dans une moindre mesure, en mathématiques (42 %) et physique-chimie (47 %).

Une « première marche » de 5 000 filles supplémentaires est prévue dès la prochaine rentrée, a-t-elle précisé.

L’instauration de quotas, terme que la ministre n’utilise pas, est une recommandation de longue date du Haut conseil à l’égalité. Dans son rapport de 2023 portant sur l’invisibilisation des femmes dans le numérique, le HCE avait préconisé d’imposer des quotas de 50 % de filles dans les spécialités scientifiques (mathématiques, physique) et 30 % minimum en NSI (numérique et sciences informatiques) au lycée.

Le premier « pilier » du plan « Filles et maths » présenté par la ministre est « de sensibiliser et de former tous les professeurs dès la rentrée 2025, du primaire au lycée ». Ce plan à destination des 370 000 professeurs des écoles, 24 000 profs de maths de collège et 12 000 de lycée, devra permettre par exemple que les filles soient plus souvent interrogées en cours de mathématiques, même si elles ne lèvent pas la main.

La dernière étude internationale TIMSS (Trends in International Mathematics and Science Study), publiée en décembre, a fait le constat que les élèves français en CM1 et en quatrième restent parmi les moins bons de l’Union européenne en maths et sciences, avec une hausse de l’écart entre filles et garçons en fin d’école élémentaire. Cet écart est le plus important des pays de l’UE.

 

En termes de message contradictoire, on peut lui faire confiance pour vouloir dégenrer et faire un plan fille, c'est de la cohérence et de la représentation ? En tous cas c'est du sexisme, une construction sociale et sociétale, et de la discrimination sur le genre donc du féminisme.

https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/degenrer-la-devise-du-pantheon-pour-elisabeth-borne-la-question-merite-un-debat_254083.html?utm_source=firefox-newtab-fr-fr

GENRE - « Aux grands hommes, la patrie reconnaissante ». Voilà la devise inscrite sur la façade du Panthéon depuis le XIXe siècle. Mais à l’occasion de sa conférence de presse sur la rentrée scolaire, la ministre de l’Éducation nationale Élisabeth Borne a suggéré d’ouvrir un débat sur cette formule, afin d’aller vers une version moins genrée.

 L’objectif : permettre une meilleure représentation des femmes qui ont participé à écrire l’Histoire du pays. « Cette devise doit reconnaître explicitement la place de Marie Curie, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Germaine Tillion, Simone Veil, Joséphine Baker, et de toutes celles qui les suivront », a déclaré la ministre.  
 

Selon Élisabeth Borne, un tel changement pourrait avoir un impact sur les ambitions des écolières. « Nous pouvons ouvrir toutes les portes des filières scientifiques aux jeunes filles. Mais si en levant les yeux, elles ne voient pas la société reconnaître pleinement la place des femmes dans son Histoire, alors nous leur envoyons un message contradictoire », a-t-elle insisté.

En parallèle, la ministre, qui s’inquiète des disparités de genre dans les filières scientifiques, a annoncé le lancement du « plan Filles et maths » ainsi que l’ouverture de 60 nouvelles classes à horaires aménagées maths et sciences « accueillant au minimum 50 % de filles », afin de mettre fin à un « cercle vicieux ».