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Nous avons décidé de publier des extraits d'un article sur le nombre de femmes dans l'armée Russe. C'est juste ce sujet qui est abordé par la politique extérieure ou soutien quelconque.
Nous pouvons juste faire quelque remarque en russie leur système de réserve s'adresse uniquement aux hommes ce qui peut être compréhensible. Ensuite le fait d'interdire aux femmes nous paré pas approprier. Par contre on préférait la solution du soutien identique. Prenons le cas de l'armée pour l'armée Française comme pour d'autres armées style Otan c'est le nombre de femmes qui signifient une égalité. C'est exactement ce que l'on retrouve dans le civils, pour les ministères, entreprise, textes législatifs. Nous considérons que le nombre de femmes n'est en aucun synonyne d'une égalité de droits ou de progrès sociale.
Dans le secteur civil et militaire le féministe est en oeuvre. Pour le civil ont fait des textes législatifs, des pédagogies, des recrutements, des nominations, des formations, spécifiquement pour les filles et femmes ont fait exactement ce qu'elles condamnent juste pour avoir une représantation sexuée bien entendu aucune construction sociale, aucune discrimination, etc.
Dans les forces armées c'est pareil c'est le nombre de femmes qui est important c'est lui qui détermine si vous êtes "responsable" ou pas. Comme c'est le nombre de femmes qui est important est bien on retrouve ce que l'on fait dans le civil. Dans les recrutements, nominations, pour la répartition par arme et par armée, commissions et réseau. Aucune plainte n'est possible il faut formée les esprits récalcitrant.
Quand on fait des épreuves physiques différentes enfaitent elles sont égales, est quand elles sont identiques comme dans certaines arméed l'unique but est de féminiser. Tout cela pour dire qu'il y a une égalités car on autorise a avoir un pourcentage de femmes élevé comme il a été dit récemment dans un discours présidentiel "il faut garantir l'accès". Je tiens à préciser que les critiques dans les forces armées s'adressent beaucoup sur les normes physiques différentes mais la composition des tests écrits, ou dévaluation peuvent faire augmenter la répartition sexuée de même que structure d'une force armée et ses normes de réussite.
Le féministe que je qualifierais "objectif de féminisation c'est deux plus gros défaut ont été de baser les normes égalité sur les femmes et leur nombre ainsi que l'égalitarisme de représentation. Le féministe n'a jamais concilié les normes de réussite masculine et féminine et considéré l'homme comme un égal.
Avoir des unités féminines où des armes, armées, secteur, grade, avec un pourcentage de femmes faibles n'est pas une égalité. Au contraire ça peut être fait dans un respect mutuel.
Vous l'aurez compris, je l'espère nous sommes contre certaines normes Russes comme celle de l'OTAN nous sommes plus entre les deux. On pourrait penser que les unités féminines constituer une solution. Les armées OTAN même les mêmes plolitiques sociales que dans le civil acés sur le nombre de femmes nous considérons ces politiques comme discriminatoires et ne prenant pas compte l'homme et les garçons comme des égaux.
Le féministe dit une chose et applique autre chose c'est pour ça que dans cette idéologie on retrouve toute beaucoup de points avec les idées de la gauche totalitaire:
Article 1 de la constitution nouvelle version :
« sans distinction de sexe, d’origine, ou de religion ».
Les dispositions mentionnées ci-dessus ne font toutefois pas obstacle à l’intervention de mesures temporaires prises au seul bénéfice des femmes visant à établir l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, en particulier en remédiant aux inégalités de fait qui affectent les chances des femmes.
C'est des mesures temporaires qui sont obligées de durée pour deux raisons principales :
- Aucun calendrier de retrait et ça ne peut s'appliquer aux féministes ce n'est pas conforme à l'idéologie
- Elles adorent l'égalitarisme sexué leur égalité est basée sur le nombre de femmes c'est ça droits des femmes ce n'est pas futé mais il en est ainsi
- L'idéologie qui même et impose tous une série d'endoctrinements et d'action pour les normes sociétales qu'elle rêve ne peut être qualifié de temporaire maintenant elles sont prisonnières de leur idéologie
Le féministe n'a rien contre l'action ou le fait :
- De discriminer
- Les stéréotypes
- La construction sociétale sexuée
- Les mesures et actions spécifique et sexuée
- La répartion sexué
- L'égalitarisme idéologique
- Les financements spécifiques
- Les limitations de genre
- Le discours misandre
- La censure
Voici un article qui fait mention de l'emploi des femmes dans les forces armées russes nous avons traduit plusieurs passages ci-dessous :
Dans cet article, je soutiens que les rôles de genre traditionnels qui mettent l'accent sur la reproduction et les doutes de haut niveau sur la compétence féminine sont des facteurs clés limitant le rôle des femmes dans les forces armées russes.
À moins d'une pénurie d'hommes en âge de servir, il est peu probable que l'analyse coûts-avantages de Moscou change, et une représentation accrue des femmes dans l'armée russe, que ce soit en proportion ou en ampleur, reste improbable à court terme.
Bien que les femmes aient longtemps servi comme volontaires dans l'armée russe (et anciennement soviétique), les femmes ont été officiellement autorisées à s'enrôler sous contrat en novembre 1992 par décret présidentiel
En mai 2020, le ministre de la Défense Shoygu a déclaré qu'il y avait environ 41000 femmes enrôlées dans les forces armées russes, ce qui représente environ 4,26% du total des forces en service actif, selon les chiffres officiels. Bien qu'il s'agisse d'une légère réduction par rapport aux totaux de 2018 (44 500), un total d'environ 35 000 à 45 000 a été assez constant pour la Russie au cours des 10 dernières années. Comparé à une proportion de 10 % dans les années 2000, ce taux a cependant plus que diminué de moitié. Le taux actuel accuse un retard considérable par rapport à la plupart des pays occidentaux ; à titre de référence, les femmes représentent 16,5% des forces armées aux États-Unis. Le taux de la Chine serait d'environ 9 %.
Une fois enrôlées, les femmes servent dans des unités aux côtés des hommes plutôt que dans des unités séparées par sexe. Des casernes et des toilettes séparées sont réservées aux femmes, dont les coûts sont une raison souvent citée pour limiter la proportion de femmes qui servent. Les femmes servent dans l'armée, les forces aérospatiales, la marine (bien que sur certains navires uniquement) et les forces de fusée. Cependant, tous les rôles ne sont pas ouverts aux femmes ; alors que le nombre de pays qui autorisent les femmes à occuper des rôles de combat augmente régulièrement, les femmes russes ne sont pas autorisées à occuper des rôles de combat de première ligne et sont donc généralement interdites de service dans les avions, les sous-marins ou les chars. Bien que la liste complète soit classifiée, les femmes ne sont pas autorisées à être mécaniciennes et à exercer des fonctions de sentinelle.
La conscription dans l'armée russe, bien qu'obligatoire pour les hommes âgés de 18 à 27 ans, ne s'applique pas aux femmes, comme c'est le cas en Norvège ou en Israël, par exemple, bien que l'idée ait été lancée par des membres de la Douma dans le passé. Les femmes qui souhaitent s'enrôler dans les forces armées russes doivent passer un examen physique modifié et subir un test de grossesse avant leur admission.
Une partie de ce faible taux peut être attribuée à la vision plus traditionnelle de la Russie sur les rôles de genre, y compris l'accent social mis sur la reproduction. En dehors de l'armée également, un ordre de Vladimir Poutine interdit actuellement aux femmes plus de 450 professions dans un certain nombre d'industries, la crainte étant qu'une activité trop intense n'interfère avec la capacité d'avoir des enfants. Bien que le ministère du Travail s'efforcerait de réduire ce nombre à 100 d'ici 2021, les emplois restreints comprendront toujours l'exploitation minière, la construction, la métallurgie, la lutte contre les incendies ou les travaux impliquant le levage de charges lourdes, la plongée, la manipulation de produits chimiques dangereux, le soudage ou la réparation d'aéronefs.
L'analyse montre que malgré une certaine augmentation du discours public sur l'égalité des sexes ces dernières années, les attitudes des Russes à l'égard des rôles de genre ont en fait « reculé » en faveur du traditionalisme. Un sondage réalisé en 2020 par le VTsIOM, géré par l'État, jette un éclairage considérable sur les opinions sur les rôles de genre et l'enrôlement parmi les Russes. Soixante-trois pour cent des répondants ont déclaré qu'ils ne voudraient pas qu'une fille serve dans l'armée, tandis que 62 pour cent ont déclaré qu'ils aimeraient voir un fils servir. Fait intéressant, ceux qui aimeraient voir leurs filles servir avaient des raisons différentes pour lesquelles ce serait un bon choix (13 % - pour assurer la discipline ; 11 % - pour assurer la stabilité) par rapport à ceux qui voudraient que leur fils serve (25 % - parce que c'est un travail d'homme ; 15 % - parce qu'il est associé à la protection de la patrie et de la famille). La principale raison pour laquelle les répondants ne pensaient pas qu'une fille devrait servir était « l'armée n'est pas l'affaire d'une femme, l'armée est pour les hommes » (42 %), tandis que les principales raisons pour lesquelles les répondants ne voulaient pas qu'un fils serve étaient la peur pour sa vie ( 17 pour cent). Selon une étude de 2010, la plus grande proportion de femmes enrôlées sert par nécessité financière (67 %) tandis que seule une petite proportion (6 %) est orientée professionnellement.
Cependant, le problème n'est peut-être pas aussi simple que "les femmes russes ne veulent pas servir". En fait, Shoygu a noté que la concurrence pour les universités militaires est encore plus élevée pour les femmes que pour les hommes, avec 27 femmes postulant pour chaque siège. Dans de nombreux cas, les femmes se voient refuser l'enrôlement parce qu'elles recherchent des rôles restreints. Selon un article du TASS de juillet 2020, une femme nommée Yana Surgaeva a été refusée par des recruteurs militaires et a émis une lettre de refus déclarant que "l'approbation du service militaire par des femmes en tant que chauffeur, mécanicien, tireur d'élite ou artilleur n'est pas autorisée". Surgaeva a poursuivi le ministère de la Défense et la Garde nationale, faisant appel à la fois devant la Cour suprême et la Cour constitutionnelle, qui ont toutes deux refusé d'entendre l'affaire.
La compétence des femmes pour le service militaire est régulièrement remise en question dans le discours public. Les universitaires et les responsables russes soutiennent que les différences psychologiques et physiologiques perçues, telles qu'une densité osseuse plus faible et une émotivité accrue, rendent les femmes moins adaptées à certains rôles. Par exemple, selon le psychologue militaire Yevgeny Zhovnerchuk, les femmes sont mieux adaptées aux rôles d'opératrices de centre de communication ou d'infirmières parce que « les femmes sont plus méticuleuses et attentives que les hommes ; ils sont mieux à même de faire face à un travail monotone, simple et mécanique. Le sentiment général concernant le service féminin peut être résumé par l'ancien président du comité de défense de la Douma d'État et ancien commandant de la flotte de la mer Noire, l'amiral Vladimir Komoedov : « Une femme peut se voir confier beaucoup de choses : elle peut être opératrice radio, parachutiste, traducteurs. . . Bien sûr, vous n'avez pas besoin de mettre une femme dans un tank ou un avion de chasse, mais il y a un certain nombre d'endroits où il est trop facile pour un homme de servir, mais une femme serait parfaite."
Many Russian women, such as Russia’s High Commissioner for Human Rights Tatiana Moskalkova, chairman of For the Rights of Women in Russia Lyudmila Aivar, and Open New Democracy Foundation vice president Anna Fedorova have been vocal in calling for reforms to better include women in the Russian military. For example, Moskalkova believes that limiting conscription to males is a violation of women’s rights as Russian citizens.
Les pays intègrent généralement leurs forces armées pour l'une des deux raisons suivantes : (1) pour répondre à une tendance mondiale en matière de réforme de l'égalité des sexes, souvent en raison de demandes nationales visant à supprimer les restrictions fondées sur le sexe, ou (2) pour augmenter le personnel total, comme on le voit dans les petites pays avec de multiples adversaires (comme l'Érythrée ou Israël), ou en temps de guerre. Une question logique à se poser est donc la suivante : la Russie a-t-elle particulièrement besoin de femmes pour servir dans l'armée ?
Bien qu'il n'y en ait peut-être plus besoin maintenant, alors que les effectifs actuels de la Russie approchent les 90 à 95 %, la Russie a fait face à des pénuries prolongées de personnel militaire dans son passé récent. Selon un responsable de l'état-major général, les niveaux d'effectifs sont tombés à environ 70 % en 2012. Pour atténuer les pénuries, la Russie a mis en place une campagne agressive pour réprimer les esquives. De plus, pour faire face à un déficit d'officiers, la Russie a eu recours à des mesures "non standard", notamment : inciter les forces à la retraite ou de réserve à reprendre le service actif, raccourcir la période de formation dans les académies militaires de cinq à quatre ans et prolonger la durée de vie professionnelle. pour certains postes, dont les pilotes. D'après les estimations actuelles du personnel, ces efforts semblent avoir été couronnés de succès. Cependant, le fait que le ministère de la Défense ait fait peu d'efforts apparents pour recruter des femmes pendant cette période met en évidence la persistance des rôles et des préjugés sexistes dans la mentalité russe. Un observateur pourrait se demander : n'est-ce pas une source évidente de main-d'œuvre qui est négligée ?
À plus long terme, certains prédisent que la Russie connaîtra une baisse de population à partir de 2033 environ, ce qui pourrait également inciter les décideurs à intégrer davantage les forces armées.
Aujourd'hui, en raison d'une perception sociétale des femmes qui imprègne les plus hauts niveaux du ministère de la Défense, le rôle des femmes dans les forces armées russes reste limité et genré. Cette mentalité, qui met l'accent sur l'importance de la reproduction et de la maternité, et ne considère pas les femmes comme particulièrement qualifiées pour des rôles trop compliqués ou épuisants, est probablement encore enracinée par un taux de naissance à décès défavorable.
Des obstacles importants indiquent que le statu quo demeurera : manque de pression de la société civile, coûts d'infrastructure associés à l'intégration du genre, violence et agression sexuelle, et opinions omniprésentes sur le genre parmi les plus hauts gradés et le public. À moins d'un changement dans l'opinion publique concernant les rôles de genre traditionnels ou d'une tendance démographique qui réduit l'offre d'hommes en âge de travailler, une augmentation substantielle de la représentation des femmes est peu probable à court terme.
Nous ne partageons pas toutes les méthodes russes mais dans l'article il n'est mentionné plusieurs choses que vous pouvez retrouver dans les différentes rubriques de notre site.
La première et que les femmes intégrées à l'armée ne passent pas les mêmes critères physiques que les hommes pour la même unité opérationelle
Ces mêmes critères sont remis en cause suprimmer adapter et/ou modifier pour augmenter le nombre de femme
Les hommes et les femmes n'étant pas identique ils font des choix de carrières différent, ont des normes de réussite différents le changement de mentalité vise une société égalitariste. Pour reprendre un passage d'un projet de loi Européen ""que l'égalité entre hommes et femmes ne peut se résumer à pousser les femmes à adhérer au modèle de réussite imposé par les hommes"
Ensuite l'emploi des femmes dans les armées s'accompagne de quota et d'objectif de féminisation en 1996 lors de la décision de professionaliser l'armée Française l'objectif était d'avoir 20 % de femmes, l'armée anglaise à alléger ses critères en 1998 et veut désormais 30 % de femmes en allemagne a compétence égale une femme à la préférence égale.
https://prepa-concours-gendarmerie.fr/sites/default/files/28_presentation_epg.pdf
Tractions: 6 fois 36 kg hommes, 25 kg femme
Poussées: 6 fois 36 kg hommes, 25 kg femmes
Le candidat doit soulever un poids (sac de sable) de 45 kg pour les hommes et de 25 kg pour les femmes, le transporter, en se servant uniquement de ses bras, sur une distance de 15 mètres et le reposer sur le sol en douceur.
https://fr.wikihow.com/se-pr%C3%A9parer-pour-suivre-la-formation-de-base-des-marines-am%C3%A9ricains
La course d'endurance : il est demandé aux hommes de courir 1,5 mile (2,4 km) en 13 min 30 s au plus et aux femmes de couvrir la même distance en 15 minutes au plus.
Les tractions à la barre fixe : les hommes doivent effectuer trois tractions complètes. Les femmes doivent se tenir en suspension à une barre fixe pendant quinze secondes, les bras fléchis et le menton sans contact au-dessus de la barre. Sachez que l'entrée en vigueur de l'exigence des trois tractions pour les femmes prévue pour 2014 a été reportée
La course d'endurance : les hommes doivent courir 3 miles (4,8 km) en 28 minutes au plus et les femmes doivent couvrir la même distance en 31 minutes au plus.
Familiarisez-vous avec les normes du test d'aptitude au combat. Les marines doivent réussir ce test tous les ans. Il permet d'évaluer la capacité du soldat à utiliser ses aptitudes physiques sur le champ de bataille. Le test d'aptitude au combat comprend trois épreuves notées chacune sur 100 points. Par conséquent, la note maximale qu'il est possible d'obtenir à ce test est de 300 points. Les notes minimales varient en fonction de l'âge et du sexe de la recrue [4] .
Le parcours sportif : il s'agit d'un parcours d'obstacles sur une distance de 805 m, qui permet d'évaluer la rapidité et l'endurance de la recrue. Le temps maximum autorisé pour couvrir ce parcours, est de 2 min 45 s pour les hommes et de 3 min 23 s pour les femmes.
Soulever une caisse de munitions : la recrue doit soulever au-dessus de sa tête, autant de fois que possible, une caisse de munitions pesant 13,6 kg, jusqu'à aligner le bras et l'avant-bras. La note maximale est obtenue au bout de 91 levées pour les hommes et 61 pour les femmes.
Manœuvrer sous le feu de l'ennemi : cette épreuve comprend diverses tâches de combat, comme courir, ramper, porter des charges, lancer des grenades, etc. Le temps maximum autorisé est de 2 min 14 s pour les hommes et 3 min 01 s pour les femmes.
https://www.recrutementarmee.com/tests-sportifs.php
Test Luc Léger 8 pour les hommes 7 pour les femmes, lancer de balles 12 mètres contre 9 mètres.
https://www.amf69.fr/wp-content/uploads/2018/02/20180125-fiche-r%C3%A9flexe-correspondant-defense.pdf
tests physiques
réaliser 7 tractions complètes en pronation (position basse entre chaque traction) ;
test d’endurance « Luc léger » : atteindre le palier le plus élevé.
Les US Marines comptait environ pour 186 000 militaires d’active (dont 6% de femmes). Avec des mesures spécifiques aujourd'hui ce nombre doit être plus élevé comment on y arrive. Quand vous avez une armée avec des tests identiques, vous pouvez employer certains mots ou certaines valeurs quand vous comemcez a faire des différences une partie de vos fondamentaux s'échappe.
Les normes sociales et culturelles Occidentales sont autant critiquables elles sont visibles de l'école sans oublier le secteur civil et cette idéologie est employé dans l'armée. Un exemple voici un texte récemment voté a l'assemblée
https://www.assemblee-
Il manque de salarié dans le numérique, le bâtiment, chirurgien trop d'hommes, les STM, on ne sait pas comment augmenter les effectifs militaires on propose le féminisme et ses normes à oui les talents et les campagnes de recrutement ciblées c'est femme. Je rappelle que des campagnes de recrutement spécifique aux femmes existent pour les domaines elles ont un réseau dans chaque domaine qui ne critique jamais lesdites méthodes employé le poids des stéréotypes féministes sont trop importants.
On a plus le droit de dire l'expression "femme quota" pourtant c'est la méthode féminisme c'est comme ça qu'elles voient la société. Les gens ont tendance à oublier les quotas et les adaptations pour les atteindre.
L'école occidentale mais en oeuvre le féministe des places sont réservés aux femmes donc ils faut les remplir cependant on peut critiquer les méthodes par exemple :
Une initiative inspirée de celle de Rubika, l'école de Valenciennes qui, depuis 2019, possède sa charte de l'"équité, respect, éthique". Une école, la Ada Tech School, dans le 4e arrondissement de Paris, formant aux métiers de l'informatique en général, a même été créée en 2019 avec pour objectif d'en finir avec les codes du masculinisme dans l'univers de la tech et du jeu vidéo, à travers une pédagogie inspirée de l'école Montessori mettant en avant le féminisme. La compétition, pourtant la règle dans ce type d'établissement, y est absente et les salles de classe inexistantes. L'école tire d'ailleurs son nom d'Ada Lovelace, une informaticienne qui écrivit le tout premier code informatique.
Les forces armées comme beaucoup d'autres domaines le pourcentage de femmes ne seraient pas le même sans l'idéologie les 16 % de l'amé américaine ou les 15 % de l'amée Française seraient très inférieurs.
On peut moderniser les forces sans avoir un nombre de femmes élevé de la même manière on peut s'interroger sur ce qui peut attirer les hommes dans l'armée ensuite l'armée et vu comme un bastion masculin un homme militaire n'est pas un stéréotype comme un homme qui choisit à être pilote de char, de chasse, grenadier voltigeur, chef de char, sous marinier, artilleur, commando
https://www.csis.org/blogs/post-soviet-post/women-russian-military
From the all-women Death Battalion led by Maria Bochkareva in the Russian Revolution, to the 588th Night Bomber Regiment, dubbed the “Night Witches” by the Nazis they fought in World War II, lore of women defending the Motherland is well-known among Russians. Yet, in modern day Russia, a fairly low number of women serve in the military, despite an expanded force structure approaching one million active duty personnel. Why is this the case? In this piece, I argue that traditional gender roles that emphasize reproduction and high-level doubts about female competency are key factors limiting the role of women in the Russian Armed Forces. Barring a shortage of military-aged males, Moscow’s cost-benefit analysis is unlikely to change, and increased female representation in the Russian military—whether in proportion or scope—remains improbable in the near term.
Though women have long served as volunteers in the Russian (and formerly, Soviet) military, females were officially permitted to enlist on contract in November 1992 by presidential decree. In May 2020, Minister of Defense Shoygu stated that there were approximately 41,000 women enlisted in the Russian Armed Forces, which constitutes roughly 4.26 percent of total active duty forces, according to official figures. Though this is a slight reduction compared to the totals in 2018 (44,500), a total of around 35,000 to 45,000 has been fairly consistent for Russia over the past 10 years. Compared to a proportion of 10 percent in the 2000s, however, this rate has more than halved. The current rate lags considerably behind most Western countries; for reference, women make up 16.5 percent of the armed forces in the United States. China’s rate is believed to be around 9 percent.
Conscription in the Russian military, though mandatory for males between the ages of 18 and 27, does not apply to females, as it does in Norway or Israel, for example—though the idea has been floated by Duma members in the past. Women who wish to enlist in the Russian Armed Forces must pass a modified physical exam and are tested for pregnancy before admission. While foreign men are allowed to join the Russian military, which is incentivized by a path to Russian citizenship, foreign women are not.
Once enlisted, women serve in units alongside men rather than units segregated by gender. Separate barracks and restrooms are dedicated for women, the costs of which are an oft-cited reason for restricting the proportion of women who serve. Women serve in the Army, Aerospace Forces, Navy (although on certain ships only) and Rocket Forces. However, not all roles are open to women; while the number of countries that allow women to hold combat roles is steadily increasing, Russian women are not permitted in frontline combat roles and are therefore typically restricted from service on aircraft, submarines, or tanks. Though the full list is classified, women are also restricted from being mechanics and from performing sentry duties. In large part, enlisted women serve in communications, medicine, psychology, or as clerks, musicians, or facility staff. Shoygu noted that of the 41,000 women serving, about 4,000 are officers, including 44 colonels. If there are women serving at a higher rank than colonel, they were not mentioned.
Some of this low rate can be attributed to Russia’s more traditional view of gender roles, including the social emphasis on reproduction. Outside of the military, too, an order from Vladimir Putin currently prohibits women from more than 450 professions across a number of industries—the fear being that overly strenuous activity might interfere with one's ability to bear children. Though the Labor Ministry is reportedly working to reduce this number to 100 by 2021, restricted jobs will still include mining, construction, metalwork, firefighting, or jobs that involve heavy-lifting, diving, handling hazardous chemicals, welding, or aircraft repair.
Analysis shows that despite some increase in public discourse about gender equality in recent years, Russians’ attitudes towards gender roles have actually “retreated” in favor of traditionalism. A 2020 poll by state-run VTsIOM sheds considerable light on views about gender roles and enlisting amongst Russians. Sixty-three percent of respondents said they would not want a daughter to serve in the military, whereas 62 percent said they would like to see a son serve. Interestingly, those who would like to see their daughters serve had different rationales for why it would be a good choice (13 percent - to provide discipline; 11 percent - to provide stability) versus those that would want their son to serve (25 percent - because it is a man’s job; 15 percent - because it is associated with the protection of the Motherland and family). The primary reason respondents did not think a daughter should serve was “the army is not a woman's business, the army is for men” (42 percent), whereas the top reasons respondents did not want a son to serve was fear for his life (17 percent). According to a 2010 study, the largest proportion of female enlistees serve out of financial necessity (67 percent) while only a small proportion (6 percent) are professionally oriented.
When women—commonly described as “the weaker sex”—do serve in the Russian military, they do not escape traditional gender stereotyping. For example, it is not uncommon for the Russian ministry of defense to organize beauty pageants or cooking competitions amongst its female enlistees.
Fears of gender-based violence may also play a role, as reports of rape and sexual assault even against men in the Russian military are common. An extreme practice of violence, bullying, and hazing, known as dedovshchina is acknowledged as a severe issue in the Russian military. In 2006, the Russian military reported 292 deaths related to dedovshchina alone. In fact, attempting to combat hazing was a key factor in the decision to shorten the period of conscription from two years to one. Statistics show that post-2008 military reforms have not been able to successfully eradicate this practice, with hundreds or sometimes thousands of incidents reported in any given year. According to a 2017 VTsIOM poll, dedovshchina remains the number one factor behind individuals’ reluctance to enter the Russian military (51 percent), ahead of the fear of being deployed to a hotspot (40 percent).
However, the problem may not be as simple as “Russian women do not want to serve.” In fact, Shoygu noted that competition for military universities is even higher for women than for men, with 27 women applying for every seat. In many cases, women are turned away from enlistment for seeking restricted roles. According to a July 2020 TASS article, a woman named Yana Surgaeva was denied by military recruiters and issued a refusal letter stating "the approval of military service by women as a driver, mechanic, sniper or gunner is not permitted.” Surgaeva sued the Ministry of Defense and National Guard, appealing both to the Supreme Court and Constitutional Court, both of which refused to hear the case.
Female competency for military duty is routinely questioned in public discourse. Russian academics and officials alike argue that perceived psychological and physiological differences, such as lower bone density and heightened emotionalism, make women less suited for certain roles. For example, according to military psychologist Yevgeny Zhovnerchuk, women are better suited for the roles of communication center operators or nurses because “women are more meticulous and attentive than men; they are better at coping with monotonous, simple, mechanical work.” The general sentiment regarding female serviceship can be summed up by the former State Duma defense committee chairman and ex-commander of the Black Sea Fleet, Admiral Vladimir Komoedov: “A woman can be entrusted with a lot: they can be radio operators, parachutists, translators . . . Of course, you don't need to put a woman in a tank or a fighter plane, but there are a number of places where it is too easy for a man to serve, but a woman would be just right."
In the few cases where women have served as pilots or in other restricted roles, they have had to petition the government for special permission, even sending hand-written notes to Shoygu. At the same time, it seems these women are disproportionately highlighted in Russian media, inflating the perception that female representation is robust and unrestricted.
Many Russian women, such as Russia’s High Commissioner for Human Rights Tatiana Moskalkova, chairman of For the Rights of Women in Russia Lyudmila Aivar, and Open New Democracy Foundation vice president Anna Fedorova have been vocal in calling for reforms to better include women in the Russian military. For example, Moskalkova believes that limiting conscription to males is a violation of women’s rights as Russian citizens. She believes that conscription for women should be introduced on a voluntary basis, so that all girls who have reached the age of 18 are sent an offer to serve through the draft, and then can decide for themselves whether to go or not. Overall, however, pressure from civil society does not seem to be sufficient to significantly alter the status quo of female serviceship, considering the degree of conservatism associated with the Ministry of Defense, and with the Russian government in general.
Countries typically integrate their armed forces for one of two reasons: (1) to meet a global trend in gender equality reform, often due to domestic demands to remove gender-based restrictions, or (2) to increase total personnel, as seen in smaller countries with multiple adversaries (such as Eritrea or Israel), or during wartime. A logical question to ask, then, is: does Russia particularly need women to serve in the military?
Although there may be little need now, as Russia’s present manning levels approach 90-95 percent, Russia has faced prolonged shortages of military personnel in its recent past. According to an official of the General Staff, manning levels dropped to around 70 percent in 2012. To mitigate shortages, Russia implemented an aggressive campaign to crack down on draft dodging. Additionally, to address a deficit of officers, Russia resorted to “non-standard” measures, including: inducing retired or reserve forces to return to active duty, shortening the training period at military academies from five to four years, and extending the professional lifespan for certain posts, including pilots. Based on current personnel estimates, these efforts seem to have been successful. However, the fact that the Ministry of Defense made little apparent effort to enlist women during this time highlights the durability of gender roles and biases in the Russian mentality. An observer might ask: Isn’t an obvious source of manpower being overlooked?
Recently, Putin expanded force requirements, increasing an authorized level of one million active duty personnel to 1,013,628. He also expressed his intent to move away from the draft by professionalizing Russia’s forces. A professional force made of volunteer contractors is seen as preferable to conscription in that it retains talent longer; with Russia’s present 12 month draft terms, conscripts only have about 6-9 months of useful service after completing training. According to official statistics, currently, about 405,000 of roughly 960,000 active duty personnel are kontraktniki, with a stated goal of increasing this number to nearly 500,000 by 2027. Perhaps female enlistees will help meet these goals. Looking farther out, some predict that Russia will undergo a population dip starting around 2033, which may also influence decisionmakers to further integrate the Armed Forces.
Today, due to a societal perception of women that permeates the highest levels of Ministry of Defense, the role of women in the Russian Armed Forces remains limited and gendered. This mentality, which emphasizes the importance of reproduction and motherhood, and doesn’t see women as particularly qualified for overly complicated or strenuous roles, is likely further entrenched by an unfavorable birth-to-death rate (10.1 to 12.3 out of 1,000, pre-Coronavirus figures).
Significant obstacles indicate that the status quo will remain: lack of pressure from civil society, associated infrastructural costs of gender integration, violence and sexual assault, and pervasive views about gender among the highest ranks and public alike. Barring either a shift in public sentiment regarding traditional gender roles, or a demographic trend that reduces the supply of service-aged males, a substantial increase in female representation is unlikely in the near term.
https://fabiusmaximus.com/2020/03/28/bad-and-good-history/
As excellently written as it is, Night Witches has little resemblance to the people and events it is allegedly about. His looseness with the facts begins with the title. Myles shares stories of these women, including some remarkably accomplished pilots and the only women flying aces (Yekaterina Budanova and Lydia Litvyak). But only the 588th Night Bombers were “Night Witches.” Myles presumably decided to use it as a blanket term for all the women’s regiments. One can only guess why he did this. Maybe because Night Witches is such a catchy term.
It gets worse from there. The Night Witches were not a “Russian” unit. They were a Soviet unit; some were from Russia, particularly Moscow, but they were a diverse group with members from states across the continent, including Kazakhstan, Crimea, Siberia, and Ukraine. At least one of the pilots was a Tatar. While technically within Russian borders, Tatars are a distinct people with their own language and culture. Again, why did Myles do this? Most likely because “Russian” is more easily recognizable. Maybe he wanted to distance his book from the Cold War anti-Soviet politics of the time.
When the Night Witches achieved international fame, in large part due to Myles’ book, their story immediately began to clash with a hegemonic narrative of the modern world: feminism. It’s a clash that seems strange at first glance. Why would brave female flyers be contradictory to feminism? Particularly in the last several decades when there’s been growing pressure to include more women in Western militaries. Ultimately, the feminist narrative isn’t about women fighting. It’s about why they fight.
As stated earlier, bad information drives out the good. Myles succeeded in capturing the public’s imagination; the Night Witches have been featured or referenced in history books, novels, movies, and television many times since then. Unfortunately, many, perhaps most, of these works rely on Myles’ book, and those works’ creators assume Myles is a reliable source, when even a cursory glance at the text shows it isn’t. Myles’ imaginary account was a best seller and remains popular to the present day. More accurate accounts, including, ironically, the published works of the Night Witches themselves are drowned out. Though some of these accounts were eventually translated into English, most are out of print, and none came close to the distribution that Myles enjoyed.
This brings us to the most important question: Why? It’s the narrative. The hegemonic narrative of Western Civilization today is feminism. The primary enemy of feminism is the patriarchy. Myles depicted the Soviet military bureaucracy as sexist and discriminatory toward women. This message only grew in later books. Articles and documentaries published by the New York Times, Vanity Fair, and other major outlets often depict the Night Witches’ own country as their primary adversary. This fits the “G.I. Jane” narrative of a determined female soldier overcoming bigotry of her own male team members. Her goal is recognition for her achievements.
In reality, there’s really no significant evidence of sexism in the Soviet war machine of the time. None of the female aviators of the Great Patriotic War expressed any feeling of mistreatment publicly, and their private diaries and letters that have been released don’t either. They volunteered for the front to fight the Nazis, and that’s what they did.
Their male counterparts don’t appear to have felt any hostility toward the women’s air regiments either. Quite the opposite, men heaped praise on them for leaving the safety of home to fight.
General Konstantin Vershinin commanded the 4th Air Army, with five newly-awarded Heroes of the Soviet Union from the Night Bomber Regiment in 1944. Vershinin was skeptical when the Night Witches first arrived, but quickly became one of their biggest supporters. Even during periods they fell outside his command, he sent advice and encouragement.
Night Witches did face sexism, but not from the Soviets. The Germans did not appreciate being bombed by women.
“My co-pilot and I had agreed we’d never land on enemy territory. We decided better to crash the plane than be taken prisoner. A lot of us took that decision. You wouldn’t want to be a Night Witch in captivity. We’d have been doomed to torture.”
— Klavdia Deryabina, interviewed in 2001 by the LAT.
Nor did Russia’s allies share the enthusiasm for women in combat. The unit’s regimental commander sent one of her most highly decorated pilots, Maria Smirnova, to an anti-fascism conference in 1944. The Western news media couldn’t believe that a woman was capable of flying in combat.
https://www.nato.int/docu/handbook/2006/hb-fr-2006.pdf
Un principe fondamental d’application générale est l’amélioration de la parité hommes-femmes et de la diversité du personnel travaillant au siège de l’OTAN.
Le Bureau du personnel féminin des forces de l’OTAN
Ce bureau assure le secrétariat du Comité du personnel féminin des forces
de l’OTAN (CWINF) et lui donne des avis. Il est responsable de l’élaboration
d’un réseau regroupant des organisations de défense et d’autres organisations
internationales qui s’intéressent à l’emploi de personnel militaire féminin, fait
des exposés sur l’intégration du personnel féminin et collecte et gère les infor-
mations pertinentes pour les diffuser aux pays membres, aux pays partenaires,117
aux pays participant au Dialogue méditerranéen et à différents chercheurs et
organismes internationaux. Le Bureau sert de point de convergence au sein
de l’Alliance pour toutes les questions relatives au recrutement, à l’emploi, à
la formation, au développement et à la qualité de vie du personnel militaire
féminin. Il étudie également leurs conséquences s'agissant de l'état de prépa-
ration de ce personnel et de son aptitude à travailler dans un environnement
multinational lors de missions dirigées par l'OTAN.
https://www.nato.int/cps/fr/natohq/news_55157.htm?selectedLocale=fr
Le Comité du personnel féminin des forces de l'OTAN tient sa réunion annuelle du 2 au 5 juin au siège de l’OTAN à Bruxelles. La princesse Astrid de Belgique a prononcé un discours introductif lors des sessions de la première journée qui avaient pour thème l’application par l’OTAN de la résolution 1325 du Conseil de sécurité de l’ONU sur les femmes, la paix et la sécurité.
Cette résolution reconnaît qu’il faut tenir compte des effets de la guerre sur les femmes et que celles-ci doivent jouer un plus grand rôle dans les opérations de maintien et de soutien de la paix. « La résolution 1325 montre que les questions relatives aux femmes et à l’égalité des sexes peuvent jouer un rôle essentiel pour favoriser la consolidation de la paix et la stabilisation des pays », a dit le secrétaire général de l’OTAN dans son allocution d’ouverture.
Formation pour la parité homme-femme
Des représentantes des pays du Partenariat pour la paix et des pays du Dialogue méditerranéen ont participé aux premières sessions qui étaient présidées par des experts de l’OTAN et des conférenciers envoyés par le Centre pour le contrôle démocratique des forces armées (de Genève) et par la force de défense nationale sud-africaine (l’Afrique du Sud est l’un des précurseurs de la mise en application de la résolution 1325 du Conseil de sécurité).
Des exposés et des débats en groupes avec des spécialistes de l’ONU et du Centre d’excellence pour la coopération civilo-militaire établi aux Pays-Bas et homologué par l’OTAN sont prévus lors d’autres sessions qui seront consacrées à la formation pour la parité homme-femme.
Le dernier jour de la réunion, le 5 juin, auront lieu les élections. Après la Belgique, la présidence du comité revient à l’Italie et les membres du comité exécutif – deux déléguées et une présidente désignée – sont nommées pour les deux prochaines années.
Un plus grand rôle
Le Comité du personnel féminin des forces de l'OTAN a principalement pour mission de conseiller les hauts responsables militaires de l’OTAN et les pays membres sur les questions importantes concernant le personnel féminin dans les forces armées de l’Alliance.
Le domaine de compétence du comité a été élargi ces dernières années ; il prend désormais systématiquement en considération les spécificités homme-femme et intègre dans la conception et la mise en œuvre des politiques, des programmes et des opérations militaires les préoccupations et l’expérience des hommes et des femmes.
Le comité a donc été rebaptisé Comité OTAN de la parité homme-femme et son mandat a été modifié pour tenir compte de ce rôle. Il conseille aussi le Comité militaire sur les politiques relatives à la problématique homme-femme dans les forces armées de l’Alliance.
https://www.nato.int/cps/fr/natohq/topics_101372.htm
Comité OTAN sur la dimension de genre (NCGP)
Rôle et responsabilités
Le Comité OTAN sur la dimension de genre (NCGP) promeut l’intégration de la dimension de genre en tant que stratégie pour que les préoccupations et les expériences des femmes comme des hommes soient pleinement prises en compte dans la conception, la mise en œuvre, le suivi et l'évaluation des politiques, des programmes et des opérations militaires.
Un document magnifique aucune trace des objectifs de féminisation, aucune convergence avec certains points élaborer dans quelques rapports sur ce domaine, bref du grand art féministe :
https://www.nato.int/nato_static_fl2014/assets/pdf/2020/6/pdf/200615-2018-Summary-NR-to-NCGP.pdf
Toutefois dans certains cas comme sans discrimination dans la sélection la mise en place d'unités féminines peut être une solution comparée aux actions et structures politiques chargées de veiller à la répartition sexuée sociétale.
Commissaire générale de 2e classe Catherine Bourdès, haute fonctionnaire à l’égalité des droits et directrice de projet – mixité
Capitaine Marie-Ange Detey-Breemeersch, coordonnateur égalité-diversité auprès du DRHGN.
Association « Avec les femmes de la défense »
- Inspectrice civile de la défense Véronique Peaucelle-Delelis, présidente de l’association
- Commissaire de 1ère classe Mathilde Gadea, secrétaire générale de l’association
- Attachée principale d’administration Lilia Dridi, membre du bureau de l’association Conseil supérieur de la fonction militaire
Colonel Antoine Brulé, adjoint au secrétaire général du Conseil supérieur de la fonction militaire et une délégation du groupe de travail « mixité – diversité »
Mme Alice de Maximy, déléguée ministérielle diversité égalité professionnelle du ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique
M Jean-Philippe Cicurel, chargé de mission à la délégation à la diversité et à l’égalité professionnelle du ministère de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique
Les violences sexuelles et sexistes au sein du ministère des Armées 151
ANNEXE 8 FEMINISATION DES ARMEES
LA FEMINISATION DES EFFECTIFS MILITAIRES
Au 30 septembre 2023, le ministère comptait 34 140 femmes militaires sur le périmètre du PMEA (plafond ministériel des emplois autorisés), soit un taux de féminisation de 17%. Depuis
la mise en place du plan mixité en 2019, le taux de féminisation progresse de manière continue. Il a augmenté de près de 12% en 4 ans pour les officiers, de 6% pour les sous-officiers et de 7% pour les militaires du rang.