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Diversité Trump 2

Le féminisme base son égalité sur le nombre de filles et de femmes, ses actions et ses financements pour obtenir le nombre de filles et de femmes dans les filières puis les entreprises. Les entreprises réservent des postes pour les recrutements, nominations, fonctions, commissions pour obtenir le nombre de femmes.  C'est le nombre de filles et de femmes qui serait une égalité c'est contestable et entièrement faux. Le nombre ou un pourcentage de filles et de femmes ne constituent pas une égalité de droits, de moyens et de soutiens. La représentation sexuée n'est pas le signe d'une justice ou de valeur morale mais entièrement idéologique. Les textes législatifs sont basés pour augmenter la proportion de filles et de femmes et des normes et pratiques pouvant aider à cette réalisation.

Donc oui ses normes sociales ou "valeurs" sont basées sur le nombre de filles et de femmes sont critiquables car elles sont discriminantes, totalement sexuées, elles appartiennent à une construction sociétale, des actions et lois spécifiques pour le genre féminin. Une discrimination est négative quand elle concerne les femmes et positive quand elle concerne les hommes, une action est sexiste et stéréotypée quand elle concerne exclusivement les hommes et signe d'un progrès ou d'une justice sociale quand elle concerne les femmes. Résevé 5,10,20,30 ,40,50 % d'une fonction, d'une nomination, d'un recrutement, ne serait pas basé sur le genre et sans contrainte sexuée sans oublier sans aucune action spécifique qui sont nombreuses et variées pour obtenir ces pourcentages intéressants. 

Un test simple :

sexiste pas sexiste par métiers on va dire dans les filières STEM, industrie, armées, numérique....

« Découvrez les actions et engagements pour promouvoir la féminisation de nos métiers  » je remplace par  « Découvrez les actions et engagements pour promouvoir la masculinisation de nos métiers  »

ou encore 

« certains dirigeants masculins moins compétents » on a le droit de le dire par contre « certains dirigeants féminin moins compétents » interdit 

« femme objectif de féminisation » ou « femmes quotas » interdit pourtant c’est ce qu’elles veulent dans le cadre de leur construction sociétale.

Anna Gomez, commissaire démocrate de la FCC, a critiqué Verizon comme "une autre entreprise capitule devant les tentatives de l'administration de microgérer les pratiques d'emploi et d'imposer de lourdes charges réglementaires aux entreprises

Quand les entreprises capitulent sous les normes féministes elles ne font aucune pratique d'emploi et n'imposent aucune charge réglementaire. C'est intéressant mais non conforme aux féminismes et à ses normes. Cependant elles publient des rapports spéciaux, réserves des % dans les recrutements, nominations, comité, conseil, partenariats avec association et organisation, rapports annuels, formation aux employés, etc...

"Les entreprises françaises ne font pas de discrimination positive", rappelle à l' AFP Yann Tanguy, secrétaire général de la Charte de la diversité, signée par plus de 5.000 entreprises en France. En revanche, "elles ont des actions positives d'égalité des chances et d'inclusion au sein de leurs structures", ajoute-t-il, rappelant les textes en la matière : "La loi qui favorise l'emploi des personnes en situation de handicap et les lois qui visent à la parité homme-femme dans les organes de gouvernance, conseil d'administration et direction dans les entreprises".

Si on se base sur le site internet de l’Assemblée nationale des lois comme celle du 4 août 2014, copé  Zimmermann,Rixain, publications d’entreprises, Travail Emploi, les sites internets d'amisnisatrion et d'entreprises avec les les objectifs de féminisation et les programmes uniquement pour acroite la proportion de filles et de femmes sans oublier les nombreux dispositifs je pense que l'on peut qualifier de discrimantion

Normalement quand on réclame une égalité de traitement on ne fait pas des actions et un doit en fonction du genre

Quand vous faites un droit spécifique, des actions spécifiques pour augmenter la proportion d’un genre, des seuils minimaux de genre dans tous les domaines en cherchant à les sanctuariser, quand cette idéologie fait des rapports dont on cannait la conclusion, elle souhaite tout contrôler des jouets en passant par l’humour, et les livres moi je n’appelle pas ça la neutralité ou de la justice sociale. Sans oublier que c’est politique et en politique comme pour les idéologies si on n’a pas le droit de critiquer négativement, je n’appelle pas ça une réussite.
Si on se base sur leurs actions et normes que l’on peut retrouver sur  l’Assemblée nationale, Travail Emploi, Girls@tec, girls who code, 30percentclub, Women forum, des lois comme celle du 4 août 2014 , Rixain, publications d’entreprises, etc …. J’ai cherché par exemple un Boys@tech je n’ai pas trouvé. Pareil pour l’équivalent aux visites d’entreprises dans les filières STEM, et autres réservés aux collégiens et lycéens, et pour un tas d’autres exemples. C’est bizarre un oubli peut-être des chartres, labels, index et autres dispositifs ? Il faut dire que la société objectifs de féminisation n’accorde pas le même soutien pour obtenir sa répartition sexuée dans le cadre de sa construction sociétale.
Le féministe c’est des actions, des financements, de la sensibilisation et des lois en fonction du genre. C’est les féministes qui ont peur car avoir les mêmes pourcentages sans leur construction sociale elles sont perdues et il faut qu’elles contrôlent tous des jouets, formations, textes législatifs, divertissement, publication, … . Vous savez réserver les activités codages pour les filles, faire des épreuves écrites et sportives pour diminuer les différences entre les genres, imposer dans les recrutements un nombre de femmes, imposer un genre dans les fonctions et métiers, faire des visites d’entreprises réservées aux filles et aux femmes, 20 % dans les forces armées, 40 % dans les conseils d’administration, plans mixités… . Pour l’école et les filières STEM il y a les engagements des états, les épreuves par exemple les QCM favoriser les garçons, l’école de de Rubika, l’école de Valenciennes qui, depuis 2019, possède sa charte de "l'équité, respect, éthique " en gros des méthodes pour l’apprentissages des filles, etc... .
Normalement quand on réclame une égalité de traitement on ne fait pas des actions et un doit en fonction du genre. Être contre un plancher de verre et imposer un plancher de féminisation finalement l’idéologie n’a rien contre les planchers.

C’est le genre de phrase disponible en accès public :
« À la différence d’autres grandes démocraties, la France s’est longtemps trouvée empêchée, sur le plan juridique, de mener des politiques de discrimination positive en direction des femmes. »
Pourtant dans la constitution l’idéologie a réclamé :
Article 1 de la constitution Française nouvelle version réclamé par le féminisme :
« sans distinction de sexe, d’origine, ou de religion ».
Sur le site travail emploi il justifie les objectifs de féminisation par ceci :
Les dispositions mentionnées ci-dessus ne font toutefois pas obstacle à l’intervention de mesures temporaires prises au seul bénéfice des femmes visant à établir l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, en particulier en remédiant aux inégalités de fait qui affectent les chances des femmes.
C’est des mesures temporaires qui sont obligées de durée pour deux raisons principales :
– Aucun calendrier de retrait et ça ne peut s’appliquer aux féministes ce n’est pas conforme à l’idéologie
– Elles adorent l’égalitarisme sexué leur égalité est basée sur le nombre de femmes c’est ça droits des femmes ce n’est pas futé mais il en est ainsi
– L’idéologie qui même et impose tous une série d’endoctrinements et d’action pour les normes sociétales qu’elle rêve ne peut être qualifié de temporaire maintenant elles sont prisonnières de leur idéologie
Vous prenez la loi Sauvadet avec la mairie de Paris quand ça concerne les femmes ils ne faut pas de condamnation, une loi injuste,… .

"Nous, ce qu'on a, c'est un cadre légal qui fait que les entreprises sont obligées, de toute façon, de se conformer " à ces règles qui bannissent toutes formes de discrimination, rappelle à l' AFP la ministre chargée de l'Égalité femmes-hommes Aurore Bergé.

Les entreprises et administrations appliquent les lois et normes féministes donc il n'y a pas de discrimination tant que l'on a des normes, action et représentation de femmes conformes aux normes sociales féministes.

Quelques définitions :

https://www.dictionnaire-juridique.com/definition/discrimination.php

Le mot "discrimination" ne s'applique pas qu'en droit du travail, on le rencontre chaque fois que des avantages d'ordre économique ont été attribués à des produits, à des personnes ou à des professions, chaque fois que l'inégalité de traitement qui leur a été réservés ne s'est pas trouvée justifiée par des considérations puisées dans le droit positif ou par des considérations d'équité.

Autres normes d'égalité

Toutes les normes d'égalité ne bénéficient pas de la reconnaissance accordée aux Droits de l'homme ou de l'autorité d'une constitution. Dans la lutte politique et sociale, différents groupes cherchent à faire prévaloir leur norme d'égalité. Le concept de discrimination devient alors un outil dans ce but. Cependant, davantage qu'une lutte contre la discrimination, il s'agit alors d'une lutte pour l'égalité. Cette égalité obtenue, la discrimination risque de continuer à exister.

La discrimination positive s'y développe depuis quelques années, parfois de manière spectaculaire comme avec la loi sur la parité en politique, mais l'idée s'est longtemps heurtée à celle de l'égalité républicaine.

L'égalitarisme, croyance en l'égalité humaine, notamment politique, sociale et économique . L'égalitarisme a été un principe moteur de nombreux mouvements sociaux modernes, notamment les Lumières, le féminisme, la lutte pour les droits civiques et l'instauration d'un système international de droits de l'homme.

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/diversite-et-inclusion-apres-les-menaces-de-l-administration-trump-le-monde-francais-de-l-entreprise-n-a-pas-l-intention-de-reculer-369073df528d9294b745209f4640b75d

Boursorama avec Media Services •02/04/2025 à 17:55

Les entreprises françaises portent des "valeurs" non "négociables". Autorités, syndicats et patronat sont unanimes dans leur refus de s'incliner après un récent de l'administration américaine menaçant les entreprises qui pratiquent des politiques de non-discrimination et de soutien à la diversité, l'inclusion et l'égalité.

si elles avaient des programmes internes de lutte contre les discriminations, dans un courrier adressé la semaine dernière et que l' AFP s'est procuré. La missive suggère que, le cas échéant, cela pourrait les empêcher de travailler avec les États-Unis . L'information s'inscrit dans un contexte de fortes tensions commerciales alimentées par Donald Trump. "Aucune vérification n'est requise, au-delà de demander aux entrepreneurs et aux bénéficiaires de certifier eux-mêmes leur conformité. En d'autres termes, nous leur demandons simplement de remplir un document supplémentaire", a écrit l'ambassade des États-Unis en France dans des déclarations transmises à l' AFP , à l'instar de son homologue à Berlin pour l'Allemagne.

"Diversité & inclusion ne sont pas des slogans mais des valeurs partagées en France et un facteur de performance démontré pour nos entreprises", a réagi lundi la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet sur le réseau X. "Elles ne sont pas à négocier ou à vendre à la découpe" , a-t-elle poursuivi.

"Nous, ce qu'on a, c'est un cadre légal qui fait que les entreprises sont obligées, de toute façon, de se conformer " à ces règles qui bannissent toutes formes de discrimination, rappelle à l' AFP la ministre chargée de l'Égalité femmes-hommes Aurore Bergé. "Il n'y a aucun renoncement qui pourrait être fait" côté entreprises, souligne la ministre, avant de prévenir que si celles-ci veulent revoir à la baisse leurs engagements en la matière, "elles ne pourront pas faire moins que ce que prévoit la loi en France".

"Les entreprises françaises ne font pas de discrimination positive", rappelle à l' AFP Yann Tanguy, secrétaire général de la Charte de la diversité, signée par plus de 5.000 entreprises en France. En revanche, "elles ont des actions positives d'égalité des chances et d'inclusion au sein de leurs structures", ajoute-t-il, rappelant les textes en la matière : "La loi qui favorise l'emploi des personnes en situation de handicap et les lois qui visent à la parité homme-femme dans les organes de gouvernance, conseil d'administration et direction dans les entreprises".

"Ce courrier met une forme de pression commerciale sur les entreprises et leurs dirigeants", estime Yann Tanguy, mais pour l'heure, "la Charte n'a pas le sentiment que ses adhérents, les entreprises et les signataires vont reculer" sur ces valeurs.

https://www.boursorama.com/bourse/actualites/la-fcc-approuve-l-acquisition-de-frontier-par-verizon-apres-les-modifications-apportees-a-l-ied-f8de3056415314bfb304e5945f23d502?symbol=VZ

la plus grande société de télécommunications américaine ait accepté de mettre fin à ses programmes de diversité, d'équité et d'inclusion.

Dans une lettre adressée à M. Carr et consultée par Reuters, Verizon a indiqué que l'entreprise supprimait son site internet "Diversity and Inclusion" (diversité et inclusion), qu'elle supprimait les références à l'IED dans la formation des employés et qu'elle apportait d'autres modifications à l'embauche, au développement de carrière, à la diversité des fournisseurs et aux pratiques de parrainage d'entreprise. Verizon a déclaré que toutes les mêmes dispositions s'appliqueront à Frontier une fois l'accord conclu.

Verizon ne maintiendra plus d'objectifs en matière de diversité de la main-d'œuvre et abandonnera un élément de son plan de rémunération de la direction qui comprenait historiquement un objectif visant à accroître la représentation des femmes et des minorités au sein de la main-d'œuvre américaine de l'entreprise.

"Verizon reconnaît que certaines politiques et pratiques de IED pourraient être associées à de la discrimination", a déclaré Vandana Venkatesh, responsable juridique de Verizon.

Le sénateur démocrate Ed Markey a critiqué l'annonce, affirmant que la FCC "utilisait son pouvoir de fusion pour contrôler la parole"

M. Carr, un républicain désigné par le président Donald Trump en janvier, a déclaré en février à Comcast CMCSA.O , société mère de NBC News, qu'il ouvrait une enquête similaire sur la promotion des programmes IED par la société.

En janvier, M. Trump a publié de vastes décrets pour démanteler les programmes de diversité, d'équité et d'inclusion aux États-Unis et a fait pression sur le secteur privé pour qu'il se joigne à l'initiative.

Anna Gomez, commissaire démocrate de la FCC, a critiqué Verizon comme "une autre entreprise capitule devant les tentatives de l'administration de microgérer les pratiques d'emploi et d'imposer de lourdes charges réglementaires aux entreprises qui ont besoin de l'approbation de la FCC pour leurs transactions."