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Election US 2024

Nous soutenons aucun candidats cependant avec cette article et cette élections nous avons choisit un article pour faire le lien avec notre site internet.

En effect nous avons extraits quelques passages

"plafonds de verre"

Le plafond de verre est une invention féministe pour signifier pas de femmes. Donc, pour y remédier, on choisit une construction sociétale avec ses normes de sélection, d'apprentissage, de soutien, de financement, de séléction, de nomination, sans obliger le législatif et les réseaux. Leur égalité basée sur le nombre ou le pourcentage de femmes. Pour lutter contre un plafond de verre, on impose le plancher de verre, c'est-à-dire un nombre de femmes minimum.

"misogynie de la société américaine est également un facteur."

La misandrie de la société américaine est un facteur. Vous avez déjà entendu critiquer une féministe, une femme critiquer la mise en place de ce que l'on appelle le plancher de verre avec ses méthodes associées. Deux exemples pourquoi des visites d'entreprises reéversées aux lycénnes et collégiennes, et pourquoi par exemple des activités codage réservées aux filles.

"la condition des femmes et de leurs droits"

La condition des femmes n'est pas supérieure à celle des hommes. Si le droit des femmes est celui-ci :

Le droit des femmes est d'imposer aux hommes ce que nous appelons le plancher de verre;

Une femme discriminée est inacceptable, par contre un homme discriminé ça n'existe pas, sauf quand c'est pour le féministe;

Le recrutement ou les nominations sont interdits par la loi, sauf quand il s'agit des femmes et des normes féministes;

D'interdire des écarts trop prononcés entre les sexes;

D'imposer aux hommes ce que les femmes n'accepteraient pas. Un exemple la loi Sauvadet avec la mairie de Paris. Et le congé paternité, le féministe disait que les arrêts avec la maternité pose problème. Qu'est-ce qu'elle font ? Elles imposent aux hommes un congé paternité obligatoire par égalitarisme dit positif.

La guerre pour les filières STEM, les quotas et mesures spécifiques, par exemple pour les jouets, les recrutements différenciés ou selon le genre, les activités codages, les 35 % pour les emplois manufacturier. Un exemple rapide discriminer à l'emploi est interdit, sauf si c'est pour augmenter le nombre de femmes. C'est la construction sociétale féministe avec ses droits et postures en fonction du genre.

"ouvertement campagne sur le fait qu'elle pouvait devenir la première présidente"

Donc le genre était un élément de campagne. Nous savons que madame Harris adorait le féminisme.  D'ailleurs, dans l'article, ils font mention du Centre d'études sur les femmes américaines en politique (CAWP). Si Mme Harris et le centre d'études ne défendent pas le féminisme et ses méthodes, je serais surpris pour ces personnes. Le genre féminin mérite des droits et des actions spécifiques pour obtenir les 10, 20, 30, 40, 50%.

"la proportion de jeunes hommes qui estiment que les Etats-Unis sont allés "trop loin" dans la promotion de l'égalité des sexes a plus que doublé."

L'égalité telle que souhaitée par le féministe et défendue par l'AFP ou la presse en général, lire les deux articles c'est frappant. Et une société au mieux 50 % entre les deux genres dans tous les domaines, du temps de jeux, à l'école, aux travails, dans les recrutements, fonctions financement, nomination. Pour arriver aux 50 % qui ne sont en aucun cas une construction sociale et sociétale, de nombreuses actions sont mises en place. Pour faire simple :

La guerre pour les filières STEM, les quotas et mesures spécifiques, la guerre sur les jouets, les recrutements différenciés ou selon le genre, les activités codages, les 35 % pour les emplois manufacturier. Un exemple rapide discriminer à l'emploi est interdit, sauf si c'est pour augmenter le nombre de femmes. La différence de traitement est importante et tolérée si cela permet d'augmenter la proportion de femmes. C'est la construction sociétale féministe avec ses droits et postures en fonction du genre.

L'homme et la femme seront égaux en droits quand les femmes et les politiques accepteront, entre autres, les différences de représentation et le même soutien. Le féministe ne le propose pas car ce n'est pas une idéologie libérale et qu'elle s'est trompée depuis les années 60-70.

Les jeunes hommes sont obligés, d'accepter les normes d'égalité des féministes, des Women Forum, ONU Femmes et j'en passe, pas étonnant que ces normes soient critiquables. Les femmes ont le droit de décider pour les hommes ce qui est bon, pas le contraire. Bastion masculin, objectifs de féminisation, masculinité toxique, recrutement et postes plancher, différences de traitement et de sélection, action et financement spécifique s'accompagnent d'un discours misandre et d'une construction sociétale féministe.

Kamala Harris défaite, l'ultime plafond de verre résiste aux Etats-Unis

information fournie par AFP •06/11/2024 à 14:29

Pour la seconde fois en quelques années, une femme candidate à la Maison Blanche a échoué à se faire élire à la tête de la première puissance mondiale après une campagne où la question du genre a été un élément central.

Contrairement à Claudia Sheinbaum qui s'est imposée au Mexique comme la première présidente nord-américaine il y a quelques semaines, Kamala Harris, comme Hillary Clinton en 2016, a buté sur le dernier obstacle.

En campagne pour Kamala Harris, l'ancienne secrétaire d'Etat avait appelé les Américains à briser enfin "le plus haut, le plus difficile des plafonds de verre" en élisant la candidate démocrate. En vain.

Si ces défaites tiennent évidemment à la personnalité et la popularité de leur adversaire, Donald Trump dans les deux cas, pour de nombreux observateurs la question de la misogynie de la société américaine est également un facteur.

Car Kamala Harris et Donald Trump ont clairement montré des visions radicalement opposées de la condition des femmes et de leurs droits.

Le républicain a en effet misé sur les codes virilistes et toute sa campagne a été émaillée de commentaires insultants ou méprisants à l'égard des femmes, venant de lui ou de ses relais politiques et médiatiques.

l n'a pas tari d'éloges sur les dirigeants à poigne, il s'est entouré de champions de sports de combat et a tenu par-dessus tout à projeter une image de force.

Il s'est présenté en "protecteur" des femmes, mais assurant qu'il les protègerait "que cela (leur) plaise ou non", et a courtisé assidûment l'électorat qui, pêle-mêle, plébiscite les cryptomonnaies, le MMA - un sport de combat - et considère que la société américaine a sombré dans le "wokisme".

Donald Trump a également décrit Kamala Harris comme une "attardée mentale" ou une "folle" qui serait, si elle devenait présidente, "un jouet" pour les autres dirigeants du monde.

Cette conception traditionnelle de la place des femmes n'a pas eu d'effet repoussoir sur une partie de l'électorat féminin.

- "A sa place" -

La démocrate elle-même n'a pas fait ouvertement campagne sur le fait qu'elle pouvait devenir la première présidente des Etats-Unis.

Mais elle s'est beaucoup appuyée sur des femmes célèbres telles que Beyoncé, Jennifer Lopez, Lady Gaga ou Oprah Winfrey, en pariant que son message toucherait même des électrices conservatrices.

Elle a également porté les libertés des femmes, faisant en particulier du droit à l'avortement l'une des pierres angulaires de sa campagne. Mais cela n'a, semble-t-il, pas été suffisant pour rallier assez de femmes conservatrices modérées, comme elle l'espérait.

"Une fois de plus, une femme s'est portée candidate à la plus haute fonction de la politique américaine, a failli franchir cette barrière, mais n'a finalement pas été élue", a réagi mercredi matin le Centre d'études sur les femmes américaines en politique (CAWP).

Lors d'un meeting de campagne, Michelle Obama avait dénoncé dans un discours enflammé le deux poids deux mesures dans le traitement des deux candidats à la Maison Blanche.

"Nous attendons d'elle qu'elle soit intelligente et qu'elle s'exprime clairement, qu'elle ait une politique claire, qu'elle ne montre jamais trop de colère, qu'elle prouve encore et encore qu'elle est à sa place", avait-elle lancé à la foule.

"Mais pour Trump, nous n'attendons rien du tout. Aucune compréhension de la politique, aucune capacité à construire un argument cohérent, aucune honnêteté, aucune décence, aucune morale", avait dénoncé l'ex-Première dame des Etats-Unis.

Dans une vidéo datant de 2021, qui a ressurgi cet été, le futur vice-président de Donald Trump, le sénateur J.D. Vance, a accusé les démocrates au pouvoir d'être une bande de "femmes à chats malheureuses" sans conscience de l'"intérêt direct" du pays, puisque dépourvues de progéniture.

Kamala Harris, qui n'a pas d'enfants biologiques, a élèvé avec son mari Doug Emhoff les enfants que ce dernier a eus d'une précédente union.

Au cours des sept dernières années, selon l'American Enterprise Institute, la proportion de jeunes hommes qui estiment que les Etats-Unis sont allés "trop loin" dans la promotion de l'égalité des sexes a plus que doublé.

 

 

Le féminisme a un impact sur les politiques, les lois et les modes de réussite. La narration est toujours la même dans cet article sur les États-Unis.
En fait c'est très simple, pas un seul mot sur les programmes scolaires, sur les bourses d'études, quota et adaptation spécifique à un genre, le discours misandre, etc... . Par contre, c'est avortement, agression sexuelle, insulte, le machisme assumé. Il vote les lois sociales des démocrates, dont beaucoup ne devraient pas être adoptées même avec Trump. L'avantage, c'est que les Républicains n'ont toujours pas compris ce qu'est le féminisme. La stratégie extravagante de la «masculinité d'abord»  je n'ai vu et lu aucune loi et aucune entreprise, où école et programmes voté dans ce sens. Par contre, pour l'inverse, la féminité et/ou le féminisme là, y compris des mesures visant à faire augmenter leurs nombre et spécifiques à leur sexe, y compris dans les financements, il ne faut pas chercher beaucoup. Le congé parental, rémunéré quand on est libérale et non adepte de l'idéologie féministe et woke, il n'est pas imposé aux pères et doit être de durer le plus court possible et la meilleure rémunération possible. D'ailleurs, en 2014, les féministes étaient tellement absorbées par leur construction sociale et la volonté de l'imposer aux hommes l'a oubliée. Pour nous, c'est sujet à débat, d'ailleurs beaucoup d'entreprises américaines ou pays développés l'imposent par pure idéologie. Par contre, nous sommes d'accord "Un fossé idéologique aussi large, lié au sexe, augure mal de la stabilité nationale sur le long terme. "  Mais c'est le féministe qui définit les mesures sociétales. Elles imposent aux hommes et à des femmes l'égalitarisme sociétal sexué et des lois selon, comme elle disent, "le prisme de la femme" et basées sur le genre.
 
 

 

Toujours pareil dans la presse, aucune mention du féminisme de ces normes, de ce qu'elles imposent, choisissent, elles n'ont rien changé à l'école ? C'est les garçons et les hommes qui doivent changer, adorer les normes féministes et tout le bien qui leur fait pour la délivrance de leur masculinité et de ses codes. Le féministe n'a pas de code. Ce féminisme qui n'a jamais su traiter les hommes et les femmes à égalité, la représentation n'a jamais été une égalité.

https://www.brusselstimes.com/belgium/1206965/girls-transition-to-higher-education-more-frequently-than-boys

"My student days saw a 70/30 male to female ratio, now it’s almost the reverse at 30/70. We need to start questioning why fewer boys are choosing to go into medicine." He adds that nearly 70% of new entrants to law studies are also women.

This shift forms part of a broader trend: the growing gender gap in higher education. Girls transition to higher education more frequently than boys (74% compared to 59%), they often secure their degrees faster and are more likely to graduate. "Women have not only caught up with men, but have also significantly surpassed them," asserts educational sociologist Mieke Van Houtte of UGent.

"The notion that women have simply caught up is now debunked by research," emphasises Van Houtte. The gap is not a reflection of intelligence: "The innate cognitive differences between men and women are very small. Therefore, such vast differences in outcomes must be about societal environment," says cognitive psychologist Wouter Duyck (UGent).

Despite women’s educational successes, De Standaard notes an adverse ‘gender gap’ still exists in the job market where women face greater challenges. This is tied to the nature of education itself, according to sociologist Bram Spruyt (VUB). "Risk-taking, for example, is rewarded in the job market but penalised in education."