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Élection législative 2024

 

Le nombre de femmes n'est pas synonyme d'égalité. Elles font des lois selon le prisme de la femme et pratique la discrimination sur le genre. Cette égalité est basée sur une construction sociétale et sociale.  Les partis font la parité et pour de nombreuses élections la parité est obligatoire. Un nombre de femmes élevé ne veulent pas dire une amélioration surtout quand on connaît les méthodes y pour parvenir. La répartition des commissions et des nominations sont basées sur les normes féministes. Le nombre de lois, de décrets et de normes basés sur le nombre de femmes et d'action spécifique aux femmes et très importants. Cela constitue les normes systémiques et sociétales. D'ailleurs vous mettaient en corrélation le nombre de femmes par objectifs à la fois sans quotas mais adaptations et celui avec les normes féministes c'est-à-dire législative avec ces adaptations. Aujourd'hui une assemblée avec 1 seule femme les lois féministes serait similaire. Les partis politiques commes dans d'autres secteurs c'est le nombre de femmes qui compte. Des indicateurs internationaux  d'égalité sont basé sur le nombre de femmes et les objectifs de féminisation. Une loi objectif de féminisation ou de limitation de genre masculin, sans oublier les adaptations qu'elle soit scolaire comme professionelle aussi bien à l'école comme dans le monde professionnel et bien vu. Je rappelle que pour le féministe la discrimination masculine n'existe pas ou est positive par contre une discrimination féminine et fondée est systémique.

Dernière remarque les partis politiques maintiennent-ils leurs différences idéologiques en respectant les objectifs de féminisation et le féministe dans leurs statuts et liste électorale. Les objectifs de féminisation reflète-il la composition des partis politique. Le nombre de femmes ne fait pas baisser l'absentation c'est quand les politiques tranches que les électeurs se déplacent.

https://bourse.boursobank.com/actualite-economique/actualites/legislatives-les-femmes-moins-nombreuses-dans-le-nouvel-hemicycle-d35eb30669d718ed0fb5316aab282863

Assemble

Sur les 577 députés qui constituent la nouvelle Assemblée nationale, 208 sont des femmes, soit 36% de l'hémicycle, une proportion en recul par rapport à 2017 et 2022, selon une analyse par l'AFP des résultats publiés lundi par le ministère de l'Intérieur.

La proportion de femmes à l'Assemblée nationale avait atteint un record en 2017, culminant à 38,8% (224 députées), avant de reculer en 2022, à 37,3% (215). Elle reflue de nouveau cette année.

L'Assemblée nationale est désormais légèrement moins féminisée que le Sénat, qui compte 36,8% de femmes (128 sur 348 sénateurs).

Parmi les grands blocs de la nouvelle Assemblée, le Nouveau Front populaire (NFP) et apparentés (40,4%, 78 sur 193) est le plus féminisé, devançant d'une courte tête le camp présidentiel (40,2%, 66 sur 164).

Le Rassemblement national (RN) et ses alliés ne comptent que 32,2% de femmes (46 sur 143).

Les Républicains (hors "ciottistes" alliés au RN) ont fait élire seulement 30,8% de femmes.

En 1958, la première Assemblée nationale de la Ve République ne comptait que huit députées, parmi lesquelles Nafissa Sid Cara, qui sera également en 1959 la seule femme du premier gouvernement de la Ve République.

Une femme politique de gauche comme de droite c'est une représente de genre dont le but consiste à faire des lois objectifs de féminisation et du communautarisme sexué ainsi qu'apprendre aux hommes et aux garçons que le féministe est une chance, qu'un objectif de genre n'est pas basé sur le sexe, qu'un quota ne discrimine personne, que la discrimination masculine n'existe pas, que le féministe systémique n'existe pas etc... .

Les partis politiques comme la liste électorale sont chargés d'appliquer les normes féministes dans leurs statuts même la droite s'y est mise. La droite et le RN approuvent des mesures comme la loi Sauvadet ou Copé-Zimmernan, ou encore les objectifs de féminisation dans les forces armées ou entreprises privées. Le féministe est un égalitariste dit positif il nivelle tout mais vers le bas.

Les droits des femmes, la parité, les objectifs de femmes sont basés sur le genre, les droits  des femmes disent que l'égalité est atteinte suivant un nombre de femmes, ceci et une construction sociétales, elles-mêmes des actions discriminantes basée sur le genre.  Une seule femme députée suffit à faire passer leurs textes féministes égalitariste et discriminatoire. Aujourd'hui c'est des monsieur et madame 50 %.

Le féministe est un égalitariste dit positif il nivelle tout mais vers le bas et n'a jamais pris en compte les hommes et les femmes comme égaux. C'est pour cela qu'il sanctuarise tout ceux qui composent une  société. Imaginer un droit des hommes qui imposeraient un nombre d'hommes sa serai une discrimination par contre l'inverse sans n'est pas une. Aujourd'hui les normes de réussite sont basées sur les femmes et leur nombres.

Une spécialiste des questions de genre, de politique et des médias. La spécialiste des questions de genre va se baser sur le nombre et dire qu'il n'y a pas égalité car sa construction sociale et sociétale dit que c'est le nombre de femmes qui fait l'égalité. Les méthodes pour obtenir le nombre de femmes sont considérées comme normales ainsi que les loi et réseau de femmes en charge d'appliquer cette construction sociétale. Ce n'est pas une spécialiste des questions de genre c'est une spécialiste de la féminisation. Tout ce qui inférieur à 50, 40, 30, 20, 10, 5 % de femmes, les méthodes et argumentaires sont toujours les mêmes il est inutile de chercher un changement.

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/la-place-des-femmes-dans-le-debat-public-a-regresse-de-maniere-phenomenale-selon-une-chercheuse-13480871f6271c54f8923d2d07835ec1

La campagne des élections législatives a été marquée par une "régression phénoménale" de la place des femmes dans le débat public, déclare dans un entretien à l'AFP Marlène Coulomb-Gully, spécialiste des questions de genre, de politique et des médias.

Ce recul, qui s'est traduit notamment par l'absence de femmes lors des grands débats télévisés, s'ajoute à une baisse du nombre de femmes élues députées, relève la professeure émérite à l'université Jean-Jaurès à Toulouse, qui y voit un "backlash" concernant les droits des femmes et la parité.

Question : Comment décririez-vous la place occupée par les femmes politiques lors de la campagne ?

Réponse : "Cette période a été marquée par une régression phénoménale. On a vu des reculs, en premier lieu dans les grands débats nationaux dans lesquels les femmes ont complètement disparu.

On est revenu à une espèce de monde d'hommes, on a vu des hommes qui débattaient entre eux de sujets qui les concernaient. Les femmes ont pu ponctuellement, individuellement être interviewées, mais l'enjeu symbolique était complètement différent de celui d'un débat national.

Cela a été extrêmement violent, la cheffe des écologistes Marine Tondelier l'a verbalisé, tout comme des associations féministes qui ont parlé de tentative d'invisibilisation.

On a vu un recul aussi dans les programmes des différents partis. Ces programmes ont été écrits à la hâte compte tenu des circonstances et de la dissolution surprise et on voit qu'au final la question des droits des femmes a été réduite à la portion congrue, à quelques exceptions près.

Cela nous ramène au fait qu'en cas d'urgence, la question des droits des femmes constitue une variable d'ajustement et se trouve reléguée au second plan, on est toujours dans ce que décrivait Simone de Beauvoir il y a cinquante ans".

Question : Ce recul pose la question de la place des femmes au sein même des partis politiques. Qu'en est-il précisément?

Réponse : "Les partis politiques ont toujours été fondés sur une +homosocialité+ masculine, ce sont des cénacles d'hommes qui ont été forgés par des hommes pour des hommes.

Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de femmes à la tête des partis. Europe-Ecologie Les Verts (EELV) fait partie des heureuses exceptions où on a eu très souvent des femmes à sa tête.

Au PS c'est plus problématique et à droite on a eu des femmes cheffes de parti, mais jamais très longtemps, et on se souvient notamment que Michèle Alliot-Marie, qui avait pris la présidence du RPR, avait été saluée d'un très élégant +Nous sommes gouvernés par un vagin+.

Marine Le Pen a, elle, réussi en étant à la tête du RN, à gommer en surface la tradition très antiféministe du parti, tradition qui persiste.

Question : Est-ce que ce recul de la place des femmes est temporaire ou s'agit-il d'une tendance de fond ?

Réponse : Quand on regarde les ratios, il semble que cette régression soit davantage un processus plus ancré.

Après un record en 2017, la représentation des femmes à l'Assemblée nationale recule et c'est encore le cas cette année. Selon une étude de 2021, 74% des femmes élues locales disent subir du sexisme.

On fait aujourd'hui face à un +backlash+ (retour de bâton anti-féministe, ndlr) alimenté par l'avancée de la pensée d'extrême droite et par des médias favorables à une vision très conservatrice du rôle que doivent jouer les femmes dans la société.

Et ce backlash est tangible : que ce soit en temps de parole, en représentation, il y a une régression. C'est ce que pointait déjà en 2020 le dernier rapport du Projet mondial de monitorage des médias (GNMP).

Le recul du nombre de députées n'est quant à lui pas anodin : celles qui portent les questions d'égalité à l'Assemblée sont en grande majorité des femmes, donc moins de femmes cela veut dire moins d'attention portée à ces questions-là".