Presse moralisatrice 2

 

Voici un article intéressant défini comme neutre dont nous avons extrait plusieurs passages. À la lecture vous découvrez en faisant des recherches sur le site que sa neutralité est simplement féministe.

Vous découvrez dans ce site que les chercheurs  n'ont rien contre la construction sociétale et la politique mise en oeuvre par le féministe. Les stéréotypes de genre féministe et action spécifique au genre filles et femmes ont bonne narration.  Ils sont favorables aux mesures spécifques aux femmes par exemple au niveau scolaire pour faire progresser le nombre ou pourcentage on devine facilement qu'ils n'ont rien contre les objectifs de féminisation.

Le HCE est un organisme créer par décret qui applique et mène un politique féministe égalitariste dont la narration et différentes suivant le genre.

Le féministe vise une société où tous doit être composé à 50 % de femmes. Pour y arriver elles sont obligés de mener des actions spécifiques dans les recrutements, pédagogie scolaire, nomination, financement, les quotas et système parité sont ceux caractérise le féministe que l'on retrouve dans l'article et celui du HCE. Pour ce féministe le genre n'a aucune importance sauf pour les filles et femmes, elles sont contre les discriminations et actions spécifiques a un genre sauf quand sa concerne les filles et femmes. Un homme ne c'est pas ce qui est bon pour une femme par contre une femme ou le féministe le sait. C'est plus le féministe qui a peur de perdre son influence que les hommes. Imaginons un instant des entreprises, des ministères, des associations sportives, des plateaux telévisés, un monde ou l'égalité ne serrait pas défini par le nombre ou le pourcentage de femmes.  Imaginé un seule conseil d'administration avec 10 % de femmes, une seule entreprise qui ne sanctuarise pas la présence d'un genre, une seule entreprise qui passe un recrutement avec moins de 5 % de femmes, un seule entreprise avec moins de 10 % des effectifs féminins, une seule école d'ingénieurs avec moins de 20% de femmes, une ou dans les filières STEM avec moins de 15 % de femmes,  une armée de terre avec moins de 5 % de femmes. Pour arriver à une égalité de genre donc l'égalitarisme sexué ont pratique la discrimination sur le genre et les actions spécifiques aux genres femmes comme c'est elles qui définissent l'égalité. Le féministe ne considère pas l'homme et les garçons comme une femme et une fille c'est pour ça qu'il est obligé de tout contrôler de la petite enfance en passant par les entreprises où ces réseaux doivent veiller au respect des normes féministes. Pour le féministe la parité, les quotas, les objectifs de féminisation, la pédagogie féministe ne discrimine pas l'homme et ne sont pas basées sur le genre.

Le féministe est une idéologie contestable qui ne l'accepte pas. Des hommes et des femmes ont le droit d'être pour et contre le féministe. Mais avant d'être pour ou contre quelque chose il faut savoir ce qu'il existe et quelques sont les différents courants de pensée. Le féministe de par ses actions qu'ils même et impose depuis plus de 30 ans et son refus de considérer l'homme autrement que par égalitarisrme, le discriminer, le limiter, le contraindre, la variable d'ajustement en fonction de ses souhaits. Il ne faut pas s'attendre à ce qui remercie cette idéologie qui n'a rien de libérale, toute a fait discriminante, etc... . Le féministe n'a également jamais réeussi à faire la synthèse des normes de reéussite masculine et féminine la société quotas et une société féminine ou retrouve les caractéristiques.

"37 % des hommes considèrent que le féminisme menace la place et le rôle des hommes dans la société et que ces derniers sont en train de perdre leur pouvoir (HCE, 2024)."

"Il serait nécessaire de davantage inclure les hommes dans ces discours « natalistes » et qu’ils participent davantage à créer cet équilibre, dès le plus jeune âge. S’interroger sur le système patriarcal, la masculinité hégémonique, la paternité engagée et l’inclusion de tous les hommes dans ces sujets constitue une étape cruciale pour comprendre la dénatalité et les intentions d’une partie des femmes sur cette question."

Il faut dire que sur les supports féminins permette d'avoir une bonne presse à cette idéologie par contre j'ai toujours été surpris que les femmes soient toutes pour l'égalitarisme et pour le contrôle de la société comme le souhaite le féminisme via leur organisme, association et réseau. Un exemple de réseau qui sont tous pour et approuve les méthodes et construction sociétales féministe ainsi que leurs objectifs le réseau WiTh, est également partenaire du « Cercle Inter’Elles », réseaux mixité de 16 entreprises du secteur technologique et scientifique ayant pour ambition de créer les conditions favorables à un équilibre de genre dans ces secteurs, à tous les niveaux des organisations.

De la même manière elles qui sont contre les discriminations basées sur le genre même autant d'action et de lois basées sur le genre, que les lois empêche les distinctions de genre sauf quand elles font partie des objectifs féministes.

Il ne faut pas se leurrer pour différentes raisons le féministe n'a rien contre l'action ou le fait :

- De discriminer

- Les stéréotypes

- La construction sociétale sexuée

- Les mesures et actions spécifique et sexuée

- La répartion sexué

- L'égalitarisme idéologique

- Les financements spécifiques

- Les limitations de genre

- Le discours misandre

Le féministe dit une chose et applique autre chose c'est pour ça que dans cette idéologie on retrouve toute beaucoup de points avec les idées de la gauche totalitaire:

Article 1 de la constitution nouvelle version :

« sans distinction de sexe, d’origine, ou de religion ».

travail-emploi.gouv.fr :

Les dispositions mentionnées ci-dessus ne font toutefois pas obstacle à l’intervention de mesures temporaires prises au seul bénéfice des femmes visant à établir l’égalité des chances entre les femmes et les hommes, en particulier en remédiant aux inégalités de fait qui affectent les chances des femmes.

C'est des mesures temporaires qui sont obligées de durée pour deux raisons principales :

- Aucun calendrier de retrait et ça ne peut s'appliquer aux féministes ce n'est pas conforme à l'idéologie

- Elles adorent l'égalitarisme sexué leur égalité est basée sur le nombre de femmes c'est ça droits des femmes ce n'est pas futé mais il en est ainsi

- L'idéologie qui même et impose tous une série d'endoctrinements et d'action pour les normes sociétales qu'elle rêve ne peut être qualifié de temporaire maintenant elles sont prisonnières de leur idéologie

Qui peut réellement croire à du temporaire et a de la non-discrimination elles s'inscriront uniquement dans le cadre des théories et construction sociétale féministe :

des Women’s Empowerment Principles
Towards the Zero Gender Gap signé à l ’occasion du Women’s forum

  • HeforShe : HeforShe : S’adressant aux hommes, aux garçons et à toute personne, quelle que soit son identité de genre, HeForShe invite toutes les parties prenantes à collaborer avec les mouvements féministes et à se déclarer solidaire des femmes et des minorités qui vivent des inégalités et des discrimination liées au genre.

  • Festival Génération Égalité Voices : Lancé par ONU Femmes France, cet événement vise à mobiliser le grand public, à soutenir l’engagement citoyen et à valoriser les associations féministes. Depuis le lancement de l’initiative en 2021, plus de 100 projets ont été labellisés chaque année.

Il faut dire que le féministe c'est conquérir par exemple les normes RSE et sur un simple salon investisseur ( https://event.investirday.fr/partner/4a8d5e4f-cc69-ee11-a532-6045bd8ead8a/plan-cash). Le féministe c'est quatre plus gros défaut est l'égalitarisme que l'on pourrait qualifiait de totalitaire son communautarisme et sa construction sociétale que je qualifierais "objectif de féminisation" le fait de baser son égalité sur le nombre ou le pourcentage femme montre que le féministe c'est être sexiste et discriminant quand ça l'arrange il a besoin d'un discours pour nourrir son idéologie c'est différent points constitue son erreur et ils sont tous les quatre reliés.

Dernière remarque en 2014 encore une loi féministe égalitariste dit positive non basée sur le genre qui avait pour but d'imposer aux hommes le congé parental par égalitarisme rajouter au souhait d'avoir un congé paternité toujours plus long. Le problème c'est que les féministes ont jamais proposé une meilleure rémunération sans oublier ce que le féministe ne sait pas faire la flexibilité et aucune obligation de genre.

https://theconversation.com/baisse-de-la-natalite-et-si-on-parlait-des-entreprises-228933?utm_source=pocket-newtab-fr-fr

Publié: 20 mai 2024,

« Réarmement démographique », la formule employée par le président de la République lors de sa dernière conférence de presse le 16 janvier dernier a marqué les esprits. Il est vrai que la natalité baisse en France depuis quelques années. Ainsi, le nombre de naissances a reculé de presque 7 % en un an et de près de 20 % depuis 2010, année du dernier pic des naissances. Le nombre moyen d’enfant par femme est de 1,68, soit beaucoup moins qu’en 2010, où elles avaient plus de deux enfants et en deçà du seuil de renouvellement des générations.

L’inégale répartition des tâches ménagères et parentales (lessive, éducation des enfants, nettoyage, cuisine, dont la responsabilité continue d’être assumée à 64 % par les femmes), et la charge mentale qui lui est associée, génèrent un stress 40 % plus élevé et un bien-être dégradé parmi les femmes, mères de famille. Ces effets, regroupés sous la terminologie de « motherhood penalty », sont corroborés dans toutes les recherches scientifiques (le phénomène est inversé pour les pères de famille « Fatherhood premium »).

C’est donc au moment des naissances que se creusent les inégalités de partage des tâches domestiques, puis que s’accentuent les inégalités salariales. Or ce coût est de moins en moins accepté par les femmes, qui remettent en question (davantage que les hommes) les configurations classiques du couple et de la famille. Le rapport à la parentalité et à la conjugalité évolue : si fonder une famille a toujours été considérée comme une étape essentielle d’une vie fructueuse, beaucoup de Françaises ne semblent plus percevoir les choses ainsi.

Selon un récent sondage, 30 % des femmes en âge et en mesure de procréer déclarent ne pas vouloir d’enfants. La première raison de ce choix est le désir de rester libre de son destin. La moitié des sondées déclarent ne pas envisager la maternité comme un facteur d’épanouissement personnel. L’autre moitié, à 48 %, justifient leur choix en affirmant qu’elles ne souhaitent pas assumer une responsabilité parentale, suggérant ainsi une vérité facilement perceptible : avoir des enfants est devenu un choix et implique un besoin d’opérer des changements radicaux dans sa vie, ce que toutes ne sont pas disposées à faire. L’idée d’une « vocation parentale » spécifique aux femmes est aujourd’hui fortement chamboulée.

La difficile conciliation travail-famille

Avoir des enfants implique également d’y engager des ressources temporelles, affectives, et financières. La conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle est devenue un sujet de préoccupation majeure pour les salariés. Selon le baromètre de l’Observatoire de l’équilibre des temps et de la parentalité en entreprise, publié en juin 2018, 92 % des salariés interrogés, trouvent « important » le sujet de l’équilibre des temps de vie. Ce pourcentage s’élève à 97 % pour les salariés parents d’enfants de moins de 3 ans. Néanmoins, 60 % des salariés trouvent que leur employeur « ne fait pas beaucoup de choses » pour aider à équilibrer leurs temps de vie.

La culture contemporaine du travail en France axée sur le présentéisme, la disponibilité permanente et le don de soi, cannibalise souvent les sphères personnelle et familiale. Les individus entrent en situation de « conflits » (temporel, cognitif, conflit de rôles) qui les mettent en difficulté. Selon l’Observatoire de la Qualité de Vie au Travail, 72 % des salariés français ont le sentiment de manquer de temps au quotidien, un sentiment plus prononcé chez les parents d’enfants de moins de trois ans (88 %). Sans compter que les contraintes liées à la parentalité aujourd’hui sont plus nombreuses qu’avant.

 

 

Les organisations doivent concevoir des conditions de travail sécurisantes et flexibles pour garantir cette conciliation et qualité de vie. Elles doivent transformer leur culture d’entreprise et adapter leurs pratiques managériales (par exemple, leurs systèmes de récompense et d’avancement de carrière, qui entrent souvent en contradiction avec la biologie reproductive féminine). Elles doivent aussi œuvrer davantage à reconnaitre, soutenir et accompagner la parentalité, et pas exclusivement pour les femmes.

Où sont les pères ?

La question des inégalités de genre est sous-jacente à ces débats. L’ordre social et familial se construit avec des injonctions qui vont peser différemment et inégalement selon les hommes et les femmes. Les mères payent le prix fort pour assurer cet ordre familial (disparités suite aux absences de maternité, dans le retour à l’emploi et en matière de salaires). Les femmes doivent faire carrière en même temps qu’elles font face à des obstacles non rencontrés par les hommes hétérosexuels ; elles continuent (majoritairement) à assumer les tâches traditionnelles de genre, telles que le soin aux enfants et les tâches domestiques.

Les hommes sont un peu plus nombreux à prêter main-forte au quotidien dans les activités domestiques. Cependant cette évolution est lente, en sept ans, leur taux de participation est passé de 36 à 43 %). Et même, lorsqu’ils le désirent, ils se heurtent à de nombreuses barrières au travail. De plus, les représentations stéréotypées des rôles de chacune et chacun se renforcent. 70 % des hommes pensent encore qu’un homme doit prendre soin financièrement de sa famille pour être respecté dans la société, 30 % qu’il faut savoir se battre ; 78 % des femmes pensent que pour correspondre à ce que l’on attend d’elles dans la société, il faut qu’elles soient sérieuses, discrètes, et 52 % qu’elles aient des enfants. Plus de la moitié de la population trouve normal ou positif qu’une femme cuisine tous les jours pour toute la famille. Les stéréotypes de genre sont tenaces.

Il serait nécessaire de davantage inclure les hommes dans ces discours « natalistes » et qu’ils participent davantage à créer cet équilibre, dès le plus jeune âge. S’interroger sur le système patriarcal, la masculinité hégémonique, la paternité engagée et l’inclusion de tous les hommes dans ces sujets constitue une étape cruciale pour comprendre la dénatalité et les intentions d’une partie des femmes sur cette question. D’autant plus que certaines idées hostiles persistent et croissent ; 37 % des hommes considèrent que le féminisme menace la place et le rôle des hommes dans la société et que ces derniers sont en train de perdre leur pouvoir (HCE, 2024).

La réflexion sur ces sujets doit être collective et systémique. Les comportements de natalité ne dépendent pas uniquement de décisions individuelles, mais ils s’insèrent dans une organisation sociétale, politique et environnementale donnée. Notre capacité à questionner et transformer nos structures sociales et organisationnelles déterminera résolument l’issue réussie à ce défi.

Il suffit de suivre la narration des reportages TV des sites internet ( https://www.streetpress.com/pourquoi proposé par le navigateur internet) sur ce sujet c'est stupéfiant mais c'est valable pour d'autres sujets comme l'immigration, la règle des 3 % de déficit public, les inégalités, etc. Un exemple récent suite à la lecture d'un article de presse action non sexiste les méthodes ces toujours les mêmes ce n'est pas la penne de rechercher de l'innovation je fais des recherches sur les entreprises et voici des liens  https://30percentclub.org/ https://5050wob.com/ pour moi c'est classique de l'idéologie de même le même jour les articles conformes aux narratifs féministes universitaires (https://theconversation.com/fr/education).  Je ne parle pas même pas d'un moteur de recherche comme Google et sans IA dont le féministe s'intéresse à son paramétrage et propose déjà des labels.
« Les femmes souffrent inutilement parce que presque tout est conçu pour les hommes » (Vox, 22.9.2019).
« Comment patriarcat et capitalisme se conjuguent pour aggraver l'oppression des femmes » (CADTM, 28.5.2020).
« Comment la crise climatique alimente les inégalités entre les sexes » (CNN World, 9.4.2024).

« Aucun pays au monde n’a atteint l’égalité des sexes » ( Global Citizen , 24.11.2023).