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Epargne

Voici un article sur les différences d'épargne entre les hommes et les femmes.  Le souhait du féministe dans le cadre de sa construction sociale et sociétale, est que tout soit composé au minimum de 30 % de femmes 50 %, c'est la cible. Pour obtenir ces pourcentages différentes adaptations et mesures spécifiques sont mises en place, dont certaines exclusivement réservées aux femmes, d'autres pour faciliter cette répartition.

Par exemple une rubrique spéciale "Femmes et investissement", on n'a jamais vu Hommes et investissement.  Ça serait sexiste, et surtout il faut veiller à maintenir les pourcentages de genre féminin dans les différents domaines. C'est l'universalisme féministe. Ainsi en source de l'article on trouve : ellesbougent. Une association dont le but est de demander et sanctuariser les pourcentages de féminisation dans les entreprises au nom d'une égalité. En fait c'est représentation, actions spécifiques au genre féminin, place minimum dans les formations, recrutement et nomination, ainsi qu'une accessibilité et pédagogie spécifique pour obtenir la bonne répartition garantie par les labels, les chartes, textes législatifs.  Rien d'étonnant, c'est du féminisme pur dit "égalité". C'est au mieux de l'égalitarisme qui est complètement fondé sur le genre, avec des normes, mesures et financements en fonction du genre.

"des produits financiers centrés sur une approche à long terme, plus susceptibles de parler aux femmes"

"La finance a raté son virage auprès des femmes, elle n'est pas assez tournée vers elles, notamment parce qu'elles ne sont pas assez nombreuses à y travailler".

C'est totalement faux tous les sites banquaires, gestionnaires de fonds font de la promotion des objectifs de féminisation et d'action ciblée pour remplir les objectifs.

Les engagements ESG, les assemblées générales, les forums économiques, les forums professionnels,  les rapports sociaux sont focalisés sur les objectifs de féminisation et les adaptations spécifiques pour les obtenir. Toutes les banques et sociétés de gestion ont des objectifs de féminisation, signent les chartes et respectent les labels et les normes législatives dites "égalité". Il existe des ETF pour les femmes, les salons d'investisseurs ont des espaces réservés aux femmes. La banque des femmes, des fonds spécifiques pour faire progresser le nombre de femmes entrepreneuses au nom d'une norme d'égalité basée sur le genre féminin. Il existe même des émissions spéciales pour les femmes, de comme de souvenir "femmes et ETF". Mais personne ne le sait. La finance, comme d'autres secteurs c'est masculin, donc il faut détruire et faire baisser leur pourcentage aussi bien dans les fonctions que les "clients". Donc le féministe impose ses normes comme pour d'autres secteurs. C'est de la mauvaise foi pure, on est habitué aux féministes cela ne nous surprend pas.

 

https://bourse.boursobank.com/epargne/actualites/epargne-meme-en-matiere-de-placements-financiers-les-inegalites-hommes-femmes-existent-d5c388e2e9dbc041e22d8d6f1ba667d5

En mars 2023, 22 % des femmes interrogées par l'Autorité des marchés financiers (AMF) avaient ainsi déclaré posséder un produit d'investissement, contre 36 % des hommes.

Toujours en 2023, l'établissement de paiement Trade Republic révélait que les femmes commençaient à investir deux ans plus tard que les  hommes, et avec des sommes d'argent plus faibles. Plus récemment, en mars 2025, le sondage SPAK – OpinionWay révélait des données comparables à celles de l'AMF : 10 % des femmes ont alors indiqué investir en bourse, contre 27 % des hommes.

Par ailleurs, les femmes sont nombreuses à estimer ne pas avoir les informations suffisantes pour investir, avec 65 % de femmes concernées contre 59 % pour l'ensemble de la population.

"Les femmes ont des revenus moins importants, une aversion au risque et une approche socioculturelle différente sur l'utilité de l'argent" déclare à ce propos Anne-Laure Frischlander-Jacobson au site d'information financière MoneyVox. L'investissement sur les marchés financiers, au travers d'un PEA ou d'unités de compte en assurance-vie, par exemple, peut les effrayer en raison de la volatilité de ces produits. Pour la fondatrice de la plateforme Evvest, "La finance a raté son virage auprès des femmes, elle n'est pas assez tournée vers elles, notamment parce qu'elles ne sont pas assez nombreuses à y travailler".

"Plus il y aura des femmes dans la finance, plus on pourra véhiculer cet intérêt et plus les femmes pourront proposer des produits financiers qui leur parleront" souligne Anne-Laure Frischlander-Jacobson. La plateforme Evvest propose par exemple des produits financiers centrés sur une approche à long terme, plus susceptibles de parler aux femmes. "Pour les plus averses au risque, nous proposons une dynamisation progressive sur la base d'un investissement sur du fonds en euros, avec des performances intéressantes".

« semée de préjugés ou de blocages à déverrouiller. » Il existe toute une série d'actions et de normes portées par la législation ou par des chartes pour les écoles filières professionnelles, entreprises, administration de mesures exclusivement reversées et faites pour progresser la proportion de femmes.

Nombre de ces mesures sont prises dans l’unique but d’une construction sociale et sociétale féministe qui fixe un nombre de femmes minimum dans tous les domaines peu importe les méthodes pour l’obtention. Par exemple des financements réservés pour les femmes entrepreneurs, des pédagogies et notation pour faire augmenter la proportion de femmes, des seuils minimum dans les recrutements, les nominations, les formations,... .

L'égalité réelle serait une égalité "sans objectif de féminisation", "sans actions réservées pour les filles et les femmes", sans lois, chartes ou plan mixité dont le but est de féminiser et de proposer un minimum de genre dans tous les domaines.

https://www.boursorama.com/budget/banque/actualites/60-ans-deja-depuis-le-tournant-majeur-sur-les-regimes-matrimoniaux-francais-1fae63cc68255f55ebefdb5f28863591

Les mentalités évoluent progressivement : la femme n'est plus cantonnée au rôle de mère et d'épouse dépendante, mais devient une actrice à part entière de la vie économique et sociale. Cette évolution s'accompagne d'une augmentation du taux d'activité des femmes et d'une meilleure répartition des responsabilités financières au sein du couple.

Cependant, les inégalités persistent, notamment en matière de salaires et de répartition des tâches domestiques, qui incombent principalement aux femmes.

Prôné « une réelle égalité », « blocages à déverrouiller » dans une construction sociale et sociétale dont de nombreuses normes législatifs comme chartes et labels appliqués par les entreprises, les administrations, écoles sont basés sur un nombre de femmes et toute une série de dispositifs visant à l’augmenter et exclusivement réservés aux femmes

Quels défis relever pour tendre vers plus d'égalité financière ?

Malgré les avancées permises par la loi de 1965, l'égalité entre hommes et femmes sur le plan financier n'est pas encore totalement acquise. Les écarts de rémunération subsistent, tout comme la précarité économique qui touche davantage les femmes, en particulier après une séparation ou un divorce.

L'accès à l'information et la pédagogie financière restent également des enjeux majeurs. Pour viser une réelle égalité, il est nécessaire de poursuivre les efforts et initiatives en matière de formation, de lutte contre les discriminations salariales et de soutien à l'autonomie économique des femmes, notamment via l'entrepreneuriat.

Le saviez-vous ? Selon une étude 2024, le syndrome de l'imposteur ressenti par 63% des étudiantes et 53% des femmes actives quand elles ne se jugent pas «à la hauteur» d'un niveau d'études ou d'un poste, est susceptible de les freiner dans l'obtention de leurs diplômes ou plans de carrière.

La réforme de 1965 sur les régimes matrimoniaux a ouvert la voie, mais le chemin vers l'égalité financière est une longue route, semée de préjugés ou de blocages à déverrouiller.

Article similaire qui rejoint le premier

"marqueur de leur sous-représentation dans le monde de l’épargne et de l’investissement et donc d’inégalité économique" c'est antièrement elles sont bien repésentés et les mesures pour leur repésentation et garantir  les objectifs de féminisation sont importants. Toutes les banques Françaises ont des objectifs de genre et proposent des produits d'investissement basés sur des objectifs de genre. De nombreuses plateformes publient des articles, mettent des actions, de la pédagogie, de la sensibilisation uniquement pour faire progresser le nombre de femmes, aussi pour les entreprises que pour les investisseurs particuliers. Aussi bien des rubriques comme "Femmes et investissement" ou encore "Femmes et ETF".

https://www.boursedirect.fr/fr/la-finance-et-moi/la-finance-et-moi/placements-les-francaises-investissent-proportionnellement-moins-que-les-francais-bourse-direct-45d6899cce959ef8373252969f5a807067899816

Une bonne nouvelle peut en cacher une mauvaise. Si le nombre d’investisseurs actifs progresse en France, la part des femmes dans ce public, elle, régresse. C’est ce qui ressort d’une enquête dévoilée le 8 juillet 2025 par l’Autorité des marchés financiers (AMF).

Un marqueur d’inégalité économique

Problème : alors que le nombre d’investisseurs actifs hommes a bondi de 28,68% dans le même temps, celui de leurs homologues féminins a quasiment stagné (+ 0,43%). Du coup, la proportion de femmes chez les investisseurs actifs a atteint 25% en 2024, contre 30% en 2022.

Cette baisse de cinq points en 24 mois est d’autant moins compréhensible que le pourcentage des femmes dans la population française est resté étale (51,6% en 2022 versus 51,5% en 2024).

« Le recul de la part des femmes au sein des investisseurs actifs est un marqueur de leur sous-représentation dans le monde de l’épargne et de l’investissement et donc d’inégalité économique. Les femmes doivent davantage s’intéresser à leurs finances, c’est essentiel pour assurer leur autonomie financière et leur avenir », commente Marie-Anne Barbat-Layani, la présidente de l’AMF.

Autre différence entre les genres : les femmes évoluent peu dans le choix de leur intermédiaire financier. En 2024, elles sont passées encore majoritairement par leur banque (62,8%) pour réaliser un ordre d’achat ou de vente de titres financiers (24,8% par une banque en ligne, 12,4% par un courtier en ligne). Les banques traditionnelles sont, quant à elles, devenues minoritaires chez les hommes avec 38% de leurs ordres, juste devant les banques en ligne (33,3%) et les neobrokers (28,7%).

 

 

Toujours la même narration :

https://www.boursorama.com/budget/actualites/pourquoi-les-femmes-devraient-toujours-creer-une-epargne-independante-8c3b8b51cd031157448b49cd47534bef

Pendant longtemps, les femmes n’avaient tout simplement pas le droit de gérer leur argent. Elles dépendaient de l’autorisation d’un mari pour ouvrir un compte ou signer un contrat. Ce n’est que depuis quelques décennies que cette liberté leur est pleinement reconnue.
Mais même aujourd’hui, cette autonomie reste fragile. Les inégalités de revenus perdurent. Les écarts de salaires ne se sont pas effacés, et les femmes restent moins nombreuses à accéder aux postes les mieux rémunérés. En haut de l’échelle, elles gagnent souvent bien moins que leurs collègues masculins, même à compétences égales.

Aujourd’hui, les femmes prennent une place grandissante dans la gestion de leur patrimoine. Mais cela ne se traduit pas toujours dans les produits complexes ou les investissements à long terme. Beaucoup préfèrent rester sur des supports simples, qu’elles comprennent et maîtrisent. Elles veulent pouvoir suivre, poser des questions, faire confiance.
Ce besoin de clarté et de contrôle se retrouve aussi dans la relation avec leur conseiller. Pas question de signer sans comprendre ou de confier son épargne à l’aveugle. Les femmes attendent plus de transparence, de dialogue et de sécurité.
Et puis, il y a cette envie d’aligner son argent avec ses choix de vie. Ce n’est pas qu’une question de chiffres. C’est aussi une manière de se projeter, de préserver son équilibre, de garder le cap même quand la vie bouscule les plans.

 

 

Les méthodes féministes traditionnelles dans le cadre de leur construction sociale et sociétale :

La plupart de ses dispositifs vise à installer et milite pour des objectifs de genre féminin dans tous les domaines et des actions spécifiques (financement, recrutements,… ) visant à maintenir et garantir l’accès.  Pour le féminisme c’est le nombre ou le pourcentage de filles et de femmes qui signifie l’égalité c’est contestable.

La narration des différences garçons/ filles et homme/femmes s’inscrit dans le cadre de la construction féministe pour de nombreuses études féministes on connaît les résultats, les mesures et normes avant la publication. Pour faire simple un objectif de genre n’est pas basé sur le genre, ou une action spécifique et une égalité tant que c’est pour femme.

Dans cette article vous trouvez tous 

l’Insee rappelle qu’en 2021 le salaire moyen des femmes dans le secteur privé était inférieur de 24 % à celui des hommes. On sait qu'il est de moins de 9 % donc une partie non négligeable non imputable à de la discrimination mais il faut bien justifier des lois et garantir la présence des normes féministes de représentation

La fameuse étude de performance de l’université de Warwick a montré que leurs portefeuilles affichaient en moyenne 1,8 % de performance de plus que ceux des hommes sur trois ans. La pareille  des études comme le féministe en publie souvent. On connaît les normes e recommandations avant les publications.

De nombreux travaux montrent que les garçons sont plus souvent encouragés à la prise de risque, par le sport notamment, tandis que les filles sont socialisées à la prudence, ce qui finit par peser sur leur confiance financière. À l’âge adulte, cette construction se traduit par une tendance à sous-estimer leurs compétences et par une méfiance vis-à-vis des placements. Les fameux jouets et moments de jeux préférés des filles et des garçons, il faut mieux tout contrôler comme le féminisme le propose (conforme à l'idéologie), c'est très libéral et sans construction systémique bien sûr.... .

https://www.boursorama.com/budget/actualites/pourquoi-les-femmes-epargnent-plus-mais-investissent-moins-c5d5cb37deb3680319c89b71893c6ac5

aufeminin •27/10/2025 à 12:27

Les femmes mettent de l’argent de côté avec constance, parfois même avec plus de rigueur que les hommes, mais franchissent rarement le pas de l’investissement. Ce réflexe façonne pourtant leur avenir financier : moins d’actions, moins de placements diversifiés et, à terme, un patrimoine qui croît plus lentement. Derrière cette prudence souvent jugée rassurante, se cache un coût invisible. Cette retenue se traduit par une sécurité financière plus fragile, notamment au moment de la retraite, là où les écarts de patrimoine deviennent les plus criants.

Cet écart reflète à la fois des revenus plus faibles, puisque l’Insee rappelle qu’en 2021 le salaire moyen des femmes dans le secteur privé était inférieur de 24 % à celui des hommes

Toujours selon l’AMF, à peine 29 % des femmes estiment s’y connaître en matière de placements, contre 42 % des hommes. Pourtant, lorsque leurs connaissances sont testées, les écarts sont minimes. Elles se sous-estiment, là où les hommes ont tendance à se surestimer. Résultat : avant de se lancer, beaucoup de femmes attendent le moment parfait ou multiplient les conseils auprès d’experts et de proches. Comme l’explique Morgane Dion, cofondatrice de l’application Plan Cash, dans Ouest-France , « les femmes, comme dans tout secteur, ont l’impression qu’elles ont besoin de tout savoir avant de se lancer. Elles vont reporter le premier investissement alors que les hommes attendent moins le moment parfait ».

Près de 48 % des femmes refusent les placements jugés dangereux, contre 36 % des hommes, d’après l’AMF. Pour beaucoup, la Bourse reste associée à un univers incertain, voire à un « casino » : en Belgique, 42 % des femmes partagent ce sentiment, contre 27 % des hommes, selon une étude ING. Résultat : elles privilégient les comptes d’épargne classiques, malgré des rendements laminés par l’inflation. « Dans un monde où l’inflation va demeurer plus élevée que par le passé, laisser ses économies « dormir » dans une solution d’épargne, sur un compte courant ou en cash engendre un appauvrissement. Par conséquent, étant donné que les femmes sont moins enclines à investir, elles sont toujours plus susceptibles d’avoir connu un appauvrissement dû à l’inflation au cours des dernières années. Cela conduit à un écart en termes de patrimoine entre hommes et femmes qui demeure et qui risque de s’accroître au fil du temps », indique Charlotte de Montpellier, économiste senior chez ING, dans l’étude publiée en juillet 2025.

L’Université de Warwick a montré que leurs portefeuilles affichaient en moyenne 1,8 % de performance de plus que ceux des hommes sur trois ans. Fidelity Investments ou encore l’Université de Californie confirment cette tendance, même si l’écart est parfois plus faible. En cause ? Une approche plus réfléchie, moins d’opérations impulsives et une vision de long terme. « Les femmes tradent moins, privilégient la diversification et gardent des objectifs clairs », souligne Matthias Baccino, directeur des marchés européens chez Trade Republic, dans Les Échos .

De nombreux travaux montrent que les garçons sont plus souvent encouragés à la prise de risque, par le sport notamment, tandis que les filles sont socialisées à la prudence, ce qui finit par peser sur leur confiance financière.

 

Petite parenthèse, un exemple sur le crédit lombard les investisseurs sont avantagés quand ils choisissent les critères ESG :

https://www.swissquote.com/fr-lu/private/trade/products/securities/lombard-loan

Boostez votre crédit Lombard grâce au score ESG.

Sur les critères ESG :

https://www.boursorama.com/epargne/actualites/epargne-pourquoi-les-francais-boudent-ils-les-placements-responsables-1714d744a53094d5b8e170419460d140

L'accès à Google est libre, le téléchargement d'applications de courtier en ligne ou de banque, tout comme la recherche :

https://blog.yomoni.fr/tribune_avenue_des_investisseurs/

Dans un article précédent, nous avons sélectionné quelques “influenceurs” sur des sujets variés : bourse, épargne, budget… Et nous avons constaté que les femmes publient généralement plutôt sur le budget, et les hommes sur l’investissement, de bourse… Même si les choses changent, c’est très lentement et ce biais est toujours là, très marqué. Vous le constatez aussi dans les contacts avec vos lecteurs ?

? Nous partageons le même constat. Selon les statistiques remontées par Google, nous avons 2 fois plus de lecteurs que de lectrices. On le déplore, nous aimerions la parité.

Et pourtant, nos articles s’adressent à toutes et tous, il n’y a aucune barrière à l’entrée et chacun peut y accéder en faisant des recherches sur le sujet de l’investissement sur Google. C’est la beauté d’internet, il n’y a pas de garde à l’entrée des sites web pour filtrer, ils sont ouverts à toutes et tous.

Cela signifie que les dames font moins de recherches sur l’investissement via Google, et cela nous ne le maîtrisons pas. Ceci dit, on estime que chacun devrait pouvoir accéder aux meilleures informations pour mieux investir et développer son patrimoine, quel que soit le genre, l’âge ou le niveau de fortune. L’éducation financière est d’utilité publique.

Aussi, sur les conseils d’une amie blogueuse, nous avons créé un compte Instagram et cette fois, c'est l’inverse : nous avons 2 fois plus d’abonnées que d’abonnés ! Mais nous touchons bien moins de personnes sur Instagram que via les recherches Google, qui reste le principal média.

De l’autre côté de la barrière, on constate également que les blogueuses de l’écosystème des finances personnelles sont plus portées sur le budget (maîtrise des dépenses du foyer), alors que les blogueurs sont plus portés investissement. Cette tendance semble cependant un peu moins marquée pour l’immobilier.