Travailler gratuitement

L'égalité salariale c'est en partie ce qui justifie la construction sociale et sociétale féministe et les actions spécifiques pour les filles et les femmes.

C'est en partie pour cela que le féministe impose un nombre de filles et de femmes dans tous les secteurs professionnels, scolaires, dans les recrutements, les nominations,... . Impose toute une pédagogie et de nombreux dispositifs législatifs pour obtenir ces pourcentages à des normes de réussite qui sont basées sur le genre.

De nombreux dispositifs sont mis en place pour obtenir les pourcentages conformes et d'ailleurs souvent non mixtes visite d'entreprise réservée aux collégiennes et lycéennes pour un domaine professionel (STEM, numérique, industrie, armés, cible prioritaire du féminisme), espace voire salon proffessionel, etc. Il existe de nombreux guides sans oublier les définitions. Ainsi les objectifs de genre féminin ne sont pas basés sur le genre bien sûr, des mesures spécifiques pour les filles et les femmes ne le sont pas, les associations spécifiques pour les filles et femmes sont une égalité sans aucun doute, les quotas, les chartes d'égalité et autres labels seraient une égalité car comme l'ensemble des mesures ils reposent sur le nombre et le pourcentage de femmes c'est ça qui définit l'égalité c'est au mieux un égalitarisme. 

Petit rappel :

L’index égalités femmes/hommes impose notamment la nomination de femmes dans les postes.

L'index définit selon les normes féministes comme le reste rien d'étonnant

L’accès des entreprises aux marchés publics et l'obtention de subventions soient conditionnés au respect de l'égalité salariale. L'égalité salariale se définit selon les normes féministes donc le nombre de femmes dans un domaine.

On n'aimerait que les associations féministes, les réseaux féminins et même les entreprises ne se voient plus accorder de subventions ou d'autorisation d'accès aux marchés publics s'ils basent leurs dispositifs (recrutement, nominations, formation, visites d'entreprises, financement, pédagogie,...) sur le genre féminin

Sur le congé post-naissance équivalent pour les deux parents.

Les congés parentaux et paternité le féministe adore. Il permet d'imposer aux hommes un congé comme la femme là encore par pur égalitarisme. Déjà le féministe dira toujours que la charge mentale sera toujours plus présente sur les femmes donc un des principes de base ne tient pas. Ensuite le féministe ne coûte pas d'argent, outre les nombreuses associations et dispositifs à financer ce dispositif a un coût. Ensuite même 3 mois d'arrêt sur 42 ans de travail c'est par pur égalitarisme, les congés à rallonge et toujours basé sur le féminin et ses normes. Aucun pays n'a eu sa natalité augmentée avec des normes féministes

 

"Les Glorieuses"

Le mouvement fait partie des nombreuses associations militantes (ellesbougent, ellesetmaths, financi'elles,...) qui imposent des normes sociales et sociétales féministes reprises par les réseaux féminins. C'est imposer des normes pour faire augmenter le pourcentage féminin dans un domaine, adaptations spécifiques aux filles et aux femmes, deux définitions suivant votre genre,... . 

"une revalorisation des salaires des professions où les femmes sont les plus nombreuses". Le genre c'est le plus important, bien évidemment

sous-valorisés par nos standards économiques et patriarcaux de la patronne des Ecologistes 

Les Ecologistes ont été l'un des premiers partis à imposer la parité, sans oublier leur politique qui tient entièrement compte des normes féministes. Elles sont basées sur le standard féministe, tout est selon leurs constructions sociales et sociétales féministes. Cela est repris par cette formation politique comme pour d'autres partis maintenant. 

C'est une injustice réelle. Nous devons y mettre fin de la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun Pivetla transparence salariale

Pour l'injustice réelle quand on soutient la construction sociale et sociétale féministe rien que les normes imposées féministes dans la législation (https://www.legifrance.gouv.fr/) comment dire là encore deux définitions suivant le genre. Il faut dire que quand on est militante ont met plus d'importance aux sexes qu'aux sens des mots et assurément aux actions.

L'Islande et la Suède

Même la Norvège, qui par exemple dans le secteur public, il nomme des femmes pour réduire ces écarts, non rien contre les politiques basées sur le genre, les objectifs de féminisation, la pédagogie spécifiques, les objectifs de recrutements et de nomination en fonction du genre

Nous sommes contre les normes féministes de sélections, de représentativités, des pédagogies dont l'unique but est d'augmenter la proportion d'un sexe et dans de nombreux cas réservées aux filles et femmes y compris dans les financements. Le féminisme a fait deux erreurs il n'a jamais su tenir contre des hommes comme des femmes, des filles comme des garçons. Cela se voit dans ses normes et surtout ils basent leur égalité sur le pourcentage de filles et de femmes. 

Ça se change Le mouvement

Sur le salaire plus complet et moins idéologique que le féminisme, ce n'est pas dur :

« Ces différences impliquent moins d’heures payées, mais aussi une pénalité due au fait que les postes à temps partiel ont un salaire horaire inferieur. D’un autre côté, hommes et femmes travaillent dans des secteurs et postes différents. »
"inexpliquée" 9%, selon l’Observatoire des inégalités « Ainsi, la composante « inexpliquée » peut résulter du fait que nous n’observons pas toutes les caractéristiques du poste de travail. »

Publication d’INSEE PREMIERE, n°2079, Les salaires dans le secteur privé en 2024 (rappelons qu’il n’y a jamais eu de constat d’une discrimination en fonction du sexe dans le secteur public) https://www.insee.fr/fr/statistiques/8657156

Plusieurs résultats très intéressants :

- En 2024, le salaire net moyen à temps de travail identique (temps plein) des hommes a augmenté de 0,7%, et celui des femmes de 1% 

- Les femmes gagnent en moyenne 13% de moins que les hommes à temps de travail identique, temps plein (c’est à dire sans tenir compte du métier, de l’entreprise, du grade, des compétences, etc.) L’Insee écrit :" Cet écart salarial est principalement le reflet du fait que les femmes et les hommes n’exercent pas les mêmes métiers dans les mêmes entreprises, et sont notamment répartis différemment par catégorie socioprofessionnelle, secteur d’activité ou taille d’entreprise". En 2023, l’écart était de 14,2%. Sur les dix dernières années, baisse de 5,1%.

Ce qui signifie :

1) Si le salaire féminin augmente (et plus que celui des hommes) / si l’écart entre salaire masculin et salaire féminin se réduit un peu plus chaque année : le prétendu "plafond de verre" n’existe pas.

2) Si l’écart résiduel s’explique par la différence entre métiers, entreprises, compétences, etc : il n’y a pas de discrimination salariale en fonction du sexe.

Certes, l’INSEE suggère cette réalité, quoique de manière trop rapide et discrète. Mais, depuis ce matin, les médias répercutent à tort et à travers le chiffre de -13%, sans précautions ni précisions, ce qui laisse à croire qu’il correspond à une discrimination réelle. Pas étonnant qu’il suscite la colère chez certaines femmes, qui n’ont pas le loisir ou la curiosité de lire les enquêtes dans le texte. 

https://bourse.boursobank.com/actualite-economique/actualites/inegalites-salariales-des-11h31-ce-lundi-les-femmes-travaillent-gratuitement-9893d55de4f72bf02b635768ea21fc49

Depuis 2016, l'écart salarial entre les femmes et les hommes s'est réduit, passant de 15,1 à 14,2%, soit une baisse minime de 0,9 point.

Le “jour de l’égalité salariale” a avancé de 43 heures cette année. En 2024, le travail “gratuit” des femmes commençait le 8 novembre à 16 h 48 .

"Les Glorieuses" ont calculé cette heure et cette date à l'aide de statistiques sur les écarts de salaires entre les femmes et les hommes en France. A temps de travail identique, les femmes gagnent en moyenne 14,2% de moins que les hommes, selon les dernières données disponibles de l'Institut national de la statistique (Insee), qui portent sur 2023 .

Pour Rebecca Amsellem, fondatrice de la newsletter, "il faut encore un coup de pouce pour accélérer dans la lutte pour l'égalité salariale".

Depuis 2016, l'écart salarial entre femmes et hommes s'est réduit de 15,1 à 14,2%, soit de 0,9 point. "A ce rythme-là, on atteindra l'égalité en 2167", soit dans 142 ans, alerte-t-elle.

Les pays scandinaves, avant-gardistes sur l'égalité salariale

Pour accélérer le mouvement, "Les Glorieuses" demandent une revalorisation des salaires des professions où les femmes sont les plus nombreuses et plaident pour un congé post-naissance équivalent pour les deux parents.

Elles souhaitent également que l'accès des entreprises aux marchés publics et l'obtention de subventions soient conditionnés au respect de l'égalité salariale. Une mesure qui "permettrait de garantir que les fonds publics ne creusent plus les inégalités" .

"Les Glorieuses" espèrent également que la transparence salariale, qui s'imposera dès l'an prochain, via la transposition d'une directive européenne, permettra de faire une différence.

" Les pays comme l'Islande et la Suède, où les écarts de salaires sont devenus un non-sujet, ont mis en place la transparence salariale depuis des dizaines d'années ", souligne Rebecca Amsellem. "Cela va notamment aider les femmes à négocier leurs salaires".

"Mettons fin à cette inégalité par la loi"

Plusieurs responsables politiques, de gauche comme du parti présidentiel, ont réagi ce matin.

" Ce n'est pas un symbole abstrait, c'est une injustice réelle. Nous devons y mettre fin ", a réagi dans la matinée la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun Pivet, sur le réseau X.

"Les incantations ne servent à rien. Maintenant, il faut des actes", a abondé sa vice-présidente, l'insoumise Clémence Guetté.

De nombreux responsables de gauche ont écrit des messages pour s'indigner de cette inégalité salariale.

Les femmes "occupent aussi plus souvent des emplois à temps partiel, et sont surreprésentées dans des secteurs essentiels, comme les soins, mais sous-valorisés par nos standards économiques et patriarcaux" , a souligné la patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, seule femme à la tête d'un grand parti.

"Mettons fin à cette inégalité par la loi, de manière obligatoire, incontournable", a pour sa part réclamé le dirigeant du Parti communiste Fabien Roussel.