Un nouvel article qui nous a plu c'est les propositions de l'Instiut Montaigne on moins on peut être sure d'une chose s'ils sont dits d'orientation "libérale" sur l'économie en revanche sur les questions de société adopter le féministe comment dire il y a quelque chose qui ne va pas. Pour les propositions c'est du féministe classique ils sont modernes : 40% dans les comités exécutifs noter pour encourager la promotion des femmes (c'est le sens distinction de sexe) sans oublier une perle il est désormais nécessaire que les politiques de diversité de genre ne soient plus uniquement considérées comme des politiques de RH (ressources humaines) ou de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), mais comme des politiques de performance économique".

 

 

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Egalité femmes-hommes: l'Institut Montaigne propose un objectif de 40% dans les comités exécutifs

L'Institut Montaigne a publié vendredi un rapport destiné à encourager la promotion des femmes dans les fonctions exécutives des entreprises, en proposant un objectif de 40% du sexe le moins représenté dans les principales sociétés cotées à Paris.

Pour les auteurs du rapport du think thank libéral, Aulde Courtois et Jeanne Dubarry de Lassalle, cet objectif, qui doit être atteint d'ici à cinq ans, doit être inscrit comme un engagement de chaque entreprise donnant lieu à une publication annuelle.

En France, les instances de direction des entreprises du SBF 120 (CAC 40 et 80 autres valeurs), sur lesquelles portent cette préconisation, ne comportent actuellement que 17,7% des femmes. Elles sont 37% dans les cabinets ministériels.

"Notre recommandation s'appuie (...) sur une démarche volontaire plutôt qu'un passage par la loi", soulignent les auteures de l'étude, estimant que "compte tenu des évolutions rapides de l'opinion sur ce sujet, il ne fait pas de doute que la loi viendrait suppléer une absence d'actions".

En ce qui concerne les entreprises de taille intermédiaire, elles proposent de fixer des objectifs de réduction d'écarts annuels.

Parmi huit autres mesures, elles préconisent l'octroi d'un certain nombre de jours de congé post-naissance aux parents, en dehors des huit semaines de repos obligatoire (dont six après l'accouchement), comme un "droit de tirage", indifféremment de leur sexe ou de leur statut hiérarchique, afin de ne pas discriminer et stigmatiser en fonction du sexe.

Elles demandent aussi à l'État actionnaire et à l'État investisseur de "chacun prendre leur part de développement des politiques publiques en matière de diversité de genre", par le biais de Bpifrance et de l'Agence des participations de l'État.

Citant "plusieurs études récentes" montrant une forte corrélation entre diversité de genre et performance d'une entreprise, Mmes Courtois et Dubarry de Lassalle estiment qu'"il est désormais nécessaire que les politiques de diversité de genre ne soient plus uniquement considérées comme des politiques de RH (ressources humaines) ou de RSE (responsabilité sociétale des entreprises), mais comme des politiques de performance économique".