Pertubent les entreprises

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Quand une femme est empêchée de progresser, elle ne voit pas que 10 hommes s'y sont cassés les dents avant elles. En vérité, toute leur vie, où qu'elles aillent, quoiqu'elles fassent, il semble bien qu'elles veuillent être considérées partout comme des femmes enceintes.
Là, où on leur reconnaît l'honneur de la maternité, elles voudraient qu'il en soit de même dans tout le reste de la société. Elles voudraient pouvoir diriger sans contrainte ! Or elles ne perçoivent pas que les hommes ont toujours dû faire preuve de la plus grande agressivité couplée à la plus grande retenue pour obtenir ces postes. Elles voudraient échapper à ces fourches caudines parce qu'elles seraient des femmes ! Car, oui, il est difficile d'être ambitieux et retenu à la fois. Cela demande de respecter un certain nombre de codes propres à chaque société. Si on supprimait ces codes, on supprimerait de facto, les conditions de l'excellence dans la société à laquelle on appliquerait cette suppression. Et on démultiplierait la violence dans les organisations (ce qui est en train d'arriver). Sans agressivité, pas de performance. Sans retenue, pas d'interactions, ni de survie. Or c'est bien cette tension que ces femmes ambitieuses croient pouvoir supprimer parce qu'elle les dérange. Elles instaureraient ainsi, non plus une dictature par l'excellence, bien dure à leur yeux, mais une dictature tout court, plus vivable car tout y serait à sa place, sous la férule d'une matrone ou d'un tyran. Car qu'est-ce qui se cache derrière ce désir d'y arriver sans en accepter les contraintes, sinon un désir pervers de jouir de manière totalitaire ? Des « Anne Lauvergnon » ou autre « Rachida Dati », femmes qui y sont arrivées empruntes d'une attitude totalitaire, nous montrent bien que nous avons à nous méfier de ces femmes qui accusent les hommes de totalitarisme... elles le sont plus encore que d'autres car elles n'y sont pas arrivées grâce à leurs qualités. Et tel est le défaut du système. Au lieu de faire réussir des femmes compétentes comme par le passé, on en est venu à faire la promotion de psychopathes irresponsables, qui désireront attirer d'autant plus de psychopathes irresponsables à leurs côtés. Quand une pomme est pourrie dans le panier... elle pourrit toute l'éducation nationale, tous les métiers de santé, toute la justice, toute la société.

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A travers cet article, on peut voir que :

1 Les femmes croient que les codes imposés par les hommes, sont des codes sexistes. Elles croient que ces codes les empêchent de se réaliser dans leur milieu professionnel en tant que femme.

Par exemple, l'attitude sobre qu'on leur demande dans leur habillement est vécu comme une acculturation inacceptable :

« Représentez-vous une femme, en passe de grimper vers le top management d’une grande entreprise. Vous l’habillerez instantanément d’un tailleur-pantalon noir, de talons d’une hauteur raisonnable, d’un maquillage discret et d’un dossier sous le bras. À l’image de ses confrères masculins, finalement. Pourquoi est-ce si compliqué de se projeter différemment ? »

Or si les hommes demandent de la sobriété, ce n'est pas par sexisme mais par efficacité. La sobriété évite d'augmenter la concurrence entre individus, qui est bien suffisante dans les grandes entreprises. En effet , le vêtement est aussi un signe porteur de rivalité et donc d'agression et de violence. Les hommes l'ont bien compris. L'attitude plutôt classique qu'ils déploient dans le travail au sein de grands groupes, marque le respect qu'ils ont les uns pour les autres. Les femmes en voulant changer ces règles, réintroduisent la violence, parce que dans leur intimité, l'éclectisme est valorisé.

« Les attributs du pouvoir n’ont rien de nécessairement masculin. Si nous le pensons, c’est simplement parce que nous sommes entouré(e)s d’une majorité de représentations dans ce sens. » (Eléna Fourès, fondatrice du cabinet , Idem per Idem consultants, spécialiste de la gouvernance multiculturelle auprès de grandes entreprises, et auteure du livre Leadership au féminin (1).), « comme les hommes occupent le terrain, on ne retiendrait que leur façon de faire. », rajoute la journaliste

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Cherchant à voir avec leur regard de femme, ne comprenant rien au monde social de la rentabilité, ni à la culture multi-millénaire des hommes, ces femmes débarquent dans le monde du travail des grandes entreprises comme des chiens dans un jeu de quille, avec leur intimité qui n'a rien à y faire. Elles renversent tout, en s'opposant à tous les codes qu'elles rencontrent, dès qu'elles le peuvent. Alors qu'elles sont à l'origine même du problème, ici le code vestimentaire sobre appliqué dans les grandes organisations, elles entendent apporter leurs solutions !

Les codes établis par les hommes, ne l'ont pas été par hasard. Ils marquent le territoire certes, mais ils ont également pour fonction de réguler les rapports sociaux. Ils permettent à des individus différents de se côtoyer tout en évitant l'égocentrisme : non pas le plus beau, mais celui qui rendra sa société la plus riche. Non pas servir son apparence ou sa richesse, mais servir l'entreprise pour laquelle on travaille. Cette confusion est faite par des femmes pour qui beauté est synonyme de compétence. Si les hommes défient la beauté à travers leurs codes, la raison en est qu'il en connaissent le résultat, celle d'une concurrence individuelle qui se termine immanquablement par la guerre. Ainsi, dans le monde des hommes, dans les grands groupes, la réussite doit se faire en dehors de l'apparence du triomphe. Un Alcibiade qui fut le plus grand stratège de son temps, provoqua la ruine de son pays qui ne put supporter en lui tant de beauté, d'intelligence et d'arrogance. Plus près de nous, un Steve Job mit à la mode, des cols roulés noirs d'une sobriété confondante. Dans ses pulls à col roulé, il ne plastronnait pas. Il avait plutôt les allures d'un moine bénédictin ... « Le premier d'entre nous est celui qui sert les autres. ».

 

Un lien extrait du site L’Express du 07/06/2013 http://www.lexpress.fr/actualite/medias/les-echos-greve-des-signatures-des-journalistes-femmes_1255641.html C'est également une discrimination envers les hommes mais cela n'existe pas d'après elles. On pourrait même dire que c'est une discrimination car ils sont nés en étant homme.  Une chose est sûre il faut une école de l'égalité plus juste (la parité n'est pas l'égalité c'est de la réprésentation ) et ne pas se limiter à la rééducation des hommes.

Conseils d'administration: plus de femmes, mais la parité est encore loin (étude) AFP le 04/09/2015 à 12:11

La féminisation des conseils d'administration se poursuit en France, mais les grandes entreprises restent loin de leur objectif de parité et devraient recruter 150 femmes d'ici 2016 pour y parvenir, selon une étude du cabinet. Russell Reynolds Associates publiée vendredi.  On voit que l'on doit recruter des femmes pour les objectifs on applique aucune discrimination contre les hommes ?