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"La ministre allemande de la Famille, Katarina Barley, a posé mercredi un ultimatum d'un an aux entreprises allemandes pour nommer davantage de femmes à leur direction, et menacé d'introduire des quotas contraignants si elles n'obtempèrent pas." Voici une obligation de plus, une norme féministe obligatoire ce qu'elle préfère les quotas et la loi pour rendre obligatoire, sans oublier ce qui en découle la discrimination masculine sous couvert du sens distinction de sexe et le "pour femme synonyme" d'égalité .

 
Allemagne: les entreprises ont un an pour nommer plus de femmes à leur tête
le 16/08/2017 à 11:32
 
 
"Je donne un an au secteur économique pour régler cela tout seul", a lancé la ministre social-démocrate dans un entretien au groupe de journaux Redaktionsnetzwerk Deutschland (RND).
"Si rien n'est fait d'ici là, nous interviendrons par la loi", a-t-elle ajouté alors que l'Allemagne est notoirement à la traîne dans le domaine de l'emploi des femmes à des postes de hautes responsabilités.
"Je n'aurais pas de problème avec un quota de femmes contraignant pour les directoires d'entreprises", a souligné la ministre en pleine campagne électorale pour les législatives du 24 septembre pour lesquelles le Parti social-démocrate (SPD) ne part pas favori.
 
Depuis janvier 2016, plus d'une centaine de grandes entreprises allemandes cotées en Bourse doivent employer 30% de femmes dans leur conseil de surveillance qui a la main sur les salaires et les conditions de travail.
La loi avait été imposée à la chancelière conservatrice Angela Merkel par son partenaire de coalition social-démocrate.
Mais dans les directoires d'entreprise - cercle restreint autour du patron -, la proportion de femmes demeure faible. Selon des chiffres de l'Institut économique DIW, le pourcentage de femme dans les directoires des 106 plus grosses entreprises allemandes n'était que de 6,5% l'an dernier.
Elles étaient plus nombreuses dans les conseils de surveillance de ces mêmes sociétés, avec 27%.
L'Allemagne, où le féminisme n'est pas en reste, est longtemps demeuré un pays où il était très difficile pour une femme de concilier carrière professionnelle et maternité.