Un Français sur deux

Un Français sur deux prêt à élire Christine Lagarde présidente de la République c'est ce que nous pouvons découvrir en lisant cette article https://fr.news.yahoo.com/fran%c3%a7ais-deux-pr%c3%aat-%c3%a0-%c3%a9lire-christine-lagarde-pr%c3%a9sidente-155643302.html?bcmt_s=m#ugccmt-container.s

Nous n'avons rien contre le fait qu'une femme soit présidente toutefois en lisant la fin de l'article, on peut se demander  les réactions si les pourcentages étaient favorables aux hommes et si cela ne correspond a des stéréotypes plus féminins pour reprendre un terme très à la mode :

elles sont notamment jugées meilleures en termes de capacité d'écoute (55% contre 2% pour les hommes, 43% les jugeant à égalité), perçues comme plus courageuses (34% contre 6%), plus aptes à tenir leurs engagements (33% contre 3%) et capables d'une meilleure compréhension des préoccupations des Français (38% contre 2%).

Un autre point avec la récente nomination de Madame Myriam El Khomri la loi sur la parité et leur engagement n'est pas respectée même par leur porte-parole.  Il ne faudra pas attendre longtemps pour minimiser la fonction de ministre et relativiser cette injustice (quand les hommes sont majoritaires c'est sexiste quand les femmes le sont c'est progressiste) :

http://madame.lefigaro.fr/societe/pour-la-premiere-fois-il-y-a-plus-de-femmes-que-dhommes-ministres-020915-97990

 

Identique ou différent :

http://madame.lefigaro.fr/societe/quand-les-femmes-politiques-seduisent-lelectorat-130415-96062

Un programme de sensibilisation féministe ça comme bien Madame la ministre ce n'est pas académique sans le visionner on cannait le contenu et l'argumentation :

http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/3504032-madame-la-ministre/#serie-header 

 

 
Ainsi soient-ils. Sans de vrais hommes, point de vraies femmes. Hélène Vecchiali. Calmannn-Levy, 2005
l’"Etat maternant" qui gère des "citoyens infantiles" : état "compatissant, abondant, dispendieux, apaisant, telle une mère gavant ses petits et leur épargnant la confrontation avec les refus et la mort" (p.150), mais état qui ne peut plus appliquer ses décisions, alors que le besoin réel est celui de "dirigeants justes, efficaces et visionnaires".