C'est un article intéressant sur question de la parité et des quotas en politique il faut savoir que celui ou celle qui est contre deux nomes féministes phare les quotas et la parité sont sexistes et stéréotype pourtant les méthodes des quotas ainsi que la parité plus généralement la mixité sociale est fondée sur le genre donc le sexe ne pas nommer un homme car il y a trop d'hommes où ils sont trop nombreux ne représente pas la société et mettre des mesures spécifiques pour faire qu'un sexe soit représenté c'est du sexisme également mais leur stéréotype même plus globalement leur idéologie veut que ne pas nomme un homme car c'est homme c'est un progrès ne pas nommé une femme car femme c'est du sexisme.

Qui a dit que la parité était sans distinction de sexe et reposer uniquement sur la personne : Mme Shiappa "Ne comptez plus sur moi pour défendre la moindre nomination d'homme à partir de maintenant"

Sur la loi Copé-Zimmermann sur les quotas déjà c'est une loi discriminante fondée sur le genre un homme ne peut être nommé car il est un homme ensuite le conseil d'administration doit-il représenter l'entreprise, des sexes une société ? Sans compter qu'il fallait mettre en place des cabinets chasseur de têtes pour trouver des femmes sans oublier que les femmes qui fonctionnent en réseau, quota et mentorat ne se connaissent pas et c'est grace à leur compétence sans oublier les places reservées car femmes pour les hommess c'est ils se connaissent et font moins bien.

En 2017 il y avait plus de candidats hommes que femmes LREM a souhaité 50 % toujours sans distinction de sexe. Pour les élections législatives c'est un score traditionnel pour le parti présidentiel juste une remarque à ce sujet comme quoi le nombre de femmes candidates ferait plus voter : "Ce dimanche en effet l'abstention bat un nouveau record. Selon un résultat quasiment définitif, 56,83% des électeurs ne se seront pas rendus aux urnes ce dimanche. Elle dépasse de 5 points l'abstention du premier tour la semaine dernière."

Les différents articles nous retrouvons les normes féministes habituelles c'est sexiste quand on ne pense pas comme elle la méthode des pourcentages imposer des quotas quand on a 20 candidatures d'hommes pour une candidature de femme c'est le féministe sexiste et sa vision de la société il faut que 50 % des maires soient des femmes en plus des quotas ont fait des mesures sexuées spécifiques un programme d'accompagnement, "Toutes politiques", avec "un dispositif de mentorat"  ensuite la répartition des nominations au niveau local, les femmes doivent pouvoir devenir adjointe aux finances, à l'urbanisme, aux transports et, évidemment… maire.  il y en a dont la sexualisation et déjà obligatoire peut être une lacune féministe pour le reste qui sera bientôt corrigé. Pour justifier une idéologie et les quotas on parle des violences gynécologiques ou le harcèlement de rue.

 

 

http://www.leparisien.fr/politique/municipales-gros-coup-de-gueule-sur-la-parite-chez-lrem-11-07-2019-8114337.php#xtor=AD-32280599

Mercredi soir, au cours du bureau exécutif de LREM, le ton est très vite monté au sujet de la parité concernant les investitures des candidats aux prochaines municipales.

Dans le huis clos de la réunion des dirigeants du parti, plusieurs participants ont, selon nos informations, poussé un énorme coup de gueule sur la parité. Outre la capitale, le mouvement devait en effet délivrer les investitures dans 24 villes, pour lesquelles sept femmes seulement étaient en piste.

C'est le cas de Besançon qui a mis le feu aux poudres. En lice : le député LREM Eric Alauzet, 61 ans, élu local depuis 1995, et la référente départementale LREM depuis 2016 Alexandra Cordier, 36 ans, soutenue par le maire LREM actuel Jean-Louis Fousseret. « Il est peu probable qu'on gagne cette ville. Or, on a une nana valable et on choisit d'investir l'homme, par 11 voix contre 8 ! Ça nous a mis en rage ! », fulmine un participant, ulcéré d'avoir en outre entendu Jean-Marc Borello, très proche d'Emmanuel Macron, présenter la candidate écartée comme une… « collaboratrice manipulée » par le maire sortant.

« Ça fait deux ans que je vais sur tous les plateaux de télé pour dire que tout va bien chez nous, ne me rendez pas la tâche impossible ! Ne comptez plus sur moi pour défendre la moindre nomination d'homme à partir de maintenant », a aussitôt tonné la secrétaire d'Etat à l'Égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa, bien décidée à ne plus tolérer que les femmes ne récupèrent que des « miettes ».

« Une déferlante de propos sexistes et stéréotypés »

« Tout ça nous ramène huit ans en arrière, à l'époque de la loi Copé-Zimmermann sur les quotas (NDLR : qui a imposé un objectif de 40 % de femmes dans les conseils d'administration des grandes entreprises), quand on disait qu'on ne trouverait jamais de femmes valables ! Regardez, ça marche, aujourd'hui on est à 45 % ! », a également protesté la ministre du Travail Muriel Pénicaud. Avant que la députée et porte-parole Laetitia Avia ne s'emporte à son tour contre les clichés machistes : « Quand un homme est collaborateur, on dit que c'est un bras droit. Et quand c'est une femme, on dit que c'est une assistante ! Si bien que les femmes n'ont jamais autant de compétences à vos yeux ».

Parmi les autres défenseurs de la parité à avoir pris la parole figuraient les secrétaires d'Etat Agnès Pannier-Runacher (Économie et Finances) et Gabriel Attal (Education et Jeunesse), les députés Aurore Bergé et Guillaume Kasbarian, la députée européenne Ilana Cicurel ou le délégué national Guy Lavocat.

« Un festival de clichés et de morgue », tempête l'un. « Une déferlante de propos sexistes et stéréotypés sur les candidates faibles et fragiles », sermonne un autre, qui rappelle que le patron du parti, Stanislas Guerini, et Marlène Schiappa viennent de publier dans Le Parisien un texte commun encourageant les femmes à postuler aux élections municipales. Certes, le parti macroniste peut se targuer de viser 28 % de candidates, quand la France ne compte que 16 % de femmes maires. « On n'est pas complètement à la ramasse, mais on pourrait viser un tiers ! », espère l'un des protestataires.

 

http://www.leparisien.fr/politique/marlene-schiappa-et-stanislas-guerini-mesdames-devenez-maire-07-07-2019-8111304.php

« En France, les femmes peuvent voter depuis soixante-quinze ans. Pourtant, elles sont toujours moins élues que les hommes : seulement 16 % des maires sont des femmes. La responsabilité d'un mouvement progressiste majoritaire est de changer cette situation. La République En Marche met tout en œuvre pour que davantage de femmes accèdent à des responsabilités politiques et que, à l'occasion des élections municipales, elles dirigent des communes de France. Depuis qu'elle existe, La République En Marche s'engage pour la parité. En 2017, là où les autres partis préféraient payer des pénalités plutôt que d'investir des femmes aux législatives, nous avons fait le choix inverse en investissant 50 % de femmes sur des circonscriptions gagnables. Et elles ont gagné !

Nous ne cesserons de le répéter : il faut renouveler les visages en politique et, pour cela, les usages. Trop de femmes renoncent à s'engager parce qu'elles sont la cible de comportements sexistes. D'autres se détournent d'un monde qui leur apparaît peu soucieux d'efficacité réelle. Nous développons une autre approche : inclusive et tournée vers l'action. Nous sensibilisons nos adhérent(e) s aux biais inconscients qui nous affectent et accompagnons nos comités locaux, pour exclure tout comportement inapproprié.

La volonté des femmes de s'engager ne manque pas : elles sont 10,5 millions à faire partie d'une association. Ce sont les moyens qui leur font souvent défaut ou bien les codes. C'est pourquoi nous lançons un programme d'accompagnement à destination de toutes celles qui veulent s'engager : Toutes politiques. Faire campagne, construire un programme, mobiliser, gérer son exposition médiatique… ça s'apprend ! Nous proposons à nos talents féminins des séances de coaching et mettrons en place, dès la rentrée, un dispositif de mentorat.

La féminisation de la politique permet de résoudre des problèmes dont personne ne s'occupait, comme les violences gynécologiques ou le harcèlement de rue.

Etre une femme engagée en politique ne doit néanmoins pas se limiter à prendre en charge les sujets estampillés « féminins ». Au niveau local, les femmes doivent pouvoir devenir adjointe aux finances, à l'urbanisme, aux transports et, évidemment… maire.

 

 

 

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/municipales-schiappa-appelle-les-femmes-a-s-engager-49716c316ce7d4647a39709d179d0391

La secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a appelé vendredi les femmes à "s'engager" pour les élections municipales de 2020, déplorant l'incapacité de la République en marche à investir "50% de femmes" en raison du manque de candidates.
"Je voudrais lancer un appel (...) pour dire à toutes les femmes qui nous écoutent que la République, c'est elles, et la République a besoin d'elles", a déclaré Mme Schiappa sur BMFTV/RMC.

"Il faut qu'il y ait davantage de femmes qui soient maires", a insisté la secrétaire d'Etat, rappelant qu'elles ne représentent que 16% des édiles.

"Il faut qu'elles s'engagent, on peut pas continuer comme ça", a-t-elle martelé, regrettant que "l'immense majorité" de ceux qui prennent les décisions "importantes" du "quotidien" sur les écoles, "sur les modes de garde, sur les crèches" soient "des hommes".

"La République en marche a investi des femmes sur des villes importantes, à Lille, à Rennes, dans beaucoup d'autres villes mais ce n'est pas suffisant", a estimé Mme Schiappa.

"On n'investira pas 50% de femmes parce qu'on n'a pas les candidatures de femmes", a-t-elle déploré, relevant que "pour chaque ville", il y a "20 candidatures d'hommes pour une candidature de femme". 

"Quand vous dites à un homme: +est-ce que tu veux être candidat pour être maire ?+, la plupart du temps (...) on a l'impression que la France l'attend", a-t-elle lancé.

A l'inverse, "quand vous dites à une femme +pourquoi t'es pas candidate ?+, elle va commencer par vous expliquer longuement pourquoi elle ne sera pas capable d'être candidate et pourquoi elle ne sera pas capable d'être maire. Ca suffit, vous êtes capables d'être maires !", a conclu Mme Schiappa.

Dans un tribune publiée début juillet dans Le Parisien, la secrétaire d'Etat et le délégué général de LREM Stanislas Guerini avaient déjà appelé les femmes à se présenter et avaient annoncé un programme d'accompagnement, "Toutes politiques", avec "un dispositif de mentorat" à la rentrée.

 

Il paraît que recruter des femmes car femmes résolvent des problèmes nous connaissant leurs normes et façons de penser nous n'en sommes pas convaincus :

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/municipales-2020-trouver-des-candidats-pour-assurer-la-releve-26504bde5fc17f35f8338e61207746b7

Face à l'insuffisance de candidats, le nombre de conseillers municipaux nécessaires dans les communes de moins de 100 habitants a déjà été réduit de 9 à 7 en 2013.

Dans un récent rapport, deux députés proposent de l'abaisser de 11 à 9 dans les communes de 100 à 499 habitants et de 15 à 13 dans celles de 500 à 1.499. Ce qui devrait nourrir les débats lors de l'examen du projet de loi au Parlement.