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Pourquoi le "social bleu" ?

La situation des hommes leur est pas forcément favorable, c'est pour cela que sur les différentes questions sociales nous devons intervenir. En effet dès la naissance garçons et filles ont des différences (notamment biologiques). Ces différences se retrouvent dans un premier temps à l'école dans leurs choix : ils occupent la majeure partie des effectifs des élèves en difficultés, ils sortent des établissements scolaires avec un niveau de qualification moins important, ils sont majoritaires dans les formations courtes, ... . Les classements par points pisa montrent une grande chute ainsi en compréhension de l'écrit de 2000 à 2012 le classement des garçons et descendu de 490 à 483 points avec un écart de désormais de 44 points entre fille et garçon, en mathématiques on est passé de 515 à 499 points il n'y a pas eu entre-temps une association pour prendre en charge les garçons. Cette baisse de points dans ces deux classements à également des répercussions notamment dans le choix des formations, les choix professionnels ou dans leurs chances de réussite pour un concours mais cela a également plusieurs impacts économique, sécuritaire et politique. Prenons un exemple direct et d'actualité ou les difficultés scolaires se retrouvent ensuite dans le monde professionnel, ils commencent à être plus souvent au chômage que les femmes, plus de dix trimestres consécutifs d'après les derniers chiffres et il y a encore plusieurs exemples.

 

 

En plus de la baisse des résultats à l'école, notre société n'est pas près de les aider notamment avec la misandrie actuelle.  En effet, les hommes qui occupent souvent les postes d'ingénieurs ou certains postes à responsabilité  et les femmes toujours cloisonnées à des postes inférieures a cause des hommes et de leur parfaite entente sans parler du sexisme ambiant.  On pourra débattre longtemps sur la masculinisation du métier de "sage-femme" mais jamais des dispositifs et des adaptations mis en place pour augmenter les pourcentages féminin "discrimination" oblige .  Nous pouvons prendre un exemple avec la finance c'est 273 entreprises et 63 % de femmes en 2013 pourtant quand un homme rentre dans une banque, au guichet ou quand il demande un conseil pour un investissement, un prêt, on doit représenter la société. Imaginons un instant que pour ce secteur d'activité les hommes décident qu'il y a trop de femmes. Dans ce cas, on aura droit au refrain habituel ségrégation horizontal, des hommes qui du mal à évoluer mais l'inverse n'est pas vrai. C'est ainsi que même dans leur vie le professionnelle ils sont discriminées car née homme : on impose des quotas dans les métiers et fonction dit hommes, ou encore plusieurs actions sociales ou rapports qui ne sont pas identiques avec l'autre sexe mais c'est une démarche "égalitaire" et "progressiste" :  des formations réservées à un seul sexe, des espaces dans les salons, des visites d'entreprises,  des clubs réservés, des prix même en apprentissage , ... . L'accusation et souvent la même et ils en sont accusés très top : Bastion masculin, métier d'homme, stéréotype (très a la mode avec beaucoup d'amalgame), machisme, une société masculine, norme masculine (il doit en avoir une féminine), ... . Et ce n'est pas près de s' arranger "égalité" oblige on apprend grâce aux personnes non stéréotypées qu'un garçon très jeune c'est déjà utilisé une perceuse  Exit les baby machos !  une chose est sure l'homme et coupable de son sexe.

La vérité est qu'il y a des différences naturelles entre hommes et femmes, on tient plus en compte de l'émancipation des femmes avec le poids qu'elles occupent dans les relais de communication, les associations, la presse féminine, les rubriques "société" des nombreux journaux et site internet, les codes féminins sont très répandus. L'essentiel des dispositifs, rapports gouvernementaux et institutions notamment publiques leur sont entièrement dédiées la discrimination sans distinction de genre mais elles oublient qui existent deux sexes. Les femmes possèdent une identité féminine chargée de l'accompagner, de se regrouper et de les défendre et pour beaucoup d'entre elles, accuser les hommes. Elles savent ce qui est bon pour un homme sans lui donner un pouvoir social le seul pouvoir quelle lui donne c'est quand ils sont prêts à appliquer ce qu'elles décident. Les hommes sont-ils capables de se défendre, de se regrouper. Pourtant  il devient nécessaire qu'ils le fassent à leur manière s'est évident, car il y aura une fois encore des différences. Mais cette démarche est une solution pour une société plus juste ou l'on demande la même chose à un homme comme à une femme et qu'ils se voient doter des mêmes opportunités et soutien. Nous pouvons améliorer notamment la vie scolaire et professionnelle de beaucoup d'hommes c'est aussi un moyen pour une obtenir une égalité réelle dans la société, les pouvoirs publics et législatifs. Pour qu'en 2015 on ne prend plus en compte les hommes comme des dominateurs mais comme des personnes à part entier avec des "spécificités" qui leur sont propres.

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 Un lien http://www.atlantico.fr/rdv/livre-debat/feministes-ont-elles-fini-achever-qui-reste-hommes-louis-lanher-barbara-lambert-1998013.html