Créer un site internet

Les hommes ont tout intérêt à ne pas être féministe

Il semblerait à la lecture de l'interview de Michael Kaufman qui publie aujourd'hui un manifeste pro-féministe que les hommes devraient être féministe nous rappelons que monsieur Kaufman est le seul membre masculin du Conseil à l'égalité des genres mis en place par le G7,  initiative très demandée par monsieur Trudeau. Ce haut conseil c'est pour résumé inondé les pays des normes féministes en vigueur en Suède, France en gros ça va de la façon de s'assoir en passant par les quotas dans tous les secteurs, les "genre neutre", l'éducation féministe, la fin des bastions masculins et égalitarisme féministe. Il semblerait que pour beaucoup de personnes dont monsieur Kaufman fait partie un homme devrait être féministe. Ce à quoi nous pouvons répondre il faut d'abord déjà plusieurs choses il n'y a pas besoin d'être féministe pour savoir qu'il ne faut pas faire de mal aux gens, comme toutes atteintes sexuelles. Un homme célibataire c'est faire le ménage ou la cuisine que beaucoup de choses ont changée depuis 1970 la pilule, les deux parents qui travaillent. Mais un homme ne peut pas être féministe pour plusieurs raisons prenons un exemple quand il y a eu le débat sur les ABC de l'égalité le portail internet ou les livres étaient destinés en majorité pour aider les filles à l'école. Le féministe n'associe pas les hommes c'est une grande erreur elles leur font la guerre elles nous disent aucune différence entre les sexes sauf quand ça concerne les filles et les femmes. Pour une féministe c'est l'homme le problème il doit être rééduqué il doit se soumettre à leurs normes. C'est cela qui nous amène à penser qu'un homme ne peut pas être féministe aussi bien pour lutter contre le sexisme féministe que pour ces normes nous devons manifestement rééduquer le féministe et ne surtout pas leur ressembler vous pouvez lire un léger récapitulatif de  La discrimination contre les hommes.

 

 

 

http://www.lepoint.fr/societe/michael-kaufman-les-hommes-ont-tout-a-gagner-a-devenir-feministes-08-06-2018-2225438_23.php#xtor=CS3-192

"Le politologue canadien Michael Kaufman refait aujourd'hui parler de lui à l'occasion de la parution, en français, du Guide du féminisme pour les hommes et par les hommes*. Un ouvrage qu'il cosigne avec le sociologue Michael Kimmel."

"Notre livre porte sur un phénomène de transformation sociale qui est à l'œuvre depuis plus de quarante ans sur tous les continents. Le combat pour l'égalité des droits entre hommes et femmes et la lutte contre les violences sexistes ont débuté à la fin des années 60, se sont propagés dans tous les milieux puis, progressivement, dans la plupart des sociétés. Si ce mouvement a irradié dans le monde entier et constitue une révolution majeure, elle s'est faite à bas bruit."

 

"Les femmes expriment souvent une forme de lassitude à l'idée d'avoir à expliquer, encore et toujours, l'intérêt du féminisme. Il y a quelque chose, pour elles, d'un peu désespérant à devoir systématiquement justifier le bien-fondé de leurs combats pour l'égalité salariale, contre la violence physique ou morale, contre le harcèlement. Elles trouvent fatigant d'avoir encore, au XXIe siècle, à réaffirmer des évidences, comme leur droit de disposer, comme elles l'entendent, de leur corps ! Michael et moi avons voulu écrire un livre qui explique simplement que les hommes n'ont pas à craindre la défense de ces principes. Mieux ! Avec notre ouvrage, nous espérons donner envie aux hommes de joindre leurs forces à celles des femmes pour continuer d'avancer dans ce qui nous semble être la bonne direction. Les problèmes de garde d'enfants, de congé parental ou encore d'égalité salariale ne concernent pas seulement les femmes. Ces questions intéressent l'ensemble de la société. On ne dépossède pas « les mâles » de droits pour les donner aux femmes. Au contraire, on contribue ainsi à créer une société plus pacifiée où les rapports entre les sexes seront plus harmonieux."

 

"Nous voulions rendre les problématiques féministes accessibles aux hommes. Cela passait par un style léger et un traitement, parfois comique, qui permettent de déconstruire en douceur le discours « macho » si prégnant dans notre société."

 

"Nous savons que, dans une société humaine, les droits ne sont jamais acquis éternellement. Des revirements législatifs sont toujours possibles. Et il est indéniable que des mouvements réactionnaires s'expriment dans tous les pays contre les avancées obtenues par les femmes depuis quarante ans. Mais quand on explique les choses simplement, avec des arguments convaincants, je crois que l'on peut faire changer d'avis les esprits les plus réfractaires."

 

"Quand je vois mon fils participer aux tâches familiales, au sein de son foyer, quand je l'entends me dire combien cela contribue à l'épanouissement de son couple comme à son équilibre personnel, dans sa relation à ses enfants, par exemple, je me dis que nous ne devons pas désespérer…"

 

 

Quatre dernières petites remarques :

Sur le mouvement et ressource féministe un extrait :

https://fabiusmaximus.com/2018/06/06/why-we-have-not-fought-climate-change/

Better led movements gather resources, build broad bases, and occupy the high points of society. Slow but powerful. Environmentalists and feminists have done this, becoming textbook quality case examples of effective political movements. Both are entrenched in government agencies, university faculties and administrations, corporations, and the media. Both movements have had ebb and flood tides, but steadily advanced over time. Their institutional strength allows them to outlast periods of public disinterest and then swiftly, even brutally, exploit opportunities.

Un passage extrait Le premier sexe (Denoël, 2006)

la généralisation de l’emploi du terme macho, "cette géniale trouvaille linguistigue des féministes dans les années 70 qui ont, avec un unique petit mot, tranformé les hommes, tous les hommes, en accusés commis d’office" (p13)

 

Un autre article toujours aussi misandre vous pouvez consulter notre rubrique Economie / Entreprises Discrimination / Genre

http://www.lepoint.fr/societe/egalite-des-sexes-encore-du-boulot-en-matiere-de-parentalite-16-06-2018-2227709_23.php

"Partage des tâches, écarts de salaire, représentations stéréotypées : dans une société encore largement inégalitaire entre les femmes et les hommes, une plus grande implication des pères à la maison pourrait déjà réduire bon nombre de disparités."

"En France, plusieurs pétitions et tribunes ont réclamé ces derniers mois une révision du congé paternité - onze jours, week-end inclus -, jugé "trop court pour être efficace". Une demande féministe de longue date, portée par de plus en plus d'hommes."

"Pour Hugo Gaspard, 45 ans, il faudrait "au moins" le doubler. "Notre système actuel est peu incitatif car ce congé est mal rémunéré et trop court"

"Au-delà du congé paternité, c'est la vision "encore stéréotypée, notamment des chefs d'entreprise sur la paternité, la carrière" qu'il faut changer, poursuit-il. Et "faire comprendre aux hommes qu'ils peuvent s'impliquer dans la parentalité, sans que ce soit par défaut, que ça mette à mal la virilité ou l'efficacité professionnelle. Mais il reste du boulot".

"Les chiffres ne le démentent pas : 70 % des pères prennent un congé paternité, 4 % un congé parental, mais 80 % des employés à temps partiel sont des femmes, et 24 % d'écart de salaire subsiste entre hommes et femmes."

"Des disparités qui se répercutent dans le foyer, où les femmes consacrent en moyenne 1 heure et 35 minutes par jour aux enfants, contre 41 minutes seulement pour les hommes, un chiffre qui a néanmoins presque doublé depuis 1985 (22 minutes)."

"Dans le monde, près des deux tiers des enfants de moins d'un an vivent dans un pays où aucun congé paternité rémunéré n'est instauré, selon l'Unicef."

 

Le dernier toujours dans les mesures sexuées féministes. Vous pouvez lire notamment cette page sur le site : L'éducation des garçons dans le monde

AFP10/06/2018 à 07:21

Le G7 s'est engagé samedi à apporter près de trois milliards de dollars pour l'accès à l'éducation des femmes et filles en situation vulnérable, dont des réfugiées, une initiative saluée par La prix Nobel de la paix Malala Yousafzai.

L'hôte du sommet, le Premier ministre canadien Justin Trudeau, a affirmé qu'il s'agissait du "plus important investissement dans l'éducation des femmes et filles dans des situations de crise et de conflit".

Le montant total est supérieur à ce qu'espéraient les groupes féministes qui ont rencontré M. Trudeau en marge du sommet.