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Les instances et programmes gouvernementaux doivent se préoccuper des deux genres

  • Transformation des instances gouvernementales françaises dédiées exclusivement aux droits des femmes ou à la condition féminine (selon les gouvernements : commissions, ministères, services, secrétariats d’état, etc.) en instances dédiées aux droits et à la condition des genres, féminin et masculin associé si un responsable d'un sexe est nommé un responsable de l'autre sexe devra obligatoirement avoir lieu un exemple si création d'un secrétaire au droit des femmes un secrétaire aux droits des hommes.
 
  • Engagement action et budget de ces instances de manière égalitaire au service des deux genres, aussi bien dans les programmes d’études et de prévention des violences que dans les conférences, d'action professionnel et éducative campagne d'information et d'orientation diverses.
 
  • Au niveau des institutions internationales (Conseil de l’Europe, Union européenne, ONU) positionnement du gouvernement français en faveur de cette même réforme des instances et programmes y compris au niveau scolaire dans l’Union Européenne les femmes diplômées sont plus nombreuses que les hommes. Elles représentent 43,4% tandis que la part des hommes diplômés s’élève à 34% en 2015.
 
  • Les textes officiels (loi et décret) ne doivent pas privilégier un genre :
 
  1. Abrogation des lois et décret instaurant une discrimination de genre loi instaurant des quotas en matière électorale ; les loi n°2003-697  loi n°2003-327 n°2000-493  n°99-585 2007-128 un exemple de supression de  avec la loi n° 2011-103 relative à la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de surveillance et à l’égalité professionnelle. Cette loi rend obligatoire un quota féminin de 40% d’ici 2017, dans les 650 sociétés cotées, celles employant au moins 500 salariés, et celles réalisant un chiffre d’affaires d’au moins 50 millions.
  2. En plus de la supression de la loi no 2011-103  Copé-zimmermann Sur la loi no 2014-873  pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes nous sommes par exemple pour la réécriture  de la loi sur le congé parental, Titre III, chap 1, art 32-55 article 44k  51 Titre III, chap III, art 56 sur l'aticle 1 quelques passages nous interpellent : des actions visant à garantir l’égalité professionnelle et salariale et la mixité dans les métiers, des actions visant à favoriser l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales ;  des actions visant à garantir l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes et leur égal accès à la création et à la production culturelle et artistique, ainsi qu’à la diffusion des œuvres ; des actions visant à porter à la connaissance du public les recherches françaises et internationales sur la construction sociale des rôles sexués nous sommes pour la suppression du Titre V qui prévoit de la représentation sexué (parité) dans tous les domaines de manière plus générale  nous sommes pour la suppression des lois instaurant des quotas sexués dans les conseils d’administration des entreprises et autres instances sociales, tous dispositifs imposants ou souhaitant des quotas et des différences sexués).  Nous souhaitons également supprimer en partie LOI n° 2021-1774 du 24 décembre 2021 visant à accélérer l'égalité économique et professionnelle  par exemple l'article 7 Nous sommes également pour la supression des  lois réservant aux mères le bénéfice d’avantages en matière de retraite ; 

 

Mener des réflexions sur la mise en place de texte et d'action sociale y compris dans la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE)  et ressources humaines (RH) qui prennent en compte à la fois l'homme et  la femme. Ces actions viseront dans 4 grands principes :

- ne plus nommer une personne en fonction d'un sexe et que l'égalité des droits ne passe pas par une représentation des sexes mais des talents homme et femme 

- une abolition des normes actuelles de représentation et de critère mixité ce n'est pas le sexe qui détemine la répartition mais les exigences, les choix

- une entreprise, école, administration, comité, jury, fonction, formation peu importe la part du sexe minoritaire dans son personnel ou étudiant, l'effectif majoritaire ne se voit plus qualifié de sexisme par misandrie

- une action pour un sexe doit s'accompagner obligatoirement d'une action pour l'autre sexe et pas pour de la répartition (à lire également nos propositions sur le travail et l'éducation )

- au niveau de l'état une redéfinition pédagogique du sexisme et de l'égalité aussi bien dans les programmes scolaires que dans les ministères avec des actions concrètes

 
Réforme du congé parental pour plus de flexibilité plusieurs solutions peuvent être mises en place :

- 52 semaines de congé après la naissance à partager entre le père et la mère aucune contrainte de sexe
- Congé parental du père de 2 semaines aucune obligation
- Maman: congé et salaire: Naissance: 100 % du salaire pendant 4 mois et demi puis 60 % pendants 1 mois et demi
 
 
Si dans la constitution il est marqué sans distinction de sexe avec les féministes c'est le contraire notre site via nos propositions et l'envie de dévoiler ce qu'est véritablement cette idéologie contribuera à respecter ce principe.
« Dans l’article 1 de la Constitution, qui énonce que la République assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens « sans distinction d’origine, de race ou de religion », réécriture par la formule « sans distinction de sexe, d’origine, ou de religion ».