Créer un site internet

Voici un article assez récent avec l'idéologie féministe et sexiste habituelle quelques extraits et commentaires :

https://fr.news.yahoo.com/cachez-femmes-leducation-nationale-officialise-113500357.html

- "La proportion des garçons au CAPES de Lettres s'améliore significativement, ce qui est un symptôme d'attractivité nouvelle pour le métier de professeur de Lettres. Enseigner les Lettres n'est pas une spécificité féminine et nos élèves ont besoin de l'expérimenter au quotidien. Ils y gagneront incontestablement, les garçons entre autres, et la présence accrue d'hommes pour enseigner les Lettres contribuera à affiner l'image parfois dégradée qu'ils ont de la discipline. Pour qui est légitimement soucieux de parité, c'est là une tendance vraiment encourageante."

"De plus, si le président se dit "soucieux" de parité pour le CAPES quand des hommes s'y présentent, notons que dès qu'il s'agit des nominations à des postes à hautes responsabilités, cet amour de la parité s'érode: encore aujourd'hui, les femmes enseignantes de Lettres accèdent bien moins que leurs collègues masculins à des postes comme ceux de l'Inspection Générale ou au statut de professeur-e-s de chaire supérieure."

Une phrase avec l'argumentation féministe victimaire il faut la parité sinon c'est contre les femmes. La parité s'est considérée aujourd'hui comme l'égalité cependant la méthode comme les moyens pour arriver ne le sont pas. Dans l'enseignement les femmes sont plus diplômé que les hommes. ONU femme a récemment fait un accord avec Science Po pour "plus d'égalité", c'est la parité quand les hommes sont majoritaires par contre pas de parité quand les étudiantes représentent 60 % des effectifs, bref  l'égalité laissait au féministe vous aurez une égalité et un égalitarisme de femme. On devrait faire aussi un résumé de parole ou d'action féministe ou réservé aux femmes pour montrer et démontrer leur sexisme.

- Simplifier un problème social complexe en culpabilisant les professeurs femmes, et prendre les élèves garçons pour des idiots en les supposant incapables de s'intéresser sérieusement à un enseignement prodigué par des femmes, témoignent d'une vision rétrograde et méprisante, indigne d'un rapport de concours de l'enseignement.

C'est intéressant c'est l'argumentaire féministe pour justifier la parité il faut des femmes pour la visibilité, pour les femmes et les filles, 50 % de l'humanité, dans une démarche d'égalité, nous pouvons avoir la même phrase et pas réserver uniquement à l'article : Simplifier un problème social complexe en culpabilisant les professeurs hommes, et prendre les élèves filles pour des idiotes en les supposant incapables de s'intéresser sérieusement à un enseignement prodigué par des hommes, témoignent d'une vision rétrograde et méprisante, indigne d'un rapport de concours de l'enseignement.

 

- Nous, collectif d'enseignants et enseignantes, mais aussi simplement personnes soucieuses d'éducation et de parité, femmes et hommes, demandons donc:

  • La suppression de cette remarque misogyne dans le rapport du concours de recrutement du CAPES 2016;
  • Une réelle réflexion de la part de l'Éducation nationale sur la parité, à tous niveaux d'enseignement et de responsabilités;
  • La mise en œuvre de mesures concrètes pour la revalorisation du métier de professeur-e.

Les deux premiers points sont inacceptables en matière de remarque misogyne quand on est féministes (que l'on réclame parité, quota sexué, ...) il faudrait interdire de nombreux passages une dernière remarque avec "le collectif Égalité Enseignement" le féministe se porte bien dans l'éducation national un exemple de sexisme ordinaire : "L’âge décisif des choix d’orientation se situe entre 13 et 15 ans, puis entre 17 et 19 ans. Donc des journées thématiques sont organisées en direction des jeunes filles scolarisées en Troisième ou en Seconde et pour celles scolarisées en Première S et Terminale S."  A oui c'est vrai le féministe se chargeant de l'égalité, sexisme et discrimination c'est contre les femmes ,les hommes ne le sont pas sauf quand il s'agit de la petite enfance, les filières littéraires, ... .Dernière remarque la parité n'est pas l'égalité c'est le contraire  de la représentation de sexe, de la distinction de genre, tout comme ces mesures dérivées d'accompagnement quota, divers normes pour féminiser ne sont qu'une construction sociétale et pratique généralement des actions sexistes et discriminatoires contre les hommes et garçons la vraie égalité et non l'égalitarisme et c'est celle des droits et la matière le féministe a des progrès à faire. Il faut mieux avoir une approche plus globale travailler sur des méthodes et veiller à l'émancipation des hommes comme des femmes.

 

Quant à l'article en lien https://cafaitgenre.org/2014/01/14/compagnon-persiste-et-signe-ca-tombe-bien-nous-aussi/  :

Alors qu’il semble les « déplorer », Antoine Compagnon s’en tient en fait aux stéréotypes portant sur l’enseignement et la place des femmes dans la société. Il ne prend aucune distance par rapport à ces stéréotypes, et montre même qu’il y adhère puisqu’il propose de revaloriser le métier… en attirant plus d’hommes 

Regardons maintenant quelques différences de statut parmi les enseignant·e·s.
– Au primaire, 70,3 % des instituteurs/trices suppléant·e·s (statut plus précaire que celui des titulaires) sont des femmes.
– Elles représentent 32 % des professeur·e·s de chaire supérieure, qui ont vocation à être affecté·e·s dans les classes préparatoires aux grandes écoles.
– Elles représentent la (courte) majorité des professeur·e·s agrégé·e·s (51,4%), 61,9 % des certifié·e·s et assimilé·e·s.

On voit donc que si les femmes sont majoritaires, leur statut au sein de l’Education Nationale est souvent moins élevé, voire plus précaire, que celui des hommes.

Cela ne signifie pas que les femmes et les hommes seraient prédestiné·e·s à ces domaines, mais que leur socialisation les pousse vers eux en priorité. Ainsi, en 2005, « plus de 8 professeurs de langues sur 10 étaient des femmes, contre 4 sur 10 en physique-chimie » (Introduction aux études sur le genre, p. 153). Or les domaines de connaissance bénéficiant du prestige le plus important dans la société contemporaine sont les domaines scientifiques, identifiés comme « masculins », alors que des domaines largement plus féminisés comme les matières littéraires sont dévalorisés (ne dit-on pas que la filière générale littéraire est une filière « poubelle »?).

Les femmes sont bien majoritaires dans l'enseignement quant aux raccourcis on y retrouve l'argumentaire, la formulation féministe et simpliste. Quant aux professeurs de langues comme à celui de chimie outre le fait que les femmes et les hommes sont plus nombreux dans ces filières respectives on peut employer l'argumentaire :  "Simplifier un problème social complexe en culpabilisant les professeurs hommes, et prendre les élèves filles pour des idiotes en les supposant incapables de s'intéresser sérieusement à un enseignement prodigué par des hommes, témoigne d'une vision rétrograde et méprisante, indigne d'un rapport de concours de l'enseignement." Il faut mieux travailler sur les méthodes éducatives, que chercher à faire de la représentation de sexe sous couvert d'égalité de la même manière qu'il faut faire attention en employant trop souvent une connotation métier et ou formation supérieure / inférieure de même que la valeur-travail ne doit pas être ramenée à femme mais aux deux sexes et c'est tout de suite beaucoup plus complexe. Dernière remarque on confond égalité et mixité le féministe s'est évident mais pas uniquement ce n'est pas le nombre de femmes et le taux de femmes qui font l'égalité sans oublier les codes féminins et normes féministes

Quant aux passages choisit ce n'est pas le meilleur :

"La progression de l’activité et des scolarités féminines s’est traduite, sur le marché du travail, par la féminisation massive des métiers féminins peu valorisés socialement. Mais elle a également débouché sur l’accès à un certain nombre de femmes à des professions qualifiées. Le mouvement est donc double. On a pu ainsi voir des professions traditionnellement masculines se féminiser sans perdre de leur valeur sociale. La croissance du nombre de femmes dans des professions qui demeurent prestigieuses (magistrates, avocates, journalistes, médecins, etc.) est là pour signifier que la dévalorisation n’est pas le destin de tout métier qui se féminise."

Les femmes qualifiées c'est une bonne chose cependant les méthodes de "féminisation" méritent débat ensuite si des professions demeurent prestigieuses dans les exemples il suffit de se renseigner un peu plus sur les revendications et l'argumentaire féministes dans les métiers cités  et le changement qu'une féminisation peut entraîner. Quand on parle de féminisation en critiquant cette action, ce n'est pas la femme en tant que t'elle qui est critiquer ce sont les normes féministes, certaines "égalité", les codes féminins,... . Au fond on en revient toujours à la même chose il devient urgent de revoir les normes égalité pour y inclure les hommes : Propositions