Créer un site internet

Un article qui nous encore surpris et oui ils ont osé le faire en même temps de leur part on aurait pu s'y attendre "Quelle place pour le féminisme dans les collèges et lycées ?". Ce n'est pas une blague d'ailleurs même si  le féminisme dans l'éducation nationale ne choque personne. L'article est très bien fait on doit dire mêler "réflexions inappropriées, d’insultes et de mains aux fesses dans les couloirs mais aussi dans les salles de classe" dont on a pas besoin d'être féminisme pour condamner ce type de comportement ou d'adopter des mesures féministes dans sa globalité. En effet les livres scolaires, "des ateliers dans quelques écoles lors de la journée Internationale du droit des femmes le 8 mars" sont plus vastes il existe des rencontres spécifiques femmes vs femmes, des visites d'entreprises réservées aux collégienne et lycéenne et des partenariats avec des réseaux de femme et féministe, quant aux ABCD de l'égalité dont le reproche que l'on pouvait faire à ce programme c'est qui reprenait l'idéologie féministe et ne visait pas en aucun cas à aider les garçons à l'école sauf pour se plier aux idées féministes. Le programme n'a pas été adopté dans sa globalité mais l'idéologie commence à être enseigné à une plus grande échelle on pourra même rajouter que l'éducation nationale faira passer les normes féministes comme normal sachant que des lois et sensibilisations sont adoptées. La parité, les quotas sexués, et tout autres mesures spécifique s'est considéré aujourd'hui comme "l'égalité" les moyens pour y arriver tout comme les méthodes sont contestables. Dans l'enseignement les femmes sont plus diplômé que les hommes. ONU femme a récemment fait un accord avec Science Po pour plus d'égalité en fait la parité quand les hommes sont majoritaires par contre pas de parité quand les étudiantes représentent 60 % des effectifs l'égalité laissait au féministe vous aurez une égalité et un égalitarisme de femme. On devrait faire aussi un résumé de parole ou d'action féministe ou réservé aux femmes pour montrer et démontrer leur sexisme.

 

 

http://www.leparisien.fr/societe/quelle-place-pour-le-feminisme-dans-les-colleges-et-lycees-04-07-2018-7807203.php#xtor=AD-32280599

 

Alors que des mesures sont prévues pour la rentrée 2018, plusieurs voix déplorent une sensibilisation au féminisme trop minime dans l’environnement scolaire.

« Le féminisme n’est pas très actif dans l’éducation, dans les écoles et lycées. » C’est ce qu’a déclaré le mardi 3 juillet Agnès Varda lors de la conférence « Women In Motion » qui met à l’honneur les femmes du cinéma. L’artiste regrette le manque de dialogue avec les jeunes, tout en estimant « qu’il faut continuer le combat ». Mais qu’en est-il réellement de l’éducation au féminisme dans le système scolaire français ?

 

Face au manque de réaction du corps enseignant, c’est l’une des militantes du réseau féministe du lycée, Shanley, élève en Terminale L, qui a décidé de lancer un mouvement de mobilisation. Après le retentissement médiatique de ses actions, la lycéenne de 18 ans a rencontré la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes Marlène Schiappa en mai dernier, afin de lui livrer ses pistes contre le sexisme à l’école.

 

En effet, collégiens et lycéens seraient de plus en plus sensibilisés aux questions féministes et de plus en plus tôt, notamment grâce aux réseaux sociaux. Ainsi, ces élèves provoquent eux-mêmes l’opportunité de pouvoir étudier l’histoire du féminisme en classe. « Beaucoup d’étudiants en Première nous demandent de l’aide pour leurs sujets de TPE (travaux personnels encadrés) », se félicite Raphaëlle Rémy-Leleu, porte-parole de l’association Osez le féminisme.

 

Des volontés individuelles donc, mais qu’en est-il en matière de politique éducative ? Outre des ateliers dans quelques écoles lors de la journée Internationale du droit des femmes le 8 mars, les gouvernements successifs tentent tant bien que mal d’insuffler un peu plus d’égalité à l’école. On se souvient de l’échec du projet de loi des ABCD de l’égalité en 2014, devant lutter contre les stéréotypes filles-garçons, rapidement abandonné par le gouvernement de l’époque après une violente polémique.

Néanmoins, dans une interview accordée à L’Express en mai dernier, Marlène Schiappa annonçait vouloir créer plusieurs dispositifs pour promouvoir l’égalité à l’école.

A partir de la rentrée 2018, trois séances obligatoires de sensibilisation à l’égalité filles-garçons et à la sexualité seront mises en place dans les collèges et lycées. Un « référent égalité » sera présent dans chaque établissement pour superviser les opérations de sensibilisation. Il sera également chargé de remonter les problèmes signalés par les élèves.

Les enseignants auront aussi la possibilité de suivre des formations de sensibilisation. L’objectif : faire en sorte que les professeurs puissent enseigner de manière « plus féministe », mais surtout, les aider à mieux prévenir les violences sexistes dans leurs classes.

 

Des initiatives trop peu concluantes selon Raphaëlle Rémy-Leleu : « Ce qui est prévu de la part de l’Etat est loin d’être suffisant. Le plus grand problème rencontré reste le budget alloué à l’égalité femmes-hommes qui reste assez faible. »

La porte-parole d’Osez le féminisme se réjouit toutefois des initiatives de certains proviseurs, enclins à faire évoluer les choses : « Nous sommes beaucoup sollicitées de la part de chefs d’établissements eux-mêmes pour intervenir auprès des élèves. C’est encourageant. » L’association prévoit d’ailleurs plusieurs actions à destination des lycéens pour la rentrée 2018.

 

 

Le féministe dans l'éducation nationale quelques exemples :

"Nous, collectif d'enseignants et enseignantes (collectif Égalité Enseignement), mais aussi simplement personnes soucieuses d'éducation et de parité, femmes et hommes, demandons donc:

  • La suppression de cette remarque misogyne dans le rapport du concours de recrutement du CAPES 2016;
  • Une réelle réflexion de la part de l'Éducation nationale sur la parité, à tous niveaux d'enseignement et de responsabilités;
  • La mise en œuvre de mesures concrètes pour la revalorisation du métier de professeur-e."

 

Une des doctrines prioritaires du féministe :

"On retrouve là la rengaine égalitariste, qui érige en système l’égalité absolue au détriment de chacun. L’enjeu n’est plus de donner à chacun les éléments pour pouvoir s’épanouir dans ses propres choix de carrière, de vie, l’enjeu devient de plaquer un système unique pour tous visant à un résultat d’égalité apparente parfaite, à base de pourcentage, au moins 40% d’hommes ou de femmes par métier, pour pouvoir dire que l’égalité est là incontestable. Mais où est la liberté ?"

 

http://www.vigi-gender.fr/etudes-de-genre-ressources-officielles-de-leducation-nationale.php

un DVD est conseillé sur CANOPE pour expliquer aux lycéens en SVT pourquoi les femmes sont plus petites que les hommes. Les études de genre ont trouvé la raison : depuis des temps immémoriaux, pour dominer les femmes, les hommes leur ont limité l’accès à certaines nourritures qui aident à la croissance. Ainsi, de génération en génération, les femmes, sous alimentées, sont devenues plus petites

http://www.vigi-gender.fr/pages-manuels-genre

http://www.vigi-gender.fr/concours-lire-egaux-livre-anti-sexiste.php

http://www.vigi-gender.fr/le-rapport-du-haut-conseil-a-legalite-femmes-hommes-le-baton-pour-tous-ceux-qui-ne-suivront-pas-la-ligne.php

http://www.vigi-gender.fr/rapport-du-haut-conseil-a-legalite-femmes-hommes-oct-2014

Le rapport conclut : « C’est ce qui justifie la place différente occupée par les deux sexes sur une échelle des valeurs, et donc la hiérarchisation entre les femmes et les hommes. » (p.36)

Quelle est l’échelle des valeurs de ces féministes radicales ? Elles dénigrent systématiquement ce que font les femmes, surtout la maternité, qui serait une construction intellectuelle. Elles veulent faire de la femme un homme comme les autres. Mais parallèlement, elles veulent écraser l’homme. A l’école, il ne faudra donc surtout pas que les professeurs aident plus les garçons que les filles, alors qu’ils ont plus de difficultés (voir grille d’évaluation des professeurs dans le cadre de l’ABCD de l’égalité). La formation des professeurs prévue dans le cadre du plan égalité se chargera de les formater sur ce point.

Vous pouvez revoir l’intervention de Thérèse Hargot le 12 juin 2014. Elle révèle à partir des outils de formation de l’ABCD de l’égalité la haine non seulement des hommes mais également des femmes qu’ont les féministes radicales. Ce sont elles en réalité qui tiennent des propos sexistes, puisqu’elles jugent dévalorisantes les activités et métiers choisis majoritairement par les femmes. Cette interview de François-Xavier Bellamy est à cet égard également très éclairante.

http://www.vigi-gender.fr/plan-egalite-filles-garcons-a-lecole-la-vigilance-demeure-necessaire.php

 

https://www.reseau-canope.fr/outils-egalite-filles-garcons/pour-aborder-leducation-a-la-sante-et-a-la-sexualite.html

 

A lire nos différentes rubriques : Education   Discrimination / Genre   Economie / Entreprises