Voici un article intéressant sur les investissements boursiers avec une énumération de quelques différences entre les hommes et femmes. Tout d'abord nous voulons signaler que les processus d'investissement en bourse sont libres ainsi le "proportionnellement nettement moins de chances" nous semble pas adapté ainsi que les choix des produits (actions, SICAV, ETF, Obligations,...) ensuite il existe des reunions investisseurs sans distinctions de sexe même si quand on évoque "social" cela se traduit par normes féministes. Pour revenir à l'article sur la condescendance quand on connaît le féministe.... . Mais une petite parenthèse sur une étude récente a montré que les progressistes et "liberals" (entendez: la gauche) tendent lourdement à parler avec beaucoup de condescendance aux minorités et à tout membre d'un groupe perçu comme "opprimé", simplifiant leur vocabulaire et leurs phrases, prenant mille et une précautions justifiées seulement dans leur imaginaire (marcher sur des oeufs en permanence), prenant leur parti en décidant ce qu'est leur parti, assumant ce qui est leur lot en fonction de ce nombre très limité de critères englobants qui leur sert de bréviaire. A l'inverse, les libertariens et conservateurs ne changent pas leur façon de parler et de s'adresser aux gens suivant le groupe perçu d'appartenance, ce qui, dans la culture ambiante, du moins dans certains lieux (universités, médias, secteurs culturels et caritatifs non religieux, centre-villes dans les métropoles en forte croissance), leur donne la réputation d'être "brutaux".

 

Ensuite sur le reste de l'article  investissement boursier comme le trading c'est à féminiser, l'aspect victimaire pour quelque chose de libre mauvais pourcentage, réunions destinées aux femmes et association "Girls Who Invest", sans oublier l'étude qui dit que les femmes font mieux que les hommes, il ne manque plus que l'aspect législatif c'est le seul oubli.

Nous faisons pas de publicité c'est un site Français où Américains mais c'est juste un exemple de site internet boursier sans distinction de sexe en accès libre ou les règles féministes s'affichent dans les dépêches et l'audience est principalement masculine :

https://www.boursier.com/

Communiquez auprès de notre audience principalement masculine et CSP+, 1,3 million d’internautes par mois

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/des-americaines-soudees-face-a-l-ecart-hommes-femmes-dans-la-finance-ca8330a84b65d34ad0e6d6d323c11265

Les conseillers en investissement, assure-t-elle, ont tendance à utiliser un ton condescendant et à se restreindre à des concepts simplistes face aux interlocutrices féminines.

Mme Packard, 38 ans, veut contribuer à combattre une réalité: les femmes ont proportionnellement nettement moins de chances d'investir dans les marchés que les hommes.

En se fondant sur des études réalisées en 2016 et 2017, l'application spécialisée Acorns a conclu que 57% des femmes n'investissaient jamais en Bourse, contre seulement 44% des hommes.

Sur la durée d'une vie humaine, cela peut se traduire par des centaines de milliers de dollars de revenus perdus.

Et la question de la confiance est clé. Selon Acorns, 61% des femmes estiment avoir une mauvaise compréhension des mécanismes financiers, les hommes n'étant que 43% à l'admettre.

"Pour une novice, c'est vraiment intimidant", confirme Pamela Sams, conseillère financière de Herndon, également en Virginie, qui organise régulièrement des réunions destinées aux femmes souhaitant mieux gérer leur patrimoine financier.

Mme Sams a lancé son association en octobre 2018, offrant aux femmes un "espace sûr", ainsi qu'un forum en ligne où les membres peuvent poser des questions.

Shari True, 53 ans, fait partie du groupe. Pendant longtemps, elle a trouvé normal de s'occuper des petites dépenses du foyer familial, son mari se chargeant des impôts et des placements financiers. Un secteur dominé par les hommes, relève-t-elle.

"Quand vous lisez la presse (spécialisée), elle est écrite par des hommes qui interviewent des hommes, pour des lecteurs masculins", insiste cette employée d'une société à but non lucratif.

Mme Packard abonde: "On ne voit pas de femmes dans ce secteur, donc on finit inconsciemment par se sentir exclue".

Les études montrent d'ailleurs que les femmes apparaissent plus réticentes que les hommes à s'engager dans des placements risqués, même si une autre étude, de la société Fidelity, a conclu que les femmes obtenaient une meilleure performance de 0,4 point de pourcentage en termes de résultats d'investissements.

D'où la multiplication de séminaires et d'associations qui veulent insuffler de la confiance aux femmes désireuses d'investir. "C'est crucial d'avoir quelqu'un en face de la table en qui vous avez confiance", résume Janet Cowell, qui dirige la société Girls Who Invest.