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Nous avons choisi cet article pour trois raisons la première était que nous avons le souvenir d'une déclaration de Mme Belkacem qui pour résumé que pour les comités exécutifs la loi ne pouvait rien faire et qu'il fallait sensibiliser (pour faire simple y arriver pas condanation morale). La seconde le féministe se base sur des règles et plusieurs indices de féminisation mais leurs indices de bonnes conduites ne comprend pas le comité exécutif voir par exemple les quotas des boards Baromètre Ethics and Boards. La troisième on retrouve le féministe habituel dans cette article les pourcentages de femmes, les femmes c'est la croissance en plus sans oublier tous une série de normes ainsi comme l'article le montre les entreprises sont classés par féminisations il existe plusieurs indices comme Zimmermann ou le Femina Index qui comprenne tous une série de norme et de dispositifs pour augmenter la féminisation d'une entreprise.  Ces indices s'accompagnent de dispositifs législatifs deux exemples la loi Copé-Zimmermann ou celle du 4 août 2014. Ces dispositifs sont les reflets de la vision sociétale féministe qui sont pour synthétiser par quatre règles essentielle : 

la société est faite par et pour l'homme donc c'est un dominateur et un discriminant la femme ne peut discriminer  

la société et composée de 50 % de femmes donc tous doit être composés à 50 % une entreprise, une filière profesionnelles, un métier, une fonction une instance dirigeante ou représentative du délégué de classe aux conseils d'administration tous doit être pensée sur cette norme.

les dispositifs et initiative doivent être pris pour imposer cette vision avec trois façons différentes la premières et la condamnation morales c'est-à-dire avec des campagnes de sensibilisation, des reportages, des infos graphiques, des "enquêtes, des contenus scolaires. La seconde et l'aspect législatifs avec tous une série de mesures qui impose des quotas accompagnés de parité dans les écoles comme dans les entreprises ou toutes autres organisation et ministère tout ce qui compose un pays qui doit être pensé de cette façon sans oublier les mesures spécifiques avec des dotations et sanctions financières si vous ne respectiez pas ces normes le tout couplé avec les indices de féminisation qui accompagnait de  l'arsenal législatif infligent une série de quotas dans les recrutements, nomination et d'aide dédié aux femmes que l'on appelle "égalité".

la dernière c'est pérénniser et sanctuariser en effect on commence par les conseils d'administrations on continue avec les comités exécutifs, on commence par la parité pour les élections municipales on continue avec celles des députés, et ensuite on sanctuarise avec des réseaux de femmes pour demander plus de normes pour garder celles qui sont existantes et réclamer des dispositifs spécifiques

Nous sommes allés sur le site du constructeur automobiles français voici çe que nous trouvons :

https://group.renault.com/nos-engagements/notre-responsabilite-sociale-et-societale/promouvoir-la-diversite/

Début 2010, le Groupe Renault a lancé le plan Women@Renault. Un dispositif basé sur un plan d’actions RH, afin d’améliorer la représentation des femmes à tous les niveaux et dans tous les métiers de l’entreprise.

Le plan comprend aussi un réseau social interne qui porte le même nom. Ouvert à tous les collaborateurs dès son lancement, ce réseau mixte et international vise à faire évoluer les mentalités

En 2014, le mouvement international #HeForShe était lancé. Quelques années après, c’est au tour du Groupe Renault de le déployer en interne, avec le comité ONU Femmes France. Un moyen de renforcer l'implication de tous les salariés, notamment les hommes, sur les questions d'égalité et de mixité femmes-hommes

Nous avons extrait deux chiffres de ce document pour montrer la part des femmes représente 24.8 % du groupe cependant pour le conseil d'administration et pour les comités exécutifs le pourcentage est plus élevé avec les normes féministes c'est possible mais critiquable négativement.

https://group.renault.com/wp-content/uploads/2018/03/mars-edition-2018-en-bref.pdf

Diversité et égalité des chances

— 24,8 % de femmes dans les effectifs du Groupe.

— 27 % de femmes dans les postes clés du Groupe à fin 2016

https://business.lesechos.fr/directions-generales/strategie/veille-etudes/0600817448176-feminisation-demain-des-quotas-pour-les-comex-327505.php

Irréductible machiste ? Rationnelle ? Championne de la diversité ? Michel Ferrary, chercheur affilié à Skema Business School et professeur à l'université de Genève, a classé les soixante plus grandes entreprises françaises en matière de féminisation.

Cette année encore, Michel Ferrary, chercheur affilié à Skema Business School et professeur à l'université de Genève, pourrait bien se faire sermonner par quelque directeur de la communication d'un groupe du CAC, rendu maussade par la publication de son Observatoire de la féminisation des entreprises.

L'application des quotas de femmes dans les conseils d'administration a certes relevé la moyenne de la quasi-totalité des 60 plus grandes entreprises privées françaises _ à l'exception, des six qui, comme LafargeHolcim, sont juridiquement basées à l'étranger et, de ce fait, non soumises à la loi Copé-Zimmermann. Mais un « index d'inégalité » établi par le chercheur pointe aussi les entreprises les plus discriminantes à l'égard des femmes en matière de promotion.

« Depuis vingt ans, les comités exécutifs n'évoluent quasiment pas sur la question des femmes », souligne Michel Ferrary. Non loin de l'axe des « irréductibles machistes », ces groupes qui non seulement échappent aux quotas des boards mais n'ont pas plus de femmes au comité exécutif, l'axe des « machistes contrariés » fait encore recette. Ces derniers ont bien 40 % de femmes à leur board, mais il faudra encore attendre pour qu'ils leur accordent  des sièges dans les instances de direction.

En Suisse, des quotas votés

Pour Michel Ferrary, une telle situation milite en faveur des quotas. La solution serait d'ailleurs étudiée au secrétariat d'Etat chargé de l'Egalité entre les femmes et les hommes. En Suisse, où l'enseignant a été consulté, le Conseil national a voté, l'année dernière, pour un quota minimum de 30 % de femmes dans les conseils d'administration et pour un autre de 20 % dans les organes de direction. La mesure s'était inscrite dans une vaste réforme du droit de la société anonyme.

« Les entreprises peu féminisées disent qu'elles manquent de vivier interne, explique l'enseignant. Mais ce n'est vrai que pour certaines d'entre elles. Lorsque l'on compte 65 % de femmes dans l'encadrement, que l'on opère dans un secteur attractif, et que l'on est en mesure de capter les meilleurs profils, l'argument ne tient pas. Il n'y a pas de raison pour qu'il y ait moins de 10 % de femmes au comex du groupe (c'est l'instance étalon de l'étude - NDLR) », défend-il.

Promotion de l'égalité au sein du comex

La féminisation pose moins de problèmes à d'autres. Mais à y regarder de plus près, l'appellation « championnes de la diversité » est un peu trompeuse. Kering, qui se distingue dans la catégorie, compte ainsi 7 administratrices sur 11 membres au conseil, mais seulement 4 femmes sur 12 hommes, PDG compris, au comex. D'autant qu'à l'exception d'une patronne de marque, les trois autres membres de l'instance, à la communication et image, aux ressources humaines et aux relations institutionnelles, occupent des fonctions traditionnellement féminines.

Danone, bon élève, affiche trois femmes sur les sept membres du comité exécutif. Soit 42,86 % de femmes au comex, pour 49 % de cadres femmes, un ratio au coeur de la démarche de l'universitaire. Sur ce plan, Orange et Renault ont des positions originales : « ce sont des entreprises qui ont fait un choix de promotion de l'égalité au sein du comex, explique Michel Ferrary. Le pourcentage de femmes dans l'instance est plus important que le pourcentage de femmes dans l'encadrement ».

Le « Femina Index », autre outil de mesure de l'étude constitué d'entreprises dont l'encadrement est a minima à 40 % féminin, démontre, une fois encore, que la mixité contribue à la performance . Les quinze entreprises qui composent l'indice surperforment financièrement le CAC40 sur le long et le moyen terme. Encore sceptique sur la question ?

Sur l'étude l'étude constituée d'entreprises dont l'encadrement est a minima à 40 % féminins qui démontrent que la mixité contribue à la perfomance nous avons des doutes :

Nous allons reprendre deux passages consultables sur ce lien Un guide parité. Et là on retrouve positionnement idéologique du féninisme "discrimination envers les hommes faux"  ou elle répondent  "Elle peut se traduire par l’instauration de quotas" ( donc basés sur le sexe)  "La parité est une bonne chose car les femmes ont une pratique différente du pouvoir que les hommes." Faux : "Cette affirmation est due aux stéréotypes de sexe. Il n’existe pas de qualités féminines ou masculines par essence."

Ensuite les entreprises ont une gamme et un positionnement prix et dépendent d'un marché. Une action comme Renault et considérait comme cyclique  à linverse de LVMH le luxe et plus stable ces deux entreprises emploient "traditionnellement" une proportion différentes de chaque sexe 75 % d'homme chez la première 74 % de femme dans la seconde. En cas de crise Renault souffrira plus que LVMH c'est ce qui s'est passé en 2008 aux Etats-unies les entreprises dans les secteurs (la construction, l'automobile, la finance,...) qui ont le plus souffert étaient celles qui employaient beaucoup d'hommes cette crise a servi de récupération féministe pour justifier leur méthode. 

Ensuite nous vous mettons trois liens personnellement à part pour les politiques du RSE et dans le cadre du 8 mars ou on a l'argumentaire contradictoire habituel et militantisme féministe cela nous paraît difficile à dire que la féminisation apporte tous ces avantages surtout quand on connaît les mesures, le positionnement idéologique de ces méthodes, une structure organisationnelle de la répartition sexuée, l'aspect financier,... .

https://www.devenir-rentier.fr/t19196-7

https://philippesilberzahn.com/page/13/

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Dividendes-un-piege-a-eviter--28118211/

"Lorsqu'une telle dynamique est enclenchée, les managements n'ont plus qu'à prier les cieux pour qu'une amélioration soudaine de la conjoncture les tire d'affaire, ou qu'une offre de rachat miraculeuse soit proposée par un concurrent peu regardant ou trop optimiste." 

"Si aucune de ces voies de sortie ne se concrétise, après nous le déluge ! La tentation de manipuler le dividende pour appâter de nouveaux investisseurs sera plus forte encore, car du capital frais sera désormais nécessaire non pour se développer mais, plus prosaïquement, pour survivre."

"On le sait, les entreprises soumises à un stress majeur — comme les constructeurs automobiles lors de la dernière crise ou, plus récemment, les gérants de l'énergie comme EDF ou Engie — sont toujours réticentes à réduire leur dividende, conscientes de l'impact dévastateur qu'une telle annonce produirait sur leur valorisation en bourse."

Ce, alors même que le bon sens commandait depuis longtemps d'accumuler les réserves plutôt que de les dilapider en plantureuses distributions !

Voici pourquoi il convient de toujours accueillir avec une extrême prudence les différentes communications aux actionnaires — naturellement plus enthousiastes qu'elles ne devraient — pour plutôt se concentrer sur les fondamentaux, et plus précisément sur le profit cash ("free cash-flow") par action ; on peut ainsi vérifier à moindres frais que le dividende est bel et bien soutenable, et la création de valeur tangible.