Voici quelques passages sélectionnés à la lecture de ce document :

http://www.federation-femmes-administrateurs.com/wp-content/uploads/2014/07/Dossier-actes-du-colloque-06.03.2014-V_15.05.2014.pdf

 Nous n'avons pas fait un commentaire à chaque extrait d'autres informations sont et serons communiqués sur le site  :

 

C’est ici que tout a été possible, dit-elle, après qu’en 2006, des amendements introduisant une représentation de 20 % de femmes dans les conseils d’administration, les organisations syndicales et sur les listes des prudhommes, votés dans le cadre de l’examen d’une loi sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, ont été invalidés par le Conseil Constitutionnel au motif qu’ils ne reposaient sur aucune base constitutionnelle.

Forte de cette mauvaise expérience, lors de l’examen de la réforme constitutionnelle de 2008 Mme Zimmermann a fait adopter un amendement introduisant un second alinéa à l’article 1er de la Constitution qui précise que :

« la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales », loi constitutionnelle votée avec une seule voix d’avance le 23 juillet 2008 par le parlement réuni en Congrès à Versailles. Dès lors, la porte était ouverte à toute nouvelle proposition de loi introduisant 40 % de femmes dans les conseils d’administration et de surveillance, ce que fit la loi Copé-Zimmermann du 27 janvier 2011.

 

Dans le même temps, il dressait le constat de conseils d’administration s’apparentant à des clubs d’hommes se cooptant entre eux. L’humanité étant composée de femmes et d’hommes, il estimait que les décisions devaient être prises à la fois par des femmes et des hommes compétents.

 

Cet état de fait repose sur le présupposé suivant : lorsque l’on est un homme, on naît administrateur et lorsque l’on est une femme, il convient de travailler pour le devenir.

 

Une avancée majeure vers une société plus moderne et une économie plus performante en terme de point de croissance qui a valu à la loi d’être intégrée dans la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE), selon le modèle anglo-saxon.

 

elle aussi propulsée par Madame Marie-Jo ZIMMERMANN a permis de faire apparaître, pour la première fois, l’égalité entre le monde public et le monde privé. Elle prévoit ainsi un taux de 40 % de femmes dans les conseils d’administration, les conseils de surveillance ou organes équivalents dans les établissements publics nationaux.

 

Au-delà de l’identification des talents, le premier défi de la Fédération est la professionnalisation du statut d’administrateur par la formation. Et c’est à vous mesdames d’être le moteur du changement. C’est ainsi que le processus de formation prendra le pas sur les processus de cooptation, multipliant ainsi vos chances d’obtenir un mandat. La qualité des formations proposées par les différents acteurs (IFA/Sciences Po et ESSEC ; …) attire de plus en plus de femmes. Et nous nous en réjouissons. Cette impulsion donnée par les femmes bouleversera, sans aucun doute les organisations et le management dans les entreprises. Car en relevant ce défi, les femmes administrateurs permettront aux sociétés d’atteindre plus facilement leurs objectifs de parité, facteur reconnu de croissance et de compétitivité.

 

Le deuxième défi que s’est fixé la Fédération, consiste à conduire un véritable changement culturel pour que les conseils d’administration soient de véritables lieux ouverts de réflexions stratégiques et non plus de simples chambres d’enregistrement où règne le non-dit.

 

Enfin, le troisième défi est celui de la valorisation de la compétence et du sérieux. Là encore, les femmes ont un rôle majeur à jouer car elles ont du talent. Elles étudient les dossiers, fouillent, cherchent… et trouvent. En se dotant de leurs nouveaux savoirs, de leur approche prudente des risques et de leur vision innovante, le conseil d’Administration gagnera en compétence

 

l’association « Administration moderne » vise à promouvoir les femmes, à assurer leur représentation et à contribuer à l’application des textes. La plupart des entreprises à participation publique entrent dans le champ d’application de la loi du 27 janvier 2011. Le taux de féminisation de ces entreprises était de 26 % au 1er septembre 2013. La loi Sauvadet du 12 mars 2012 a étendu au secteur public l’objectif de 40 % de nominations de femmes dans les conseils d’administration des établissements publics. « Administration moderne » s’attache à promouvoir la parité dans les établissements publics.

L’association est particulièrement attachée à la mixité des réflexions publicprivé et poursuit son action avec détermination pour une meilleure gouvernance. De plus, un accompagnement pratique de ses membres par des coaches certifiés de l’association Galilée permet, aux femmes le souhaitant, de développer leurs talents.

 

indique que l’IFA constitue une association de femmes et d’hommes. A ce jour, 32 % des adhérents de l’IFA sont des femmes, sur un total de 3 200 adhérents. Les femmes ont davantage de facilités à avouer un besoin de formation. La proportion de femmes dans ces formations proposées par l’IFA est de 55 % contre 45 % pour les hommes. Le vivier de l’IFA reste inspiré par le site du ministère des droits des femmes.

 

"Women be European Board Ready", au -delà d'une ambition de facilitation de l'accès des femmes aux Conseils est celui de la professionnalisation des pratiques françaises relatives aux mandats d’administrateur(e) et au fonctionnement des Conseils. C'est un enjeu de compétitivité de nos entreprises que celle-ci. La féminisation doit permettre la modernisation du système. Ce programme est dédié aux femmes voulant se former aux meilleures pratiques degouvernance, au -delà même des CA. Les femmes n'ont pas besoin de se former au motif qu’elles sont moins efficaces que les hommes, mais elles cherchent à se rassurer par les compétences et rencontrent des difficultés de posture, en tant que minoritaires dans les instances de pouvoir.

Une approche des soft skills complète donc le programme de fondamentaux pour les armer et maitriser les codes (non écrits) dans ces instances de gouvernance et/ ou de dirigeance. Pour pouvoir les accompagner et faire réseau par la suite, les promotions ne dépassent pas entre 20 à 25 femmes.

Une association a été créée "Gouvernance et Equilibre" et les participantes conservent ainsi cet esprit de jeu collectif développé lors de la formation ; de même bénéficient elles d'autres évènements ultérieurs et d'un groupe de suivi sur linkedln "Administratrices et dirigeantes ».

 

Réseaux au féminin : Guide pratique pour booster sa carrière

Auteurs : Carole Michelon et Emmanuelle Gagliardi Guide (broché) paru en 03/2013 aux éditions Eyrolles

Aujourd’hui, en France, l’engouement pour les réseaux de femmes est indéniable. Réseaux d’anciennes d’écoles, d’entreprises, réseaux sectoriels ou professionnels, réseaux d’entrepreneures, politiques, culturels, lobbyistes ou religieux, l’agence CONNECTING WOMEN en recense plus de 400 !

À quoi servent les réseaux de femmes ? Qui les fréquente ? Comment y entre-t-on ? Que vous apprennent-ils ? Et pourquoi sont-ils absolument indispensables à votre carrière ? Ce sont les questions auxquelles répond ce livre.

Que vous soyez salariée, en libéral, chef d’entreprise, dirigeante, entrepreneure ou en développement de projets, vous trouverez forcément le réseau qui vous permettra de véritablement booster votre carrière !

 

La loi Copé-Zimmermann du 27 janvier 2011 instaure progressivement d’ici 2017 la représentation équilibrée des femmes et des hommes au sein des conseils d’administration et de de surveillance des sociétés cotées et des grandes sociétés non cotées.

Dans ce contexte de la mise en oeuvre de la loi, le guide a été écrit pour accompagner les femmes désireuses d'être administratrice, en leur donnant des conseils pratiques pour accéder à ce statut. Il passe en revue les formations au « métier » d'administratrice, le mentorat, les réseaux, la recherche et le choix de son mandat... sans oublier les aspects juridico-économiques de la fonction. De nombreux témoignages viennent illustrer le propos. et en performance

 

Nous sommes contre tout système de quota (cela ne veut pas dire contre les femmes) on aurait pu proposer le système de plateforme pour des candidates, des formations spécifiques d'ailleurs ils n'existent pas de réseau d'homme et de formations spécifiques dédiées aux hommes administrateurs quand on parle d'égalité sociale ou professionnelle, une égalité de la représentation ça va plus vite que celle des moyens on peut toujours attendre des actions sociales destinées à une population masculine quand on sait que l'égalité enfin ses "normes" dépendent de ministères des droits des femmes et de diverses associations loin d'être neutre.  

Il existe un réseau "Happy Man" mais c'est pour promouvoir les normes égalités féminines.  Mais imposez les pourcentages pour les conseils d'administration et comité divers, et tout autre action qui s'accompagnent d'objectif de femme dans les recrutements, fonction,  en plus d'action exclusivement féminine événement, formation, partenariat et visite d'entreprise ... totalement contre on pourra qualifier ou employé le terme d'égalité dans chaque phrase ou document mais il y en a pas c'est de l'égalitarisme et du sexisme.