Nous avons extrait quelques passages de deux articles sur une possible augmentation du congé paternité. Nous avons déjà donné notre avis sur le congé parental nous sommes hostiles à toutes senbilisations, augmentation de jours et le fait de le rendre obligatoire (on reconnaît les normes féministes).  Nous pouvons également dire qu'augmenter le congé paternité plus le fait de le rendre obligatoire fait partie de dispositif "égalité" (comme d'autres adaptations) notamment sur l'écart salarial et l'égalité salariale ce qui nous amènent à nous interroger sur l'idéologie  les critères et l'ensemble des dispositifs "égalité". Nous sommes plus flexibles et moins idéologiques que les normes "égalité". Dans ses différents passages nous retrouvons l'idéologie féministe représentation, égalitarisme, obligatoire, législatif : 

AFP le 21/01/2018 à 07:44, mis à jour à 12:00

"L'égalité entre les femmes et les hommes est un principe constitutionnel et la loi Roudy sur l'égalité a 35 ans", rappelle la ministre.

Mais dans les faits, "les femmes gagnent toujours 9 % de moins que les hommes à poste équivalent et 25 % en moyenne de moins (...) tous postes confondus, c'est inadmissible", fait-elle valoir.

"Nous allons proposer une réunion aux partenaires sociaux sur l'égalité salariale pour élaborer un plan d'action d'ici la fin mars", annonce-t-elle.

Les 25% d'écart, liés pour partie ("15% ou 16%") aux "retards culturels", à "la persistance de clichés sexistes dès l'enfance", selon la ministre, nécessitent une correction "sur le long terme, en prenant le mal à la racine".

En revanche, "l'écart de 9 % qui demeure à travail égal aurait déjà dû disparaître", insiste Mme Pénicaud, citant l'exemple "inacceptable" d'une "jeune diplômée de HEC" engagée avec "un salaire inférieur à celui d'un garçon" au cursus similaire.

"Notre ambition, avec le Premier ministre (Edouard Philippe) et (la secrétaire d'Etat à l'Egalité entre les femmes et les hommes) Marlène Schiappa, est de supprimer cette différence de 9 % pour toutes les femmes pendant le quinquennat", assure la ministre.

Pour ce faire, les indicateurs existant sur "la situation comparée des hommes et des femmes dans les entreprises" doivent par exemple être perfectionnés, détaille Mme Pénicaud, appelant à "plus de transparence".

"Ecartant l'idée d'une nouvelle loi, la ministre souligne que "depuis 2013, plus de 3.000 entreprises" n'ayant pas d'accord sur l'égalité professionnelle ni de plan d'action, obligatoires, "ont été mises en demeure", 157 ayant été "sanctionnées".

Dans le cadre du Tour de France de l'Egalité femmes/hommes, lancé en octobre par le gouvernement, le Conseil économique, social et environnemental (Cese) organise mardi une journée dédiée en présence de Marlène Schiappa.

Une résolution devant être votée à cette occasion propose, selon le JDD, de renforcer "les sanctions contre les entreprises fautives", alors que seules "61,4% des entreprises disposent aujourd'hui d'un accord collectif ou d'un plan unilatéral sur l'égalité (...) et 60% seulement des 50 principales branches professionnelles"."

 

 

 

Actuellement, et en dépit de la loi, les femmes gagnent 9% de moins que les hommes à poste équivalent et 25% de moins en moyenne. Dans un entretien au JDD dimanche, la ministre du Travail Muriel Pénicaud déclare vouloir supprimer l'écart de salaire à travail égal d'ici à 2022 et annonce sa volonté de réunir les partenaires sociaux pour "élaborer un plan d'action".

Depuis 2013, d'après la ministre, plus de 3000 entreprises n'ayant pas d'accord sur l'égalité professionnelle ni de plan d'action (qui sont pourtant obligatoires), ont été "mises en demeure", mais seulement 157 ont été sanctionnées. Ce mardi, elle a précisé sur CNews que ce plan pourrait inclure une nouvelle loi "s'il en faut une", sans pour autant exclure de renforcer l'actuelle. C'est cette dernière piste que recommande le Cese, dont les propositions ont une valeur consultative.

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regrette-t-elle, pointant les dommages d'une "illusion d'égalité". "On pense que parce qu'il y a des avancées sur les inégalités alors on est automatiquement dans l'égalité, mais ça n'est pas le cas", prévient-elle.

Sur les inégalités salariales, le Cese rappelle tout d'abord dans sa résolution la nécessité de mieux former les acteurs à l'égalité professionnelle de manière globale. Concrètement, il préconise aussi que les négociations collectives sur ce thème soient assorties d'une obligation de résultat, afin d'éviter des bilans trop mitigés

Des statistiques genrées et un vrai budget

Le projet de résolution met aussi l'accent sur le besoin de lutter contre les racines de l'inégalité, en rappelant le rôle primordial de l'école dans la bataille contre les stéréotypes. Surtout, le texte recommande la mise en place d'une évaluation permanente et genrée des politiques existantes, avec l'établissement de statistiques sexuées. "Sur la santé, ou les risques psycho-sociaux notamment, on sait qu'il y a des différences entre hommes et femmes", explique Cristelle Gillard.

La conseillère cite l'exemple des données sur les accidents du travail pendant le trajet. Si les chiffres globaux, hommes et femmes confondus, témoignent d'une baisse, on observe au contraire une hausse de ces accidents chez les femmes. Le Cese alerte enfin sur la nécessité d'augmenter les moyens alloués à la cause des femmes et de l'égalité. Si elle salue l'engagement budgétaire interministériel dans cette lutte, Cristelle Gillard regrette que le budget du secrétariat d'Etat de Marlène Schiappa soit "le plus petit de l'Etat" et prône pour une enveloppe qui permette "la mise en œuvre effective des propositions".

http://www.bfmtv.com/societe/contre-l-inegalite-salariale-femmes-hommes-le-gouvernement-incite-a-appliquer-les-sanctions-financieres-1356185.html

 

 

 

Laurence Parisot : "Il faut rendre le congé paternité obligatoire"

Boursorama avec AFP le 22/01/2018 à 09:14, mis à jour à 12:33

Pour Laurence Parisot, un plan pour l'égalité des salaires ne suffit pas pour réduire les inégalités salariales hommes-femmes. La présidente d'honneur du Medef demande la mise en place d'un congé paternité obligatoire.

"Un congé paternité obligatoire rétablit l'égalité du regard porté sur la femme et l'homme dans l'entreprise", a déclaré Laurence Parisot, ce lundi 22 janvier sur France Inter assurant qu'elle avait déjà proposé cette idée il y a plusieurs années.

"Sur la question de l'écart des salaires, on a tous les dispositifs législatifs, il faut simplement les mettre en place de manière très ferme", a-t-elle ajouté, appelant à aborder le sujet d'une manière vaste.

"Je suis féministe et je n'ai jamais supporté tout ce que j'ai observé de traitements machistes, misogynes, d'inégalités entre les hommes et les femmes dans l'entreprise et ailleurs", a-t-elle par ailleurs ajouté.

"Nous allons proposer une réunion aux partenaires sociaux sur l'égalité salariale pour élaborer un plan d'action d'ici la fin mars", annonce-t-elle. Les 25% d'écart, liés pour partie ("15% ou 16%") aux "retards culturels", à "la persistance de clichés sexistes dès l'enfance", selon la ministre, nécessitent une correction "sur le long terme, en prenant le mal à la racine".

En revanche, "l'écart de 9 % qui demeure à travail égal aurait déjà dû disparaître", a insisté Muriel Pénicaud, citant l'exemple "inacceptable" d'une "jeune diplômée de HEC" engagée avec "un salaire inférieur à celui d'un garçon" au cursus similaire.

http://www.boursorama.com/actualites/laurence-parisot-il-faut-rendre-le-conge-paternite-obligatoire-92e6cdc9283cbc048c28754d73a3e056

 

"C'est un sujet qui nous est remonté notamment lors du Tour de France de l'égalité", explique l'entourage de la secrétaire d'Etat, contacté par BFMTV.com.

http://www.bfmtv.com/politique/le-gouvernement-reflechit-a-une-reforme-du-conge-paternite-1355632.html

 

 

 

Dans cet article nous retrouvons l'application de normes féministes l'égalité homme-femme passe par des actions concernant la population masculine : la parité, les quotas sexué, la représentation sexuée les actions réservées aux femmes et filles les visites d'entreprise, bourse d'études, formation gratuite, le féministe appelle cela "l'égalité" sans distinction de sexe je rappelle que pour elle un homme n'est pas discriminé mais ils sont trop nombreux dans certains domaines. L'OCDE appelle ces normes la discrimination positive pour faire simple discriminer les hommes c'est positif, une égalité sociale, il faut remplir les critères et baromètre dit "égalité" dans cet article on voit que c'est le nombre d'hommes dans des métiers féminins d'après les personnes non stéréotypées et inversement le nombre de femmes dans les métiers masculins qui serait l'égalité  la première remarque le sexe à une importance pour ces personnes , la seconde qu'elles sont les méthodes pour y parvenir pour faire simple elles sont discrimatoires nous l'avons déjà évoqué à de multiples reprises, la troisième vouloir lutter contre des normes sociétales en créant des normes sociétales de représentation sexuée dans tous les domaines encore plus visibles et les rendre obligatoires, pour finir l'égalité de droit et différent du droit à l'égalité le féministe a choisi une voie qui est toutes a fait contestable.

http://h.c.i.over-blog.com/article-et-si-les-hommes-occupaient-des-metiers-feminins-70424004.html

Un congé paternité «obligatoire» ! En proposant de mettre cette idée à l'ordre du jour de l'agenda social du second semestre 2011, la patronne du Medef, Laurence Parisot, a jeté un pavé dans la mare. Un moyen de signifier que l'égalité homme-femme passe aussi par des actions concernant la population masculine. À travers une récente étude, l'Observatoire sur la responsabilité sociétale des entreprises (Orse) a d'ailleurs choisi cet angle original (1). Elle s'est intéressée aux actions visant à «masculiniser» des métiers fortement féminisés. «Contrairement à notre intuition, bon nombre d'accords étudiés évoquent l'accès des hommes aux emplois à prédominance féminine, commente l'Orse. Plus de 40 accords parmi les 165 de notre échantillon abordent ce thème, soit environ un quart».

 

L'accord reconnaît cependant que l'atteinte de ces objectifs sera difficile «au regard des candidatures reçues»… Chez Aéroports de Paris (ADP), les accords de 2003 et 2007 se sont intéressés à la population d'agent commercial. Depuis, la proportion d'hommes a légèrement progressé et se situe à ce jour à 40 % (à l'inverse de l'ensemble de l'effectif d'ADP qui compte 60 % d'hommes). Pour attirer davantage d'hommes, l'entreprise s'est attelée à une promotion de ces métiers. Les possibilités d'évolution ont été clairement repensées, notamment vers le poste de coordinateur de groupe.

 

L'arrivée des hommes sur des métiers de femmes serait donc un levier dans l'évaluation des compétences et les possibilités de progression. Elle pourrait permettre de revaloriser certains métiers. «Ou bien les hommes, qui progressent systématiquement plus vite que les femmes, seront encore les gagnants ?», interroge Renaud Redien-Collot, directeur délégué de l'école Advancia et «sociologue du genre», une spécialité répandue aux États-Unis, en Angleterre et en Allemagne.