Nous tenons à montrer un article extrait du laboratoire de l'égalité pour faire simple de l'égalitarisme et du féministe. Ce laboratoire s'inquiéterait d'une possible régression de l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. Nous pouvons dire plusieurs choses :

La loi ainsi que différents organismes fixe des objectifs de parité et d'égalitarisme, les quotas dans les conseils d'administration, les quotas de recrutement, les quotas de recrutements sans oublier différentes mesures cibler pour féminiser : formations réservées aux femmes, visites d'entreprises réservées aux collégiennes et lycéennes,...

Le féministe est aussi bien présent dans le domaine professionel mais aussi pendant la formation professionnelle et au niveau scolaire les quotas et les mesures spécifiques féminines sont présents partout.

Les normes de réussite hommes et femmes sont différentes ce qui amène tout une série de changements qui sont plus de l'égalitarisme et de la discrimination sexué (masculinité).

Le féministe avec ses normes à un impact loin d'être positifs sur tous une série de domaines économiques, réussite, flexibilité, mangement, organisation,... .

Les seuils sociaux, le nombre d'employés  d'une entreprise obligent celle-ci a prendre des mesures spécifiques totalement fondé sur le sexe et très discriminatoire,  quand ces normes ne sont pas réglementées par la loi on sensibilise voir les exemples dans cette rubrique : Economie / Entreprises

 

https://www.laboratoiredelegalite.org/2017/09/19/ordonnances-modifiant-le-code-du-travail-une-regression-pour-legalite-professionnelle-entre-les-femmes-et-les-hommes/

Un obstacle aux comparaisons nationales et à l’évaluation des politiques publiques

En outre, le Laboratoire de l’Égalité considère comme une régression la liberté laissée aux négociateur.e.s du nouveau Comité social et économique de l’entreprise de choisir les critères sur l’égalité destinés à figurer dans la Base de données qui a remplacé le Rapport de Situation Comparée (RSC). La diversité des choix au niveau local conduira à rendre impossibles les comparaisons nationales et l’évaluation des progrès (ou des reculs) des politiques d’égalité professionnelle. Pour ne pas perdre les avancées acquises grâce à la création du RSC, il est nécessaire d’uniformiser les données recueillies.

Le risque de transformer l’égalité en variable d’ajustement

À cette complexité s’ajoute le risque de transformer l’égalité en variable d’ajustement aux innombrables contextes locaux. Si, à ce jour, 60% des 50 principales branches et 20.000 des entreprises de plus de cinquante salarié.e.s n’ont entrepris aucune négociation en faveur de l’égalité professionnelle, rien dans les ordonnances ne semble devoir les inciter à se mettre en action. Des garde-fous sont indispensables afin que le Code du travail protège et fasse progresser l’égalité entre les femmes et les hommes dans toutes les entreprises.

Modifier les ordonnances avant leur adoption

Le président de la République a justifié le recours aux ordonnances en invoquant une nécessaire simplification du Code du travail. Pour ce qui concerne l’égalité professionnelle, les modifications apportées semblent plutôt complexifier les règles existantes. Le Laboratoire de l’Égalité rappelle que toutes réformes engagées par le gouvernement doivent être accompagnées d’une étude d’impact afin de prévenir toute aggravation des inégalités sexuées. Le Laboratoire de l’Égalité demande donc que « des modifications soient apportées à ces ordonnances avant leur adoption en Conseil des ministres, prévue le 25 septembre, puis leur examen par le Parlement. Les évolutions que nous souhaitons permettraient de répondre aux craintes et aux interrogations qu’elles suscitent en matière d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ».