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Quelques passages d'un article assez intéressant

Il en ressort que vingt-et-une entreprises respectent le taux de 40% de femmes exigé par la loi Copé-Zimmermann de 2011.

Au 1er janvier 2017, toutes les entreprises du CAC 40 - qu'elles soient cotées ou pas - devront compter au sein de leur conseil d'administration (ou de leur conseil de surveillance) 40% de femmes, selon le Code de commerce. La loi Copé-Zimmermann de 2011 (du nom des deux députés Les Républicains) les oblige en effet de respecter un quota minimum (à l'époque aucun objectif chiffré n'avait été donné, ndlr) de membres de chaque sexe afin d'assurer une représentation équilibrée des hommes et des femmes au sein des conseils. Le code de gouvernance des entreprises (Afep-Medef) recommande, quant à lui, aux sociétés de respecter ce taux dès cette année. Mais il ne s'agit pas, dans ce cas précis, d'une obligation.

En moyenne, la part des femmes au sein des conseils des entreprises du CAC 40 atteint, en 2015, 34,1%. Un chiffre qui reste donc inférieur à ce que prévoit la loi mais qui a triplé depuis 2009.

Une tendance confirmée par le Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes et le Conseil supérieur de l'égalité professionnelle, auteurs d'un rapport remis ce mercredi à la secrétaire d'État aux droits des femmes Pascale Boistard. Si l'objectif intermédiaire de 20% en 2014 a été atteint «sans difficulté», précisent les auteurs, «il en va autrement de l'objectif de 40% pour 2017». Et du coup, certaines entreprises tenteraient de rentrer dans les clous en diminuant le nombre des membres du conseil pour augmenter statistiquement la part des femmes, souligne le rapport. Les objectifs de 20% et 40% s'appliquent aux conseils de plus de 8 membres. Pour les plus petits, l'écart entre les femmes et les hommes doit être au maximum de deux.

Si le texte législatif devait entrer en vigueur cette année, un peu plus de la moitié du CAC 40 serait dans les clous (21 sur 40). La palme du meilleur élève en la matière revient à Kering (ex-PPR) avec 7 femmes sur 11 membres du conseil d'administration, soit un taux de près de 64%! Le groupe vient notamment d'accueillir trois nouvelles femmes, dont Laurence Boone, chef économiste du groupe Axa et ancienne conseillère du président de la République, qui avait déjà été membre du conseil du groupe entre 2010 et 2014. Kering devance Publicis (54,5%) et Engie (57,9%) qui est devenu au début du mois la première entreprise du CAC 40 à confier les rênes de son entreprise à une femme. A l'instar de Kering, de Publicis et d'Engie, trois autres entreprises respectent la parité homme-femme au sein de leur conseil d'administration: ce sont BNP Paribas, Société générale et Danone (50% de femmes pour chacune des trois sociétés).

A l'inverse, 19 entreprises du CAC 40 seraient «hors-la-loi», affichant un taux de femmes dans leur conseil d'administration inférieur à 40%. La palme du plus mauvais élève revient à LafargeHolcim, dont le conseil d'administration n'est composé que...d'une seule femme sur quatorze membres, soit un taux de 7,1% (contre 17,6% avant la fusion avec Holcim)! A noter que LVMH, malgré les nominations de Clara Gaymard (ancienne patronne de General Electric France) et de Natacha Valla (directrice adjointe du CEPII), restent parmi les mauvais élèves (6 femmes sur 17 membres, soit un taux de 35,3%). «Les entreprises qui ne respectent pas la loi encourent la suspension des jetons de présence et la nullité des nominations non conformes à l'objectif. Pour faire simple, les dernières nominations masculines sont considérées comme annulées», expliquent Loïc Dessaint, directeur général de Proxinvest, société de conseil financier.

http://www.lefigaro.fr/economie/le-scan-eco/decryptage/2016/02/10/29002-20160210ARTFIG00223-conseils-d-administration-seules-cinq-societes-du-cac-40-respectent-la-parite.php

Comme nous pouvons le lire dans l'article les quotas des conseils d'administration sont des obligations par la loi ensuite imposée aux entreprises qui font ensuite des labels égalité et des normes égalités ensuite inscrites dans les RSE  avec des partenariats entre les entreprises les associations de femmes, fédérations et réseaux de femmes et féministes. La loi égalité réelle femme homme de 2014 partout qui n'a d'égale et réelle que les noms ce sont des lois impose la parité partout qui discrimine les hommes et garçons pour avoir de la représentation féminine quitte à être discriminatoire, sexiste pour les méthodes mais c'est leur égalité. En plus des conseils d'administration des quotas sont appliqués dans les recrutements, les fonctions dirigeantes, des événements sexués ont également lieu visites d'entreprises, formation toutes ses actions se font sans distinction de sexe et discrimination pour les féministes l'homme domine, il ne peut subir une discrimination un sexisme surtout quand cela concerne certaines fonctions, secteur d'activité,.... . Une entreprise qui ne respecte pas ses obligations et au mieux catégorisé comme mauvais élèves un exemple du sexisme de cette loi  «Les entreprises qui ne respectent pas la loi encourent la suspension des jetons de présence et la nullité des nominations non conformes à l'objectif. Pour faire simple, les dernières nominations masculines sont considérées comme annulées» nous avons inversé le sexe peut-être que cela fera réfléchir "Les entreprises qui ne respectent pas la loi encourent la suspension des jetons de présence et la nullité des nominations non conformes à l'objectif. Pour faire simple, les dernières nominations féminines sont considérées comme annulées"  un conseil d'administration (dont la loi impose une parité à 40 % ) à plus de 60 % de femmes et un bon élève celui à plus de 50 % respecte la parité celui sous les 50 % sa commence à employer mauvaise élève, barrière plafond de verre par contre celui à 60 % d'hommes attention aux stéréotypes, manque de rentabilité, sexisme et bastion masculin