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Discrimination positive ?
Des réactions suite à la parution de deux articles :
Avec ses trois passages nous pouvons nous poser des questions :
- "aiment le plus les femmes" peut-on qualifier "d'aimer les femmes" le fait de féminiser aimer les femmes c'est en fonction d'un pourcentage ? Applique-t-on réellement les mêmes méthodes et opportunités ? Les objectifs de féminisation ne peuvent-ils pas être considérés comme sexistes ?
- "Le podium des entreprises les plus féminisées" Quand une entreprise dont les effectifs sont très masculinisés on parle de sexisme et stéréotype quand les effectifs féminins dépassent les objectifs d'égalité professionnelle (40 % d'une fonction, d'un objectif de recrutement, ...) ou les respectes pas avec par exemple un pourcentage de féminisation inversé est ce que le "trop de femme " peu et pourra s'appliquer ?
- "bons élèves de l’égalité " On pourrait remplacer par "bons élève de l'égalitarisme" mais pas de l'égalité des droits ?
- "Pour accorder les notes, sont pris en compte, entre autres, la part de femmes dans les conseils d’administration, dans le comité exécutif, dans les 100 premiers postes de l’entreprise ainsi que le respect des objectifs de mixité et l’existence de réseaux de femmes dans la société."
- "Sodexo, leader mondial des services aux entreprises, avec 81 points, chiffre en hausse par rapport à l’année précédente où il en cumulait 72,66. Cette entreprise compte 38,5 % de femmes dans son conseil d’administration, 50 % dans son comité de rémunération et 80 % dans son comité de nomination"
- "Engie (ex-GDF Suez) qui fait une percée dans le palmarès pour arriver directement à la troisième position, avec 73,5 points."
- "Si les quotas instaurés par la loi Copé-Zimmermann de janvier 2011 aident à la féminisation, beaucoup estiment qu'ils ne contraignent pas suffisamment les entreprises. Ces derniers fixent pour objectif à atteindre au 1er janvier 2017, 40 % de femmes minimum au sein des conseils d’administration et de surveillance des sociétés de plus de 500 salariés et 50 millions de chiffres d’affaires. À ce jour, seulement 17,5% des sociétés du SBF 120 ont atteint ce seuil imposé. L’égalité (peut être remplacée par égalitarisme) est donc encore loin d'être assurée."
Proposer les mêmes critères de sélection, d'opportunité, de soutien (réseaux, journée dédiée, formation, ... ) pour les hommes comme pour les femmes on en est loin, une entreprise qui opère dans un secteur technique ou scientifique devra prendre des mesures pour les femmes dans les documents et manifestations on parlera d'égalité mais la même entreprise ne prendra pas les mêmes dispositions pour les hommes et garçons. La motivation des candidats en fonction du sexe peut-être différentes on ne peut pas considérer comme aimer ou détester les femmes une action qui visent à un égalitarisme et une "égalité" de féministe plutôt qu'une égalité réelle on confond égalité et mixité un exemple d'argumentation qui est repris par l'éducation national « Autre inégalité qui perdure : la non mixité des emplois. Femmes et hommes ne travaillent pas dans les mêmes secteurs, n’exercent pas les mêmes métiers ».
Finalement on choisit de féminiser, on fait de la représentation d'un sexe, il faut un nombre de femmes sinon sexiste, discrimination et autres refrains habituelle on notera que la discrimination (un lien pour la définition http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/discrimination/25877 ) envers les hommes n''existe pas, en fait une ajoute des contraintes de sexe, et on impose un système et des palmarès de discrimination.
Un exemple une entreprise du secteur automobile qui emploie moins de 19 % de femmes devra nommer 40 % de femmes dans les conseils d'administration et autres poste hiérarchique tout cela sans discrimination mais est-ce vraiment équitable vis-à-vis des hommes dans le cas présent on peut penser que dans les fonctions dirigeantes le sexe majoritaire sera masculin et à plus de 80 %.