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En s'intéressant aux féministes ont connait leurs visions de la société c'est a dire leurs 3 obsessions : 

les filières supérieures et les bastions masculins quelques exemples les filières scientifique mathématique et technologique, numérique, armée, ingénierie, finance,... 

rendre obligatoires leur sexisme et discrimination un rappel discriminé une femme ou une fille s'est grave discriminer un homme ou garçon c'est positif voir ce n'est pas une discrimination un petit rapelle des normes quota, parité, réseaux de femmes, mesures spécifiques pour aider les femmes, 

établir une société où tout doit être réglementé suivant ces normes et leur vision de la société des jouets, cours de récréation, cinéma 

Pour en revenir aux articles ci-dessous nous allons pas faire un commentaire vous connaissez notre avis et nous en avons déjà parler (Jouet et stéréotype). Tout ce que nous pouvons c'est que cette vision sociétale, cette ingénierie sociale a déjà de nombreuses lacunes et a faits fausse route mais depuis plus de 30 ans.

http://www.leparisien.fr/societe/manque-de-femmes-ingenieures-bercy-veut-plus-de-mixite-dans-les-jouets-24-06-2019-8101863.php#xtor=AD-32280599

« Dans un magasin, la première question qu'on vous pose après vous avoir demandé quel âge a l'enfant pour son cadeau, c'est Est-ce que c'est une petite fille ou un petit garçon ? » C'est ce qu'a dit regretter ce lundi la secrétaire d'Etat à l'Économie Agnès Pannier-Runacher, qui préférerait que les vendeurs s'interrogent d'abord sur les centres d'intérêt du bambin, afin de ne pas entretenir les stéréotypes de genre qui influent sur les choix de métier. Selon elle, il faut en effet faire évoluer les jouets et leur packaging pour favoriser la mixité, notamment chez les ingénieurs.« Les jeux scientifiques, et ça doit être aussi attractif pour les filles que les pour les garçons », a estimé la secrétaire d'Etat à l'issue d'une rencontre à Bercy avec des professionnels de la filière et des associations de consommateurs. Et de regretter que toutes les images de petites filles « qui sont liées à des représentations d'ingénieurs, de chimistes, de scientifiques n'ont rien de naturel culturellement aujourd'hui. » Pourtant, en France, les fillettes ont globalement de meilleures notes dans les matières scientifiques que les garçons.

Une « grille de lecture des préjugés »

Pour faire évoluer une situation où les filles se dirigent peu vers les carrières scientifiques, alors qu'elles ont de meilleures notes dans ces matières au bac, « il faut que ce ne soit pas perçu comme quelque chose d'inadapté, d'inapproprié », a insisté la ministre. À cette fin, l'Union des annonceurs a travaillé à une « grille de lecture des préjugés », pour aider à une prise de conscience tandis que les fabricants peuvent agir sur le contenu des jouets, qui ont un taux de renouvellement très élevé de 40 % par an.

Par ailleurs « l'emballage est très genré par les couleurs ou la représentation » sur les boîtes et « vous avez une façon sur les emballages de donner envie aux petites filles d'aller à contresens » des clichés.

Enfin, des distributeurs vont accepter que des associations spécialisées examinent leurs catalogues qui vont bientôt être sous presse pour les fêtes de fin d'année, afin d'y dépister la présence d'éventuels préjugés de genre.

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/pour-plus-de-mixite-chez-les-ingenieurs-bercy-veut-en-finir-avec-les-stereotypes-de-genre-des-jouets-a754719e045495fe0a42ec2189c9

La secrétaire d'État à l'Économie Agnès Pannier-Runacher a annoncé lundi vouloir agir sur les jouets. Objectif : susciter davantage de vocations scientifiques chez les jeunes femmes.

Elle entend éliminer les stéréotypes de genre des jouets pour favoriser la mixité des ingénieurs et attirer davantage de femmes. 

Le petit garçon vers l'extérieur, la petite fille à la maison

Il y a "les jeux scientifiques, et ça doit être aussi attractif pour les filles que les pour les garçons", a déclaré la secrétaire d'Etat à l'issue d'une rencontre à Bercy avec des professionnel de la filière et des associations de consommateurs. Par ailleurs, toutes les images de petites filles "qui sont liées à des représentations d'ingénieurs, de chimistes, de scientifiques n'ont rien de naturel culturellement aujourd'hui", a-t-elle poursuivi. 

http://www.leparisien.fr/societe/sexisme-stop-aux-cliches-dans-les-rayons-jouets-30-11-2018-7958229.php

Après l’opération l’Egalité commence avec les jouets l’an dernier, l’association Jeu pour tous remonte au créneau en diffusant un nouveau kit pédagogique.
On peut être une petite fille et aimer le bricolage. Ou préférer la dînette quand on est un garçon… Une réalité pas si évidente lorsque l’on feuillette les catalogues de jouets qui inondent nos boîtes aux lettres.
Et si, en préparant leur lettre au Père Noël, les enfants en profitaient pour s’adresser aussi aux fabricants ? C’est ce que propose le Jeu pour tous afin de lutter contre les stéréotypes. L’an dernier, l’association avait déjà été à l’origine d’une opération intitulée l’Egalité commence avec les jouets.

Dans le rayon des jouets d’imitation, c’est chacun à sa place. Les établis et les perceuses sont immanquablement utilisés par des garçons, sur les emballages. Dans les catalogues, les jeux de marchande sont bien incarnés par les deux sexes. « Mais le petit garçon est toujours le client, tandis que la fille fait la caissière », souligne Cécile Marouzé.

Sans surprise, les poupées continuent de véhiculer les idées reçues. Cette année, les nouveaux métiers de Barbie sont au choix pâtissière, pédiatre, maîtresse d’école ou toiletteuse pour chiens. Et c’est encore pire avec les déguisements : « Les filles sont des princesses, il faut qu’elles soient belles et douces », épingle l’association.

« Il y a tout de même quelques avancées, nuance Cécile Marouzé. On a vu apparaître des superhéroïnes avec les Indestructibles et le retour de Wonder Woman, par exemple. D’autres phénomènes se sont au contraire renforcés. Tout ce qui est lié à la nursery est de plus en plus rose, par exemple. Et, d’une manière générale, les garçons sont présentés comme de plus en plus musclés. »

Même les coffrets créatifs ou de jeux n’échappent pas à la dictature du sexisme. « Les filles sont orientées vers la fabrication de parfums, de cosmétiques, à la rigueur de bonbons, tandis que chez les garçons, on développe l’esprit scientifique. »

Cette ancienne institutrice a mis au point, avec l’équipe du Jeu pour tous, un ensemble de documents pédagogiques permettant d’aborder ce sujet délicat avec les enfants à partir de 6 ans et jusqu’à la 6e.

Le kit est distribué gratuitement sur demande dans les écoles, les collèges, les ludothèques et les centres sociaux. « C’est une petite graine que l’on plante », souligne humblement la directrice. « Réfléchir aux stéréotypes filles garçons, c’est aussi faire un travail sur le respect de toutes les différences, de la couleur de peau aux coupes de cheveux. » 

 

On avait oublié les vêtements :

https://www.causeur.fr/ecologie-gauche-gilets-jaunes-dion-156511

Céline Dion is the new Che Guevara 

Récemment, la chanteuse québécoise, Céline Dion, est apparue dans une pub de la marque Nununu, une compagnie de vêtements pour enfants « non genrés ». Dans la vidéo, on peut voir la diva entrer sans autorisation dans une maternité où les lits sont séparés en fonction du sexe des enfants. Les lits roses pour les filles, et les lits bleus pour les garçons. Scandale ! La chanteuse utilise les pouvoirs du progrès (une poudre de perlimpinpin) pour faire apparaître ce qu’on appelait autrefois des vêtements unisexes. Sur l’un des chandails magico-progressistes : l’inscription « New Order ». La révolution pour enfants a été déclenchée. Le prix de ces vêtements ruinerait le budget d’une famille ordinaire, mais peu importe, ces caleçons et ces pulls sont révolutionnaires.