Nous voilà avec un article qui exprime parfaitement le féministe et son argumentaire nous ne sommes pas du tout surpris dans certaines entreprises qui avaient adopté des normes féministes (avant les textes) et qui en fond une "valeur" cette volonté de 50 % étaient déjà appliquées. Officiellement la femme moderne n'a pas besoin d'adaptation et d'aménagement spécifique tantôt on est identique des moments différents surtouts quand on veut appliquer ses normes bien entendu les quotas ne se pas baser sur le sexe il ne peut discriminer un homme ou un garçon de toute façon ces grâces aux féministes quelles nous libère il faut dire que dans les discriminations directes et indirectes la vision de la société féministe n'est pas citée. Un pas de plus dans féministe land France.

http://madame.lefigaro.fr/societe/parite-egalite-marlene-schiappa-veut-relever-a-50-les-quotas-de-femmes-dans-tous-les-domaines-020619-165396

La parité n’est toujours pas là. Alors, pour tenter de changer la donne, Marlène Schiappa a la solution : «relever à 50% les quotas de femmes existant dans tous les domaines». La secrétaire d’État chargée de l'égalité femmes-hommes a révélé son nouveau projet lors du Women’s Forum Americas, qui avait lieu à Mexico les 30 et 31 mai. «Il n’y a pas de raison de laisser des quotas à 30% ou 40% alors que nous représentons 52% de l’humanité. 50% est déjà un compromis», a rétorqué la ministre, alors que la question des quotas de femmes était au centre des débats.

Pour ce faire, Marlène Schiappa entend consulter le Haut-Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE). Une fois le principe validé, comme l’indique Challenges, un texte devrait faire évoluer la loi Copé-Zimmermann de janvier 2011, qui fixe à 40% la part des femmes dans les conseils d’administration des sociétés cotées. Puis, la loi Sauvadet de mars 2012, qui a étendu le système des quotas aux postes de la haute administration.

La secrétaire d’État a aussi tenu à rappeler que l'égalité entre les hommes et les femmes était la «grande cause nationale» du quinquennat d'Emmanuel Macron. Marlène Schiappa observe : «Aucun pays n'a atteint la parité et aucun d'entre eux n'y parviendra seul.» Dans ce contexte, la France, qui présidera fin août le G7, veut avoir un «impact féministe» sur ce sommet des dirigeants des sept pays les plus riches du monde.

Une simple remarque vous avez une répartition qui n'est pas encore féministe plus ou moins importante variable entre pays développer et pays en voie de dévelloppement c'est une étude qui oublie de nombreux paramètres et qui peut poser de nombreuses questions à la fois sur la politique du fonds monétaire international (qui applique des principes féministes de répartition sexuée) mais aussi sur les politiques des pays dévoloppés et la vision de la société féministe (scolaire,législatif, répartition sexué, mesures spécifiques,... ) une politique féministe à un coût et un impact (loin d'être positif) important sur de nombreuses décisions.

Qui plus est, faire de l’égalité femmes-hommes une réalité s’avère être une opportunité économique. C’est ce que note un rapport du Fonds monétaire international, publié en mars 2019. Il y est précisé que les inégalités entre les femmes et les hommes plombent l’économie. Les pertes estimées atteignent même jusqu’à 10% du PIB pour les pays développés et grimpent jusqu'à 30 % dans les pays en développement.