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Mixité parité et étudiants

Voici un texte qui représente l'idéologie actuelle féministe, discriminatoire et misandre. Nous rentrons encore dans l'objectif de parité bref tout au long de l'article nous nous apercevrons qu'égalité et mixité sont confondues et que les actions discriminant les garçons et hommes sont justifiés à cause de la culture, du poids de la construction de la société nous allons apportaient des commentaires à chaque paragraphe.

Parité dans les études : les bastions des garçons ne cèdent toujours pas

Dis-moi quel est ton sexe, je te dirai quelles études tu feras

Même dans l’orientation, les stéréotypes ont la vie dure ! Si les filles gagnent du terrain dans les spécialités du supérieur dites "masculines", elles restent souvent minoritaires dans les filières d’élite. Où se situent les derniers blocages ? Quelles filières ont le plus évolué côté mixité ? Comment vivent leurs études ceux qui tentent d’inverser la tendance ? Enquête.

Nous voyons ici le justificatif habituel et repris et qu'une filière est égalitaire si elle est constitué de 50 % d'un sexe

Parité dans les études : les bastions des garçons ne cèdent toujours pas

"Il existe des domaines assez masculins. L’industrie par exemple." Cette affirmation sonne comme une évidence pour Camilia, élève en seconde au lycée Jean-Moulin à Angers. Avec des copines, elle est venue participer début avril 2011 à la rencontre de l’association Elles bougent au siège de Total, à La Défense, à l’occasion de la Semaine de l’industrie. L’objectif : donner envie aux jeunes filles d’aller vers les métiers scientifiques à travers des entretiens avec des "marraines". Camilia, elle, est plutôt attirée par la pharmacie, un domaine qui concilie "social et santé" selon ses propres mots, mais elle écoute attentivement Isabelle Billat, ingénieur géologue, lui expliquer la variété des métiers d’ingénieurs et sa façon de vivre sa féminité dans un univers masculin.

 

Le terme "les bastions des garçons" il est intéressant de voir les mots employés sont souvent genré pour justifier les actions. On peut également regretter qu'une association comme Elles Bougent et Total (mais ce n'est pas les seules) qui réclament l'égalité (égalitarisme et représentation) marque une différence de genre dans le traitement des recrutements et campagnes de sensibilisation à notre connaissance il y a jamais existé d'action ou d'objectif de recrutement et de nomination de manifestation pour l'autre sexe dans la même entreprise. La proportion d'hommes dans une entreprise est souvent justifiée comme univers masculin on pourrait se poser des questions sur qui véhiculent des stéréotypes.... .

Deux extraits à connaitre :

"Les différences entre les genres en matière de réussite scolaire qui apparaissent le plus tôt sont les retards par rapport au niveau de la classe et les redoublements, et ils sont plus courants chez les garçons."

"Parmi les jeunes en rupture scolaire, on observe une proportion de garçons plus forte que celle des filles tandis que les filles sont plus nombreuses à obtenir un diplôme d.’enseignement secondaire supérieur. Les filles obtiennent généralement de meilleures notes et un taux de réussite plus élevé dans les diplômes de fin d.’études, ce qui facilite leur accès aux programmes universitaires de leur choix. Toutefois, parmi les groupes défavorisés, un faible taux de réussite est observé à la fois chez les filles et chez les garçons."

 

Seules les écoles de commerce et d’architecture sont paritaires

Cette rencontre en dit long sur les préjugés qui sont à l’œuvre dans l’orientation des filles et des garçons. Résultat : si l’enseignement supérieur dans son ensemble comporte 56 % de filles aujourd’hui, très peu de filières sont réellement "égalitaires". Les IUFM (instituts de formation des maîtres) comptent 72 % de filles, les écoles vétérinaires 71 %, les écoles de journalisme 67 %. À l’inverse, on dénombre 74 % de garçons dans les formations d’ingénieurs et 61 % dans les IUT (institut universitaire de technologie). Seules les écoles de commerce et les écoles d’architecture semblent réellement paritaires.

Nous voyons ici que la ligne de défense n'est pas la même 56 % (un écart de plus de 6%) de filles dans l'enseignement supérieur (dont les professeurs sont majoritairement des hommes) nus voyons ici que les stéréotypes féminins et de politique égalitarisme n'ont pas lieu nous pouvons commencer à considérer l'enseignement supérieur comme un bastion féminin pour aider les filles pour les mathématiques on a créé des associations des méthodes quand c'est pour les garçons dont les résultats ont baisser depuis les années 2000 c'est stéréotypes, discrimination peut-être que pour les questions d'égalité il est temps que les garçons et hommes s'y intéressent. Il est intéressant de noter que les personnes non sexistes ou ne souhaitant de différences de sexe imposent des différences de traitement (quota, dispositif contraignant à la mixité  dans les écoles) un exemple Le numérique tout ceci sans discrimination (http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/discrimination/25877 ) et préjugé. Des quotas pour le bac ?http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/resultats/bac/diplome/admis.html admis 43 % d'hommes et 57 % de femmes le poids des stéréotypes.... .

 

force des représentations

Mais alors, d’où vient cette faible mixité des différentes filières de l’enseignement supérieur ? Pour Claudine Hermann, première femme à avoir été nommée enseignante à l’École polytechnique en 1992 et aujourd’hui présidente honoraire de Femmes et sciences, "c’est la discipline qui détermine le pourcentage de filles et de garçons et non la manière de se former : école ou université". Dans les faits, on constate les mêmes pourcentages de filles et de garçons dans les écoles de commerce qu’en économie-gestion à l’université, dans les écoles d’ingénieurs qu’en fac de sciences. En jeu alors : la force des représentations. Aux garçons : la force, le sens pratique et l’aptitude en sciences. Aux filles : la préoccupation des autres et les qualités littéraires. "L’autosélection des jeunes se fait sur des représentations assez ancestrales, constate Christiane Fontanini, maître de conférences en sciences de l’éducation. Certaines idées sont aujourd’hui totalement injustifiées mais continuent à perdurer. Il y a moins de 10 % de filles qui se forment à devenir pilotes d’avion, par exemple. Pourtant, ce métier ne demande plus une force physique particulière."

Parler de force des représentations (faut oser) alors que beaucoup d'actions sont réservées pour mener des représentations paritaires et des objectifs de mixité en pourcentage il faut dire que nous voyons encore l'oeuvre de la construction féministe Femmes et science en fait c'est toujours le même procédé vous prenez un secteur d'activité métier, formation  et vous créez un réseau, association de femmes et des mots comme égalité, mixité leur sera abandonnée après vous avez des objectifs de mixité en fait des pourcentages et parité en tous genres et surtout une discrimination de genre dans chaque action le pour femme doit être présent. Nous remarquons que la justification est très raccourcie et stéréotypée un passage "En termes de contenu d.’examen, les garçons réussissent bien mieux que les filles dans les questionnaires à choix multiples pour toutes les disciplines, tandis que les filles ont des performances légèrement supérieures dans les évaluations portant sur le travail fait en cours et de type «rédaction» (Gipps et Murphy, 1994)" pour l'école polytechnique les barèmes sportifs ne sont pas les mêmes et oui on ne peut pas encore entièrement "gommer la culture" http://www.cepsi-sport.com/index.php?id=concours_polytechnique  pour en savoir plus consulter notre rubrique Education 

 

Le moment charnière de l’adolescence

Des représentations qui se construisent dès la petite enfance, avec les jouets qui sont offerts aux filles ou aux garçons, se prolongent avec les séries télés et leurs personnages emblématiques et prennent de l’importance pendant l’adolescence. "Les choix d’orientation interviennent entre 15 et 18 ans, à un moment de construction de l’identité où s’affirmer comme homme ou femme est primordial, souligne Claudine Hermann. Aller au-delà des idées reçues demande alors un effort beaucoup trop grand pour un grand nombre d’adolescents."
Malgré tout, des évolutions sont à noter depuis une trentaine d’années. Certaines filières masculines (médecine, écoles vétérinaires ou de la magistrature) ont été investies par les filles, au point qu’elles y soient devenues largement majoritaires. En revanche, aucune filière féminine n’est devenue masculine. On trouve très peu de garçons dans les écoles d’infirmières, de sages-femmes ou du secteur social. Des changements qui ont tendance à se stabiliser ces dernières années.

Sur les jouets  et une partie du paragraphe consulté notre rubrique Discrimination / Genre pour les séries télés on sait qu'une série comme femme de lois ou une femme d'honneur a des effets également sur les publics féminins maintenant dans les filières ou secteur "masculin" traditionnellement masculin et secteur récent ou la présence masculine et importante est-ce-que sans aménagement et quotas spécifique et avec les mêmes soutiens ou on demande autant à un homme qu'a une femme ou une fille et un a garçons nous aurons la même féminisation les mêmes pourcentages ?

Les filles face au plafond de verre

Qui sont les perdants de cette faible mixité ? Les filles ? Les garçons ? Les deux, en fait. Les filles tout d’abord : elles ont encore et toujours des difficultés à percer le plafond de verre. Les études qui offrent le plus de débouchés et où l’on perçoit les meilleurs salaires sont souvent masculines : informatique, finance… Même au sein des filières réputées féminines, les domaines les plus prestigieux restent l’apanage des garçons. En médecine par exemple, la chirurgie demeure un bastion de garçons. Même constat dans l’enseignement, où les postes de professeurs à l’université sont trustés par des hommes. Entreprises, établissements d’enseignement supérieur, associations développent des actions pour attirer les jeunes femmes vers des "métiers d’hommes". Des initiatives qui donnent des résultats à la marge. Les stéréotypes restent les plus forts. "Nous arrivons à toucher 3.000 ou 4.000 jeunes par an, mais une classe d’âge représente 800.000 jeunes, explique Claudine Hermann. Pour faire vraiment bouger les choses, il faudrait que l’égalité filles-garçons devienne une grande cause nationale."

Le plafond de verre contre le plancher de verre en fait on discrimine les hommes à l'aide de pouvoirs législatif et associatif  on demande les entreprises de signer les engagements en même temps c'est de la bonne pub moins de 10 20 30 40 50 % de femme c'est de la discrimination ont créé des actions spécifiques pour les filles et pour les garçons on parle de bastion et après on parle de stéréotype et discrimination. Quant à la dernière phrase ce n'est pas l'égalité qui est recherchée mais l'égalitarisme et la discrimination de la représentation. Plutôt que cette forme d'égalité choisissons plutôt celle de la sélection de l'égalité des droits et des soutiens cela permettrait de corriger beaucoup de choses. Un passage qui peut poser des questions :

"Tant les féministes que les non féministes considèrent l’enseignement depuis longtemps comme un «bon boulot pour la femme». Les féministes voient l’enseignement comme faisant partie intégrante du long combat des femmes pour accéder aux métiers et à la sphère publique, tandis que les non féministes le voient comme une extension des fonctions de maternage et de soin dans la famille. En attendant, l.’enseignement a généralement un faible statut dans la hiérarchie des métiers, peut-être en raison du fait qu.’il repose largement sur la main-d’oeuvre féminine. "

Les garçons délaissés

Mais les garçons aussi pâtissent de la situation. Aucun dispositif n’existe pour les attirer vers des filières réputées féminines. "L’économie domine notre société, souligne l’économiste Rachel Silvera. On veut attirer des filles dans les filières dites masculines, là où il y a pénurie de compétences, le BTP ou l’industrie par exemple. Il existe moins d’enjeux dans l’autre sens, aucune nécessité de rééquilibrer les genres dans les filières sociales, notamment. Si on veut vraiment l’égalité, il faut aussi se poser la question de la ‘masculinisation’ des filières ‘féminines’ et de la valorisation des professions auxquelles elles aboutissent."

En fait on veut inverser le masculin et féminin le fait que les hommes soient nombreux dans une filière ou formation et interprété comme dans de la discrimination il faut reconnaitre que si c'est un simple phénomène de pénurie de main-d'oeuvre et compétences les actions dépassent largement cette excuse on remarquera qu'égalité et encore employée ici pour parler de répartition pour en savoir plus les différents dispositifs féminins non discriminatoires vous pouvez consulter nos différentes rubriques et les recensements http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique89 et http://www.la-cause-des-hommes.com/spip.php?rubrique31 en matière de sexismes et de mixités des soutiens il y a beaucoup à faire... .

Les entreprises en quête d’équipes mixtes

Cet argument économique est également avancé par Philip Jordan, directeur "recrutement, carrières et diversité" du Groupe Total lors de la rencontre organisée par "Elles bougent" : "Recruter des jeunes femmes est un enjeu important dans la guerre des talents. Il va manquer de compétences techniques, d’ingénieurs notamment, dans les prochaines années. Or les meilleures équipes sont celles qui disposent de talents diversifiés." Claudine Hermann fait aussi ce constat : "Les entreprises se rendent compte que le client n’est pas qu’un homme et que les équipes doivent être mixtes pour représenter la diversité de la clientèle. En Allemagne, une société en a fait l’expérience lorsqu’elle a conçu un outil de reconnaissance vocale pour les portes de garage qui ne reconnaissaient pas les voix de femmes." Il ne reste plus qu’à convaincre les principaux intéressés.

Quand on fit des objectifs dans les écoles, recrutements, nominations, une politique des soutiens à seul sexe cela participe surement à une baisse de l'importance dans la guerre des talents.  Nous sommes bien ici dans la confusion entre mixité et égalité si un homme va dans une banque 56 % de son personnel et féminin cela peut lui poser des problèmes car il peut y avoir trop de conseillères. Est qu'une entreprise et obligé d'avoir 50 % de son personnel ou des fonctions dirigeantes femme ou 30 % de son recrutement  doit être féminin  pour ne pas oublier qu'il peut avoir des voix de femme

http://www.letudiant.fr/etudes/orientation/egalite-homme-femme-19113.html