Nous avons choisi quelques annonces qui ont été faites à l'occasion de cette journée nous pouvons simplement dire que c'est la continuité d'action qui ont commencé a s'accentuer depuis plus de 30 ans.

Pour commencer la communication gouvernemetal publié dans "rien ne change la preuve que si":

budget du gouvernement 2019 dédiée à l'égalité entre les femmes et les hommes et de 530 millions d'euros,

les ecoles primaire au lycée tous le monde est formé et sensiblisé sur les questions d'égalité,

dans le service universel une journée sur  quinze sera dédié à l'égalité entre les femmes et les hommes sans oublier la diplomatie féministe

Un exemple voici une mesure féministe qui fait partie de la diplomatie féministe et des fiertés des personnes qui veulent des mesures "non sexistes" que l'on peut retrouver dans le cadre des 8 mars :

Quota dans les CA imposée en 2011 copé zimmermann la norvége en 2003 allemagne 2015 italie 2011. Aujourd'hui 43.6 % de femmes dans les CA dans le SBF 120 mais elle ne sont que 17.9 dans les comités de direction contre 12 % en 2013.

 

 

C'est plus une différence entre diplôme d'ingénieur et diplôme universitaire qu'entre homme et femme, comme l'article le reconnaît presque le titre aurait du être  "même avec bac +5, les titulaires de diplômes universitaires accèdent moins facilement au statut de cadre"

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/meme-avec-un-bac-5-les-femmes-accedent-moins-facilement-au-statut-de-cadre-3e6

Même après de longues études, les femmes ont plus de mal que leurs homologues masculins à grimper dans la hiérarchie. Selon une enquête de l'Apec rendue publique mercredi 6 mars, deux ans après la fin de leurs études, les jeunes diplômées accèdent moins facilement au statut de cadre que leurs camarades hommes.

Menée en 2017 et 2018, l'étude porte sur les réponses de plus de 10.000 jeunes diplômés de niveau Bac+5 ou plus, âgés de 20 à 30 ans. Il en ressort que "dans l'ensemble, les jeunes diplômées de niveau Bac+5 et plus sont plus souvent touchées par la précarité que leurs homologues masculins, tant en ce qui concerne la nature de leur contrat de travail que le statut de cadre", souligne l'Apec.

 

Ainsi, 70% de ces jeunes femmes diplômées sont en CDI deux ans après la fin de leurs études, contre 83% pour les hommes, et elles sont 25% a être en CDD contre 14% pour les jeunes diplômés. Si la majorité des femmes interrogées ont le statut de cadre deux ans après l'obtention de leur diplôme, elles sont moins nombreuses que les hommes : 60% contre 81%.

NET ÉCART DE SALAIRE

Tout cela se ressent sur leur rémunération, avec un salaire brut annuel médian de 29.600 euros pour les femmes contre 33.500 euros pour les hommes, selon cette enquête. Et les écarts de salaires observés en début de carrière "augmentent avec l'âge", relève l'Apec, en citant comme freins dans la carrière des femmes le congé maternité ou le plafond de verre dans les entreprises.

 

L'Apec observe également une différence dans la nature du diplôme, à l'intérieur d'une même filière de formation : les femmes ont plus souvent un master universitaire, tandis que les hommes détiennent majoritairement un diplôme d'ingénieur. Cette différence implique "un différentiel de conditions d'emploi au détriment des femmes" qui s'avère "plus ou moins important selon la filière considérée, mais toujours présent".

 

 

 

Nous avons particuliérement aimé ce passage "Rappelant que la France est "championne du monde de l'égalité femmes-hommes" - si l'on en croit un récent classement de la Banque mondiale sur la manière dont les législations nationales garantissent l'égalité des sexes " un petit rappel les exemples des discriminations dites "positives" et mesures spécifique lié a un sexe sont nombreux un exemple d'article :  Contre les hommes

 

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/une-journee-des-femmes-pour-l-egalite-au-travail-et-contre-les-violences-conjugales-3c4fc

Des milliers de personnes - femmes et hommes - sont invitées à manifester et/ou à débrayer vendredi à partir de 15h40, heure théorique à partir de laquelle les femmes travaillent "gratuitement", si l'on considère qu'elles sont payées en moyenne 26% de moins que les hommes.

Environ 800 entreprises, sur les 1.400 concernées, l'ont fait, selon un pointage communiqué mardi par la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.

Ce nouveau thermomètre, accompagné de pénalités financières, déçoit toutefois de nombreux militants. Sept organisations syndicales ont interpellé mardi le gouvernement et le patronat, estimant que, par son mode de calcul, cette note "masque une partie des écarts" de rémunérations.

Selon un récent sondage Kantar réalisé pour la "Fondation des femmes", 33% des Français considèrent que s'attaquer aux inégalités salariales est prioritaire pour faire progresser l'égalité des sexes.

Rappelant que la France est "championne du monde de l'égalité femmes-hommes" - si l'on en croit un récent classement de la Banque mondiale sur la manière dont les législations nationales garantissent l'égalité des sexes 

Le président Emmanuel Macron remettra vendredi un premier "Prix Simone Veil de la République française", qu'il a créé pour récompenser "des actions partout dans le monde en faveur des droits des femmes", a annoncé Marlène Schiappa.

Quant à l'association "Osez le féminisme!", elle lance vendredi une campagne de mobilisation contre le sexisme dans les soins de santé. Selon ces militantes, les douleurs des femmes sont trop souvent minimisées, et leurs symptômes pas assez pris au sérieux par les médecins.

Le président Emmanuel Macron remettra vendredi un premier "Prix Simone Veil de la République française", qu'il a créé pour récompenser "des actions partout dans le monde en faveur des droits des femmes", a annoncé Marlène Schiappa.

 

 

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/journee-des-femmes-macron-remettra-vendredi-un-premier-prix-simone-veil-d8d295

Le président Emmanuel Macron remettra ce vendredi 8 mars un premier "Prix Simone Veil de la République française", qu'il a créé pour récompenser "des actions partout dans le monde en faveur des droits des femmes", a annoncé Marlène Schiappa mardi.

Ce prix "sera remis pour la première fois cette année", à l'Élysée à l'occasion de la 42e journée internationale des droits des femmes, a précisé devant les députés la secrétaire d'État chargée de l'égalité femmes-hommes. Il sera doté de 100.000 euros, a précisé à l'AFP l'entourage de Mme Schiappa.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la "diplomatie féministe" de la France, "contre les violences sexistes et sexuelles, l'excision, les mariages forcés, pour l'accès à l'éducation des filles et des garçons, pour l'émancipation économique des femmes", a encore souligné Mme Schiappa devant l'Assemblée nationale.

Dans ce cadre, le gouvernement a réservé une enveloppe de 120 millions d'euros, portée par l'Agence française de développement, pour "soutenir les actions des ONG féministes et pour l'égalité femmes-hommes, partout dans le monde et particulièrement dans les pays du Sud", selon Mme Schiappa.

 

 

 

Nous avons déjà à plusieurs reprises évoqué les mesures spécifiques et les inconvénients de cette construction sociétale et notion de parité nous constatons surtout le comportement et la doctrine féministe dans cet article inutile de vous dire que nous sommes contre ses méthodes. Nous regrettons également que cette méthode amène les femmes politique de droite comme de gauche a adopté la même penser idéologique et de réfléchir à sa commnauté sexuée. Ceci dit on ne peut leur en vouloir la presse féminine de Causette en passant par Madame Figaro ont tous le même féministe.

   

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/parite-a-l-assemblee-encore-des-marges-de-progres-selon-un-premier-bilan-9b6c7

La parité a encore des "marges de progrès" à l'Assemblée nationale, qui compte un record de 39% de femmes, notamment en ce qui concerne les postes à responsabilité

Rappelant qu'Emmanuel Macron s'était prononcé pendant la campagne contre "une parité de façade", l'élue des Bouches-du-Rhône a expliqué à l'AFP avoir été missionnée par le groupe majoritaire, qui compte 49% de femmes, pour mettre en place un observatoire de la parité.

Avant la journée des droits des femmes vendredi, elle a présenté ses premiers résultats devant les "marcheurs", soulignant comme "premier satisfecit" que son groupe "porte la féminisation de l'hémicycle".

Cependant, sur les 28 postes institutionnels du Palais Bourbon (vice-présidents, rapporteurs du budget, présidents de groupe et de commission...), le ratio est de 29% de femmes et 71% d'hommes, tous groupes confondus.

Le bureau du groupe LREM (trésoriers, whips, porte-parole...) est "très largement paritaire". Mais d'autres données sur les "marcheurs" peuvent être interprétées de façon "stéréotypée": il y a par exemple davantage d'hommes parmi les rapporteurs de textes (62%) ou à la présidence de groupes d'amitié (61%), postes "à rayonnement politique plus important".

L'écart n'est "pas énorme, mais ça nous donne une marge de progrès", selon Mme Pitollat.

La répartition LREM dans les différentes commissions montre aussi "un peu d'effet de stéréotypes", avec plus de femmes dans les commissions des Affaires sociales (64%) et culturelles (61%) et davantage d'hommes aux Finances (63%) et à la Défense (66%).

La députée prévoit des bilans annuels, et aussi un future analyse des prises de parole.

Plusieurs membres de la délégation aux droits des femmes, dont la présidente Marie-Pierre Rixain (LREM), ont présenté le même jour une proposition de loi "visant à renforcer la parité à l'échelle locale".

Le texte, signé par les deux tiers des membres de la délégation, soit 21 députés issus de trois groupes politiques (LREM, MoDem et socialiste), se veut "pragmatique", selon Mme Rixain. Il prévoit notamment de "généraliser le scrutin de liste paritaire dans toutes les communes, y compris pour les communes de moins de 1.000 habitants", qui représentent "74% des communes de France".

Ces dispositions pourraient être reprises dans le cadre d'une proposition de loi sur l'organisation des communes nouvelles, ont expliqué les membres de la délégation lors d'une conférence de presse.

 

 

Vous retrouverez ici les annonces d'une entreprise dans le cadre de cette journée  :

https://www.zonebourse.com/LVMH-MOET-HENNESSY-VUITTO-4669/actualite/13-mars-2019-EllesVMH-Accelerator-Day-le-groupe-LVMH-dresse-le-bilan-des-initiatives-menees-en-fav-28160310/

Dans la lignée de la Journée Internationale des Droits des Femmes, les membres du Comité Exécutif et une centaine de collaborateurs du Groupe se sont réunis ce mercredi 13 mars 2019 au siège de LVMH, à Paris. Cette journée, articulée autour de conférences, de panels, de rencontres et de coachings, a été l'occasion de réaffirmer notre ambition d'atteindre la parité dans ses postes clés d'ici 2020 en accélérant le développement professionnel des femmes au sein du Groupe.

En 2007, le programme EllesVMH a été initié avec l'objectif de favoriser la diversité dans toutes les fonctions et à tous les niveaux hiérarchiques du Groupe et de ses Maisons. Depuis son lancement, le programme a obtenu d'excellents résultats puisque LVMH compte aujourd'hui 42 % de femmes (23 % en 2007) à des postes de top management. Une progression encourageante au regard de l'engagement du Groupe à atteindre la parité à ces postes stratégiques d'ici 2020.

 

 

 

 

Un commentaire le féministe et bien présent dans l'Education national à leur décharge nous pouvons dire que ces mesures sont notamment approuvés par l'Assemblée Nationale et divers organismes officiels. Cependant nous pouvont dire que des enfants de 8-14 ans comme de nombreux adultes ne comprennent pas les différences salariales ne sont ni au courant du mode de calcul ni des méthodes pour les résoudre le féministe voudrait nous faire dire qu'un homme qui toucherait 1521€ brut une femme toucherait moins les 27 % (suivant les jours les heures et les émissions) 1111 € c'est beaucoup plus complexe. Ce qui nous fait passer à la deuxième remarque pour résoudre ces écarts de salaire et comme le féministe c'est la société, les filières, les métiers, et fonctions doivent être composé à 50 % de femme tous une série de dispositifs sexués, sexiste et d'argumentaire stéréotypé sont mis en oeuvre des quotas et de cette recherche de parité dans les écoles, universités filière profesionnelle, métier, entreprise, fédération sportive sans oublier des mesures spécifiques dans certains domaines des prix et subvention réservée aux femmes et filles dans un domaine proffessionnel, des formations gratuites réservées aux femmes car l'homme est trop nombreux, des critères physiques et/ou des adaptations dont l'unique but est de féminiser. On conditionne les filles le féministe les conditionne et adopte des mesures comme celle évoqué pécédemment et elles disent rien a part que ce n'est pas suffisant. Quant à  "Ce n’est plus possible d’accepter ce sexisme" nous sommes d'accord avec ce passage mais certainement pas sur les méthodes et la doctrine.

"Filles comme garçons, ils ne comprennent pas les différences salariales, les métiers genrés"   

"Dans la cour de mon collège, on le voit bien que les filles sont davantage mises à part"

« On conditionne les filles à l’idée qu’elles ne pourront pas faire certaines choses alors qu’elles sont aussi capables. Ce n’est plus possible d’accepter ce sexisme »

 

http://www.leparisien.fr/societe/grand-debat-egalite-des-sexes-environnement-qu-en-pensent-les-enfants-09-04-2019-8049798.php

les 8-14 ans 

Au cours de l’atelier sur la solidarité, les échanges ont vite basculé sur les inégalités femmes - hommes. Un constat qui fait dire au secrétaire d’État que ces jeunes seront « la première génération où le basculement culturel aura opéré » sur ces sujets. « Filles comme garçons, ils ne comprennent pas les différences salariales, les métiers genrés, le fait que les filles se sentent obligées de faire attention à leur tenue… », rapporte le membre du gouvernement.

« Dans la cour de mon collège, on le voit bien que les filles sont davantage mises à part. Elles sont aussi plus moquées sur les réseaux sociaux », relève à ce propos Abigaël, 14 ans, élève de 4e à Marly (Nord). « On conditionne les filles à l’idée qu’elles ne pourront pas faire certaines choses alors qu’elles sont aussi capables. Ce n’est plus possible d’accepter ce sexisme », tranche Maelys de Châteaudun (Eure-et-Loir) qui, à 17 ans, a bénéficié d’une dérogation pour participer au Grand débat.

 

 

Quelques événements à connaitre au niveau mondial :

Du 11 au 22 mars 2019, au siège de l’ONU à New York, se tient la session annuelle de la Commission de la condition de la femme (CSW)

L’enseignement de l’orientation sexuelle
La compréhension de l’identité de genre pour les enfants

Il y a quelques jours, le gouvernement socialiste espagnol a retiré la déclaration d’utilité publique de HazteOir.org.

"Cette révocation a une motivation exclusivement politique. HO a été très offensif contre l’introduction de l’idéologie du genre en Espagne et donc contre le gouvernement socialiste (En Espagne, de nouvelles élections législatives sont prévues pour avril).

En 2017, HO a fait une campagne (avec un bus qui a silloné toute l'Espagne) contre l'idéologie du genre."

 

Une petite actualité boursière en lien avec cette journée :

https://www.zonebourse.com/bourse/fonds/societe_gestion/Mirova-41612269/Mirova_lance_un_fonds_d_investissement_dedie_a_l_egalite_entre_les_femmes_et_les_hommes--28346223

"Mirova annonce le lancement d’un nouveau fonds actions thématique dédié à l’investissement dans des entreprises favorisant l’égalité entre les femmes et les hommes et la représentation des femmes au sein des instances dirigeantes des entreprises : Mirova Women Leaders Equity Fund."

"Pour compléter le dispositif, Mirova a mis en place un partenariat unique avec le Comité ONU Femmes France(1). La société s’engage à reverser une partie des frais de gestion du fonds au Comité ONU Femmes France, pour financer les actions d’ONU Femmes en faveur de l’autonomisation des femmes. Ainsi, Mirova contribuera pleinement à la réalisation de l’Objectif de Développement Durable n°5 défini par l’ONU : parvenir à l’égalité des sexes et rendre autonomes toutes les femmes et les filles.

« Ce partenariat ambitieux et innovant avec Mirova constitue un levier efficace en faveur de l’amélioration de la condition des femmes à travers le monde » déclare Pascale Bracq, Vice-Présidente du Comité ONU Femmes France. La finance, sur tous ses champs d’intervention et d’influence, a un rôle primordial à jouer pour soutenir l’autonomisation des femmes et l’égalité des chances. »

Natixis vient également de signer la charte d’ONU Femmes, les WEP (Women’s Empowerment Principles)(2), marque de l’engagement de toute l’entreprise en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes."

La diversité et l’égalité entre les hommes et les femmes s’inscrivent parfaitement dans ce cadre. Il s’agit d’une priorité sociale et économique. », assure Philippe Zaouati, Directeur Général de Mirova.