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Les femmes en politiques avant les premières lois sur la parité au début des années 2000 et bien après celle-ci celle de 2014 ou encore des mesures prises dans le rapport pour modifier la constitution elle réclame toujours leur représentation sexuée, leur discrimination dites positive, leur politique communautaire, les aménagements, lois et programmes "pour femmes" et après elle trouve encore le moyen de dénoncer "une faille démocratique majeure" ce sont quand même les premières à imposer des normes de réussite parité, des quotas dans tous les domaines , des formations pour les femmes, des actions et des lois toujours plus sexistes et discriminatoires envers les hommes sans oublier des hommes politiques soumis à leur volonté et le problème c'est l'homme, elles ne doivent pas avoir de mémoire ou d'idées sur ce qu'elles font et pourquoi elle milite à partir d'un moment il faut bien admettre que ce surement pas l'homme le problème.

Femmes en politique: une tribune pour dénoncer "une faille démocratique majeure"

AFP11/04/2018 à 14:28

Une quinzaine de femmes politiques de gauche hors PS dénoncent "la faille démocratique majeure" dans l'espace politique, où "la place des femmes reste subalterne", dans une tribune publiée mercredi dans Libération.

Dans cette tribune titrée "Politique: où sont les femmes?", les signataires, parmi lesquelles Clémentine Autain (LFI), Emmanuelle Becker (PCF), Esther Benbassa (EELV) ou Laura Slimani (Génération.s), déplorent qu'"un plafond de verre persiste pour les femmes dans cet univers traditionnellement masculin".

"Plusieurs jeunes femmes en politique qui avaient réussi à être visibles, à compter, dans un monde qui ne leur rend pas la tâche facile, ont récemment jeté l'éponge. Nathalie Kosciusko-Morizet, Najat Vallaud-Belkacem et Cécile Duflot ont choisi de quitter la politique institutionnelle. Comment ne pas y voir un symptôme, un signal d'alerte?", s'interrogent-elles.

"Devant ces départs féminins en chaîne, de Sandrine Rousseau à Fleur Pellerin, comment ne pas voir la difficulté, la fatigue, la dureté d'être une femme dans un univers façonné par et pour les hommes?".

"On ne se débarrasse pas comme ça de mécanismes sexistes si profondément ancrés. Les résistances sont tenaces. Le monde politique a ses codes, ses formes, ses rythmes, ses habitudes qui empêchent, en ce début de XXIe siècle, un exercice à égalité des responsabilités politiques", affirment-elles également.

En politique, les femmes "doutent, travaillent deux fois plus, hésitent à s'exposer. L'ambition leur est souvent reprochée quand elle paraît naturelle pour les hommes. Les commentaires sur leur tenue, leur posture sont souvent sexistes, blessants, usants. Se pose inlassablement la question de leur style. Faut-il épouser les normes masculines ou rester féminine dans un monde qui valorise le masculin? Comment inventer un nouveau genre? Pas simple".


 

Le parti socialiste genevois n'applique plus la parité :

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/04/07/le-parti-socialiste-ne-pratique-pas-la-parite-291304.html#more

"Bien qu’à un certain niveau de responsabilités politiques ou dans le privé, peu importe que l’on soit homme ou femme, c’est l’intérêt général qui prévaut. Or aujourd’hui les féministes parlent en terme d’intérêt communautariste. Elles ne représentent pas l’intérêt général."

"Alors par exemple que le PS neuchâtelois réclame cette parité, Genève n’en parle plus et ne la pratique pas. Le terme subsiste dans les statuts du parti en vue de répartitions internes des femmes et des hommes, mais le programme de législature ne l’exige pas.

Le mot qui le remplace, pour faire bonne figure, est celui de « quotas » (soit une partie ou un pourcentage, alors que la parité signifie l’égalité numérique), en page 25 du programme du parti:

« Établir des quotas de femmes sur les listes électorales ». "

 

http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/04/17/elections-vers-une-liste-100-hommes-en-2023-291527.html#more

"Tiens, encore une femme politique qui veut dicter aux hommes comment ils doivent s’impliquer."

"Au fait, qu’est-ce qui motive ce congé pour les pères? Un possible rapprochement avec leurs enfants? Non: c’est pour les retirer du travail à plein temps et les mettre davantage sur du temps partiel. Ainsi les femmes pourront travailler plus et gagner plus.

Prétendue inégalité salariale, supposée discrimination au temps de travail: c’est encore dans le ton global de la mouvance victimaire-autoritaire de la deuxième moitié du siècle passé. Mouvance qui a moulé le féminisme et d’autres idéologies nées vers le milieu de ce siècle."

 

Le premier ministre canadien et un exemple d'un homme complètement soumis aux féministes notons que la parité et généralement marqué dans la défense des droits de la femme sa fait partie de l'enveloppe des méthodes droits de la femme qui comprend parité, quota sexué dans tous les domaines,  programmes réservés aux filles et femmes dans les domaines, "théorie du genre",... . Encore deux remarques une remarque sur les garçons  (L'éducation des garçons dans le monde) de leur part il faut mieux de toute façon il seront inclus dans droits des femmes la rééducation  la seconde en situation de crise, on va diminuer l'impact de la crise il contribue a la propagation de stéréotype étonant... . 

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/trudeau-veut-que-le-g7-agisse-pour-les-femmes-9b1020cb29efdd18d1ab5432c6b948ea

le Premier ministre canadien a souhaité mobiliser ses partenaires autour de l'égalité des genres, en créant le Conseil consultatif sur l'égalité des sexes du G7.

"La parité, la défense des droits de la femme, l'inclusion des minorités LGBT et autres dans une société n'est pas juste un argument moral, c'est un argument profondément économique", a dit le Premier ministre canadien à l'AFP.

Le dirigeant libéral veut encourager ses alliés à s'attaquer à cette question dans les pays en voie de développement où "beaucoup d'investissements" sont requis et, en particulier, "dans les endroits de crise, dans les camps de réfugiés, (où) l'éducation pour les filles est quasiment absente".

"Si, en tant que pays du G7, on peut investir pour l'éducation des femmes et des filles en situation de crise, on va diminuer l'impact de la crise, (...) et on s'assure de ne pas perdre une génération" et de préserver la capacité de "ces femmes et ces filles de contribuer à un monde meilleur", a plaidé Justin Trudeau.

 

Quand vous vous voyez ses series d'actions spécifiques vous ne pouvez plus dire que vous y etes pour rien :

Ministre chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes

Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes est créé par décret du président de la République François Hollande, du Premier ministre Jean-Marc Ayrault le 3 janvier 2013. Il a été inscrit dans la loi relative à l’égalité et à la citoyenneté du 27 janvier 2017 qui lui confie une nouvelle mission : un rapport annuel sur l’état du sexisme en France.

Selon le décret de création du Haut Conseil, ce dernier « a pour mission d’assurer la concertation avec la société civile et d’animer le débat public sur les grandes orientations de la politique des droits des femmes et de l’égalité  ». Il contribue à l’évaluation des politiques publiques qui concernent l’égalité entre les femmes et les hommes en assurant l’évaluation des études d’impact des lois, en recueillant et diffusant les analyses liées à l’égalité et en formulant des recommandations, des avis au Premier ministre. Le Haut Conseil peut être saisi de toute question par le.la Premièr.e ministre ou la.la ministre chargé.e des droits des femmes. Il peut se saisir de toute question de nature à contribuer aux missions qui lui sont confiées.

Le Conseil Supérieur de l’Égalité Professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) : Créé par la loi « Roudy » de 1983, le Conseil Supérieur de l’Égalité Professionnelle entre les femmes et les hommes (CSEP) est une instance consultative qui participe à la définition et à la mise en œuvre de la politique menée en matière d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Depuis avril 2013, ses domaines de compétence ont été élargis et une fonction de Secrétaire Général, chargé d’animer ses travaux a été créée.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2012/08/24/le-gouvernement-veut-encourager-l-egalite-femmes-hommes_1750964_823448.html
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https://www.lemonde.fr/politique/article/2012/08/24/le-gouvernement-veut-encourager-l-egalite-femmes-hommes_1750964_823448.html

La première circulaire demande aux ministres des études d'impact en termes d'égalité entre les hommes et les femmes, préalablement à tout texte législatif. La seconde enjoint les ministres de veiller au respect de la loi sur la parité dans les nominations de la haute fonction publique et de participer au plan d'action interministériel sur les droits des femmes.

ETUDE D'IMPACT EN TERMES D'ÉGALITÉ FEMMES-HOMMES

Chaque texte législatif devra désormais prendre en compte son "impact en termes d'égalité entre les femmes et les hommes" précise la première circulaire. Le premier ministre y propose une grille d'analyse préalable à la rédaction de chaque texte :

Les ministres devront "s'assurer que les dispositions envisagées [dans le texte législatif] ne portent pas atteinte aux droits des femmes, ni n'aggravent les inégalités entre les femmes et les hommes" ;

Ils devront également "s'interroger sur l'opportunité de prévoir des dispositions spécifiques de nature à mieux garantir les droits des femmes ou à réduire des inégalités existantes entre les femmes et les hommes".

Les études d'impact ainsi réalisées devront être publiées sur le site du ministère des droits des femmes.

ÉGALITÉ DEVANT L'EMPLOI

La seconde circulaire insiste sur l'égalité dans les nominations aux postes de la haute fonction publique, en rappelant la nécessité d'appliquer la loi du 12 mars 2012 sur la réduction de la précarité dans la fonction publique. Cette loi avait été présentée par François Sauvadet, ministre de la fonction publique de François Fillon. Elle instaure des quotas dans les nominations, avec un objectif à atteindre de 40 % de chaque sexe en 2018. Le premier ministre demande que cet objectif soit atteint avant 2017, date de fin du quinquennat.

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