Voici un article qui nous fait "plaisir" dans le sens où c'est une norme féministe qui suscite une émotion car elle s'applique aux femmes alors que c'est leur façon de penser depuis plus de 30 ans qui méritent d'être revu car quand c'est les hommes c'est bien et un progrès mais quand c'est les femmes c'est plus nuancer. Nous sommes contre cette idéologie et cette loi féministe c'est d'ailleurs par la seule et pas uniquement les lois. Toutefois nous sommes contre un recours hiérarchique et pour le maintien de l'amende quand c'est un homme c'est normal quand c'est une femme cela doit l'être aussi nous sommes contre la majorité des dispositifs féministes et nous réclamons l'abrogation législative de ces dispositifs ainsi que les mesures et dispositifs spécifiques qui contribuent aux maintiens et la sanctuarisation de ses méthodes et idéologie.

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/ain-une-collectivite-avec-trop-de-femmes-a-la-direction-devra-payer-90-000-euros-d-amende-49c78ef053e5d8bc6c3c3575b088eb53

Depuis 2013, la loi dite Sauvadet impose une montée en puissance de la parité dans les nominations de l'encadrement de la fonction publique : la proportion d'hommes et de femmes doit être au maximum de 60/40... Dans les deux sens.

Nous sommes contre la méthode des quotas que ce soit pour les recrutements, scolaire, formation, nomination, représentation sexuée ainsi que les mesures spécifiques pour obtenir ses quotas. C'est une discrimination directe contre les hommes et les garçons et cela est propice au discours misandre et stéréotype féministe.

Il a reçu un "coup de semonce", alors qu'il s'attendait à un "coup de chapeau". Le président de la collectivité et maire de Bourg-en-Bresse, le socialiste Jean-François Debat s'insurge jeudi 29 août contre l'amende de 90.000 euros infligée à sa collectivité. La raison de la sanction : avoir trop de femmes dans l'équipe de direction.

C'est le résultat des politiques égalité nommer une femme car femme c'est bien nommer un homme car homme attention au nombre, au poste, structure hiérarchique. Il est normal qu'une entreprise se voie qualifiée de sexiste, plafond de verre, proposé et augmenté les sanctions financières car trop d'hommes, masculinité toxique, séminaire sur la diversité, label égalité mais pas le publique en plus au niveau politique. En plus avoir trop de femmes peut nuire à l'équipe de direction car une direction composée de mauvais pourcentage est moins efficace aussi bien au niveau des prises de décisions qu'au niveau économique d'après de nombreuses femmes féministes et chaque étude surtout vers le 8 mars.

"Je trouve cocasse d'être sanctionné pour ce motif. Et non seulement j'assume mais je revendique d'avoir autant de femmes à des équipes de direction", explique à l'AFP le président de la collectivité et maire de Bourg-en-Bresse, le socialiste Jean-François Debat.

C'est très sexiste comme façon de voir une direction avec beaucoup d'hommes c'est le patriarcat ils soumettent les femmes à leurs volontés ils oublient la moitié de l'humanité pas les femmes et oui pour les hommes on peut reprocher pas pour les femmes encore des stéréotypes féministes.

Dans son courrier, que l'AFP a pu consulter, la préfecture de l'Ain lui indique que dans les cinq dernières nominations sur les postes de direction de cette nouvelle collectivité créée en 2017 et qui regroupe 74 communes, quatre femmes ont été nommées pour un seul homme. Depuis 2013, la loi dite Sauvadet impose une montée en puissance de la parité dans les nominations de l'encadrement de la fonction publique. Et depuis 2017, il faut respecter la proportion de 60/40 d'hommes-femmes. Une proportion qui est valable également dans l'autre sens: c'est-à-dire qu'il ne faut pas embaucher plus de 60% de femmes à des postes d'encadrement.

La loi Sauvadet fait partie d'une série de lois et de dispositif que l'on pourrait qualifier du pack égalité féministe (que nous proposons de revoir Législatif) c'est des lois sexistes et discriminatoires mais elle ne le sont pas pour elles car c'est l'homme qui faut rééduquer en gros la discriminer c'est la femme le discriminant c'est homme ça fait plus de 30 ans que c'est comme ça mais quand le social et l'égalité c'est le féministe qui sent occupe ce n'est pas étonnant que ce soit défectueux.

Désormais, Jean-François Debat entend faire "un recours hiérarchique" auprès du gouvernement pour l'interpeller sur cette sanction estimant qu'il aurait mérité "un coup de chapeau" et non "un coup de semonce" pour cette situation.

Il doit avoir sa sanction financière et elle ne doivent pas être promues dans les conseils d'administration (on ne peut nommer un homme sa candidature ne serait pas valide avec les quotas)  les différents postes, les recrutements des entreprises, les écoles toute notre société devient réglementé par ces normes "normales" si les féministe et les femmes et nos responsables politiques l'ont trouvé normales pour les hommes qui est au moins le "courage" de trouvée ce comcept normale pour les femmes (sans compter la sanctuarisation) en plus pour les féministes et le HCEFH c'est une mesure qui n'est pas sexiste et discriminatoire ou discriminatoire mais positive donc n'est pas contée comme discrimination

SEULEMENT 30% DE FEMMES AU NIVEAU NATIONAL

Car au niveau national, dans les équipes dirigeantes de la fonction publique territoriale, on est encore loin de la parité avec 30% de femmes en 2017 et 34% de primo-nommées, soit 6 points en dessous du seuil de 40%, selon le dernier bilan de ce "dispositif des nominations équilibrées".

Il faut respecter la mixité féministe ont fait des rapports et mesures spécifiques que l'on qualifie d'égalité réelle quand c'est les femmes on s'indigne quand c'est les hommes c'est bien c'est normal on y gagne tous a adopté ces méthodes. Juste une remarque pour arriver au 30 % de 2017 il a déjà fallu mettre en place des dispositifs pour faire respecter le seuil de 40 % mais là il n'y aura pas d'indignation... .

Dans ce rapport, il apparaît également que la ville de Lille avait elle aussi été condamnée à la même somme en 2017 pour avoir trop de femmes à sa tête. Les 16 autres collectivités mises à l'amende l'étaient pour avoir au contraire nommé trop d'hommes.

L'idéologie féministe avec ses packs égalité nommé trop d'hommes c'est sanctionable et sexiste nommé trop de femmes c'est positifs en plus en politique c'est bastion masculin et fonction supérieure... 

 

Que ce soit sur les plateaux télévisés ou dans les articles de presse toujours la même idéologie un exemple :

http://www.leparisien.fr/societe/elu-condamne-pour-avoir-nomme-trop-de-femmes-faut-il-changer-la-loi-30-08-2019-8142204.php

"Mais pourquoi avoir fixé une limite supérieure à 60 %, quel que soit le sexe ? « L'idée était d'arriver à la parité, pas de donner la primauté à la femme ou l'homme. L'objectif doit être graduel, et je ne voulais pas dire à l'époque aux hommes Circulez, y'a rien à voir, et les exclure alors qu'ils avaient fait toute leur carrière dans l'administration », défend aujourd'hui François Sauvadet."

"Mais on est encore bien loin de l'objectif de 40 %. Ne faudrait-il pas, pour y parvenir plus vite, supprimer par exemple les amendes si des agglomérations nomment trop de femmes, et les maintenir en cas d'un recrutement trop massif d'hommes? Ce n'est pas l'avis de l'ancien ministre de la Fonction publique. « Je suis très attaché à cette règle des 60/40 %. Il faut à la fois se rapprocher de la parité et veiller à ne pas atteindre de surféminisation dans certains métiers, ce qui ne serait pas sain non plus », estime François Sauvadet. « On ne s'interroge jamais sur la féminisation pour des métiers moins rémunérés, comme les infirmières », réplique Céline Piques, porte-parole d'Osez le féminisme."

"L'association appelle les parlementaires à supprimer cette amende pour les recrutements de femmes, estimant que cela n'irait pas contre le principe constitutionnel d'« égalité devant la loi ». « Pour arriver à une moyenne globale de parité, il faut bien nommer beaucoup de femmes à certains endroits », argue la militante."

"Marlène Schiappa, a présenté cette semaine son projet de loi pour « l'émancipation économique des femmes ». Son entourage se contente aujourd'hui de nous rappeler « son intention de vouloir travailler sur une évolution des quotas pour les rendre plus efficaces »."

 

A lire également

https://www.contrepoints.org/2019/09/02/352689-embaucher-trop-de-femmes-amende

"Victime collatérale de toute cette affaire, le « choc de simplification » législatif et réglementaire dont les gouvernements successifs nous promettent le glorieux avènement tout en pondant au kilomètre de nouvelles obligations en forme d’usines à gaz, comme n’ont certainement pas manqué de s’en rendre compte les quelque 6000 entreprises ayant entre 250 et 1000 salariés1 qui devaient rendre leur « index d’égalité salariale femmes-hommes » avant le 1er septembre 2019, c’est-à-dire hier."

"On retrouve cette idée que si l’égalité est réalisée dans la loi, elle ne l’est pas assez dans la vie réelle. Selon les évaluations du gouvernement, les hommes perçoivent en moyenne des revenus 25 % plus élevés sur l’ensemble de leur carrière et 9 % à travail égal. Il convient donc d’obtenir l’égalité réelle.

J’ai déjà eu l’occasion de développer ici ou , ou encore dans cet article consacré à la folle idée de rendre le congé paternité obligatoire, que les écarts résiduels entre les salaires ou le niveau de carrière des hommes et des femmes ne résultaient pas d’une quelconque volonté machiste d’écarter les femmes mais de leurs propres choix dans l’existence, choix essentiellement liés au fait que l’idée de concilier carrière et famille est plus présente chez elles.

Mais peu importe. Pour le gouvernement, l’égalité H/F n’a pas à tenir compte des situations particulières et des préférences personnelles ; c’est un chiffre, un index composite pondéré complexe compris entre 0 et 100 qu’il faut calculer au millimètre à partir de cinq critères (quatre pour les entreprises ayant 50 à 250 salariés).

Rien ne doit dépasser nulle part sous peine de sanction. En l’occurrence, une entreprise qui obtiendrait moins de 75 points sur 100 à l’issue de tous ses calculs et qui ne parviendrait pas à les atteindre dans les trois ans se verrait appliquer une pénalité égale au maximum à 1 % de son chiffre d’affaires."

"Et c’est là que l’administration, admettant implicitement que ses calculs à la louche sont complètement idiots et s’avèrent parfaitement incapables de déterminer des écarts de rémunération « à poste équivalent » pertinents, nous sort de son chapeau deux « seuils de pertinence » (de 2 et 5 % selon la classification par poste retenues par l’entreprise) à déduire de l’écart de rémunération trouvé (sans passer en dessous de 0) afin de donner un peu plus de finesse aux résultats.

Mais même ainsi, avertit le Medef à plusieurs reprises dans son document, invalidant du même coup tout le processus :

« La méthode ne permettant pas de distinguer les écarts justifiables des non justifiables, il sera important de vérifier à l’aide de mailles plus fines ses résultats pour comprendre au mieux la note de son index et justifier le cas échéant son résultat. »

Le syndicat patronal double cette recommandation d’un autre petit conseil judicieux en des termes dont on pourra admirer, comme ci-dessus d’ailleurs, la parfaite diplomatie :

« Il est important d’anticiper en amont du calcul de l’index la charge de travail nécessaire pour calculer les éléments de rémunération. »"

"C’est le prix d’une parité et d’une égalité purement arithmétiques. Pour la croissance, pour la prospérité, pour la liberté, pour l’innovation, pour l’attractivité et pour la division du taux de chômage par deux, on repassera."