ONU femme et l'université

Deux articles suite aux discours de l'actrice Emma Watson suite à la publication du bilan d’une campagne intitulée « Impact 10x10x10 »

http://www.elle.fr/Societe/News/Emma-Watson-son-discours-enthousiaste-pour-plus-d-egalite-dans-les-facs-3304522#

A l’occasion du deuxième anniversaire de la campagne HeForShe, le mouvement de l’ONU Femmes dont elle est l’ambassadrice

« L’expérience universitaire doit montrer aux femmes qu’elles ont une valeur intellectuelle. Elles doivent sortir de l’université persuadées qu’elles ont les mêmes capacités que les hommes, et elles doivent se battre pour cela », s’est-elle exclamée, forcément très inspirante. (Si elles ne le savent pas depuis une dizaine d'années avec les moyens et l'argent dépensé dans les différents programmes féminins c'est sur ses actions qui faudrait avoir une réflexion)

Un an après le début de projet, Sciences Po à Paris a ainsi pris trois engagements, rappelés dans un communiqué ce jeudi matin : « favoriser un meilleur partage des responsabilités professionnelles et familiales pour permettre aux femmes de s’investir dans leur carrière », « parvenir à la mixité dans tous les postes à responsabilité avec un objectif d’au moins 40 % de femmes parmi les décideurs académiques et administratifs de Sciences Po » et « sensibiliser les étudiants tout au long de leur cursus à travers un parcours spécifique (enseignements sur le genre et l’égalité, travail mené avec les associations sur la parité, etc) ».

 

http://etudiant.lefigaro.fr/international/actu/detail/article/avec-l-onu-femmes-emma-watson-s-engage-pour-l-egalite-des-genres-sur-les-campus-21507/

Un rapport qui vient conclure la première année de la campagne «Impact 10x10x10», lancée en 2015 et visant à impliquer dix chefs d’État, dix chefs d’entreprise et dix présidents d’universités dans l’égalité des sexes. Les dix universités concernées sont réparties à travers le monde: Witwatersrand (Afrique du Sud), Hong Kong, Nagoya (Japon), Oxford, Leicester (Royaume-Uni), Sao Paulo (Brésil), Georgetown, Stony Brook (Etats-Unis), Waterloo (Canada) et Sciences Po (France).

 

«Avec plus de la moitié de la population mondiale âgée de moins de trente ans et les taux de jeunes diplômés en constante augmentation, les universités ont une opportunité sans précédent de faire la différence», souligne la rapport de l’ONU Femmes. «C’est parce que l’université est une période de la vie très formatrice pour tellement de gens que nous en avons fait un des trois volets de HeForShe», a de son côté insisté l’ancienne Hermione de Harry Potter.

 

Le rapport dresse un état des lieux de l’égalité des genres dans les dix universités sélectionnées. Du côté de Sciences Po, si les étudiantes sont majoritaires (60%), seuls 35% des enseignants et même 14% des professeurs titulaires sont des femmes. Quant aux postes de direction, ils sont occupés à 65% par des hommes, 35% par des femmes - un taux que l’Institut d’études politiques s’est engagé à porter à 40% d’ici 2020. L’école publiera un bilan annuel des ses efforts en la matière.

 

«Le fait que notre plan d’action sur l’égalité des genres soit soutenu par HeForShe rend plus facile la promotion de ce message dans toutes les sphères décisionnelles, et donc la mise en oeuvre plus rapide de nos projets. Cette mobilisation nous aide à maintenir l’allure ambitieuse que nous nous sommes fixés», conclut Frédéric Mion, directeur de l’école et «champion» français de la campagne «Impact 10x10x10» - aux côtés notamment des présidents finlandais, indonésien et roumain ou encore des PDG d’AccorHotels, Barclays et Unilever.

 

 

Quelques réactions suite à cet événement la première étant que les normes féministes sont s'impose elles établissent les normes égalité qui doivent être adoptées par le plus grand nombre tout autre système est inégale. Ensuite au niveau des universités dans de nombreux pays la part de femme est très majoritaire (elles réussissent mieux à l'école). Quand la part des femmes et majoritaires généralement ça se reporte sur les filières où elles sont minoritaires et oui elles réfléchissent pour augmenter la part des femmes par pour rendre plus neutre dans le sens où peu importe le sexe majoritaire du moment qu'il y a une neutralité des actions, moyens dans les métiers, fonction mais malheureusement ce n'est pas ainsi le nombre d'hommes généralement en pourcentage peut-être la cible d'attaque normes masculines, machiste, zone de confort pas le pourcentage de femme ou là on emploie différents termes pour justifier l'action égalité, normes de mixité, sans discrimination, ségrégation,... .

Dans les universités comme dans l'éducation en général (établissement, manuel, programme,... ) vont  être et sont déjà la cible de normes égalité prenons ici le cas de Sciences Po pourcentage d'élevè majoritairement féminins 60 % aucun commentaire c'est normal pourcentage féminin élevé la parité ou critère de mixité 50 % ou 40 % 30% moins ? Nous le verrons bien en si le pourcentage dépasse les 60 on pourra noter le contraste avec les écoles d'ingénieurs les commentaires et actions ne sont pas les mêmes suivants le sexe majoritaire faut dire après il y a métier inférieur/supérieur et métier masculin c'est à combattre c'est un peu variable

Ensuite on constate que si les étudiants sont majoritairement des femmes et les enseignants et dirigeants de l'école des hommes sa n'empêche pas aux étudiantes d'appendre les cours et de postuler a l'école. Le corps d'encadrement a-t-il adopté des normes plus féminines en tout cas ne respectant pas les critères il faut augmenter le pourcentage de femme normalement les termes employés sont normes masculine, ségrégation horizontale, visibilité de la femme, code masculin,... .Ce qui est intéressant encore ici c'est que féminin féministe il n'y en aurait pas c'est neutre... .

Les postes de direction, il fallait les oublier ils sont occupés à 65% par des hommes, 35% par des femmes l'ennemi c'est le masculin la part des femmes peut augmenter (en 2020 40 %) normalement là c'est représente la société, on peut dire également qu'il y une différence entre les sexes car avec les femmes les capacités pour les prises de bonne décision sont augmentées enfin tout le discours habituel de discrimination sexuée positive non c'est vrai ce n'est pas de la discrimination attention à la sensibilisation "sensibiliser les étudiants tout au long de leur cursus à travers un parcours spécifique (enseignements sur le genre et l’égalité, travail mené avec les associations sur la parité, etc" et oui on doit sensibiliser tout jour sur les mêmes méthodes les normes féministes la parité c'est l'égalité, des actions pour les femmes. Pour reprendre une phrase "de même, tout ce qui était considéré comme masculin et qui était autrefois la référence est maintenant considérées presque comme une « maladie » quand le féminin autrefois dénigré apparaît comme l’idéal à suivre." On n'arrive pas à concilier les deux justement c'est toute la problématique.

Ils me semblent que l'actrice avait répondu que le féministe n'haïssait pas les hommes. En fait ce n'est pas haïr c'est discriminé les hommes et garçons car homme ou masculin. Elles ne prennent jamais en compte le masculin elle réclame aucune différence sauf qu'il faut mener des actions pour femmes au niveau scolaire comme professionnel (livre, représentation, association, réseaux, critères mixité,...)

Deux graphiques sur les Etats-Unis du social pour hommes devient nécessaire au niveau de l'ONU comme au niveau des partis et des politiques, il ne faudrait pas rester sur un parti pris et une vision des années 70 :

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