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On le devient

Des réactions suite à cet article : http://madame.lefigaro.fr/societe/comment-lidentite-masculine-et-ses-stereotypes-ont-evolue-depuis-200-ans-051015-98747

"Car les hommes ne naissent pas hommes, ils le deviennent" Adepte de la théorie du genre

"Même s’ils s’interrogent sur eux-mêmes, les hommes parlent peu de leurs stéréotypes. Seulement une poignée d'hommes, qui se disent féministes, récusent à haute voix les traits de la domination masculine"

Ne pas être stéréotypés c'est être féministe c'est incroyable de le penser, dans le mot féministe  femme sachant que les féministes sont des femmes en grande majorité  accorde-t-elle une place à des mesures neutres ou à des stéréotypes plus féminins notons également que la plupart des organisations gouvernementales pratiquent une distinction de genre rien que dans le non, proposer la parité dans les moyens elles ne l'accepteront jamais ou alors il faut que les critères correspondent aux ambitions féministes.

On critique quand il y a de la domination masculine (mot souvent repris par le féministe) trop d'hommes jamais ou rarement quand elle est féminine peut-être un stéréotype.

"On remet difficilement ces clichés en question car le masculin fait figure d’universel, son identité semble naturelle. Grammaticalement déjà, on utilise le masculin pour définir l’humanité toute entière. La construction de la masculinité a transformé la culture en nature" Remarquable la théorie du genre et féministe victimaire dans la même phrase.

"Les séries d’épreuves par lesquelles ils doivent prouver leur courage, défendre leur honneur sont très intériorisées et difficilement détectables. " C'est plus des forces ou des qualités d'ailleurs elles pourraient être copiées

"J’ai mis du temps à déceler le « test de la plaisanterie » comme je l’appelle. Les garçons s’envoient des blagues très blessantes auxquelles il faut répondre avec humour, sans avoir l’air ni atteint ni vulnérable. Ils se moquent des uns des autres pour s’endurcir. Le tempérament masculin se doit d'être impassible : l’homme est supposé être fort et ne pas pleurer." 

C'est peut-être plus blessant pour une femme que pour un homme.

Pleurer et souvent rattacher aux femmes mais un homme comme une femme quand il ou elle pleure exprime une émotion, leur chagrin.

"Dans la société de l'époque, la force est valorisée car elle est un atout professionnel. Le développement des machines et la révolution industrielle n’ont pas encore eu lieu, il faut dominer physiquement l’autre pour être un homme. Il y a également beaucoup de solidarité entre hommes : si un ami se bagarre, il faut y aller avec lui. Il faut avoir du courage, rester imperturbable et défendre son honneur." 

Il n'y avait pas que la force de valoriser les structures, l'organisation était différente,  les entreprises appliquaient peu de social,... . Un métier qui réclamé de la force physique était très masculin,  (dans les entreprises il y avait  peu de moyen de levage pas de code du travail avec des charges maximum à lever)   pour les postes à responsabilités quand vous avez une grande proportion d'hommes en bas de l'échelle ils étaient majoritaires en haut,. Le courage et l'honneur ne sont pas des défauts.

Le mot domination est souvent prononcé par le féministe pour représenter ou catégoriser l'homme c'est généralement : domination masculine, poste ou fonction supérieure par contre féminin soumission poste et fonction inférieur

"L’éducation devient fondamentale pour les garçons, elle les civilise"

"La France est le premier pays à avoir donné le droit de vote aux hommes. Ils se perçoivent alors comme des citoyens dévoués à leur patrie à travers le service militaire. Ils investissent dans une masculinité politique, qui veut que le conflit se règle dans le bulletin de vote. " Il paraît que l'homme a toujours eu le droit de vote même dans une monarchie.

"Cette mixité a des effets décisifs sur la construction de l’identité masculine : les garçons découvrent que les filles sont aussi bonnes qu’eux, qu'ils ne sont plus les seuls à réussir. Peu à peu, les femmes deviennent majoritaires dans les bastions masculins comme l’école de la magistrature et l’école de médecine. Cette concurrence est difficile à vivre pour les hommes. La distinction va se faire par la réussite scolaire dans des disciplines genrées : on se concentre sur les maths, réputées masculines, pour entrer dans les filières prestigieuses."

C'est un peu simpliste ou féministe comme remarque les garçons et filles ont des capacités d'apprentissage qui leur sont propres d'ailleurs le féministe défend un apprentissage qui tien en compte de l'apprentissage des filles.

Le terme "bastion masculin"  se concentre sur les maths (assez souvent "les filières techniques et scientifique" c'est une condamnation plus globale du féministe), fait parti du langage féministe si je me permets la concurrence c'est plus le féministe ou certaine femme qui la redoute  on adapte pour avoir "de bonnes" répartition (des exigences trop dures à atteindre ? ) voir toutes les lois, rapport ne prenant pas en compte les hommes qui obligent à des mesures contraignantes pour les règles de mixité voir La discrimination contre les hommes ou Extrait de documents de l'OCDE   voire notre catégorie  Education

" Les filles ont également accédé à des domaines masculins... Mais est-ce pour autant une féminisation ? C’est plutôt la société qui exige des hommes et des femmes des compétences intellectuelles toujours accrues, en lieu et place de la force physique."  Un extrait Les féministes ont-elles fini d'achever ce qui reste des hommes ? :

"J’ai remarqué qu’on encourage les femmes à se regrouper pour pouvoir se soutenir, on crée des associations, des prix littéraires où des femmes récompensent des femmes, des courses de femmes, même, comme le rallye des gazelles... Mais s’il me venait l’envie de créer un club réservé, par exemple, aux hommes entrepreneurs, où des hommes récompenseraient d’autres hommes, ce serait mal vu. Il y a deux poids, deux mesures. Quand les femmes créent des lobbys pour elles, c'est progressiste et moderne. Quand un homme fait de même, ça se termine devant le tribunal de grande instance de Paris pour acte discriminatoire. Sous couvert d’égalité homme-femme, le but du jeu, c’est quand même, finalement, d’anéantir, d’effacer l’identité masculine."

 Suède : discrimination positive "injuste"  de notre rubrique Discrimination / Genre 

"L’habitus masculin est désormais lié à l’argent et au pouvoir. Il faut exceller dans ces domaines où les filles ne font pas encore trop de concurrence. On se réfère à la masculinité transnationale du business : on veut être le trader, le PDG du CAC 40. La brutalité du management libéral rappelle les vieilles valeurs masculines. On observe un recyclage à la sauce économique de tout un vocabulaire et de concepts dits masculins qui appartiennent au champ lexical du combat  : on veut être un « killer », il faut «les tuer », nous sommes «en guerre sur nos marchés »…"

Le mangement libéral et les patrons hommes  majoritaires  (qui appliquent leur domination) deux systèmes à combattre,  pourtant le libéralisme c'est la concurrence qui a vraiment peur ?

La brutalité du management ne convient pas aux femmes mais peut être plus aux homme il y a codes, valeurs, langages plus féminin masculin que féminin.

Les effectifs des banques sont à 56,5 % féminin  2012 et le poste de cadre dont l'objectif était de 40 % à bien était dépassé : On compte ainsi 44,6 % de femmes parmi les cadres en 2012, soit + 0,7 point en un an, à périmètre constant. L'objectif (mesure pour réseau ,tutorat,... ) d'un taux de 40 % de femmes parmi les cadres pour 2010, fixé dans l'accord professionnel sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est donc largement atteint.  (source http://www.fbf.fr/fr/secteur-bancaire-francais/metiers-de-la-banque/chiffres-cles/les-effectifs-et-les-metiers-bancaires )   déjà entre 1999 et 2007 cette analyse montrait que la part des femmes augmentait dans les métiers plus qualifiés  http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1376 

 

"Les normes physiques par exemple ont toujours été très contraignantes pour les garçons : il faut être grand, pas trop musclé, avec de la barbe. Aujourd’hui, la contrainte de réussite est également très forte en raison du chômage. Avec l’effondrement du secteur industriel, il est de plus en plus difficile de s’insérer pour les jeunes garçons des classes populaires. Si on rate ses études, on ne peut plus aller travailler à l’usine et avoir une image professionnelle valorisante. Les garçons retrouvent alors des attitudes agressives pour se différencier, quand ils ne deviennent pas profondément déprimés. Par comparaison, une femme au chômage va être plus facilement tolérée"

Une femme au chômage n'est pas facilement tolérée d'ailleur voire le cas du CV anonyme des chéque emploi formation exclusivement réservé aux femmes quand on prone la mixité c'est que pour certain domaine ? Cela fait onze trimestre consécutif que les hommes sont plus au chômage que les femmes  http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/tristesse-bref-chomage-suicide-hausse-chez-hommes-56647/

 

"Il y a certes tout un tas de marqueurs du genre qui se sont effacés, ne serait-ce que dans les apparences physiques. Les filles portent des pantalons, par exemple. Mais nous sommes encore loin du modèle unisexe. Les garçons se définissent encore comme des garçons et les filles comme des filles."  Dans les années 70 le fait de porter la mini jupe s'était considérée comme la liberté sexuelle de la femme aujourd'hui bientôt c'est la faute des hommes (une volonté de soumission de la femme) les femmes cela fait plusieurs années qu'elles portent le pantalon et réduire les différences ou inégalité entre homme et femme à une affaire de vêtement (mensuration pas identique), de longueur de cheveux ou autres c'est un discours qu'ont commence à connaître. On veut une  rééducation des hommes u en même temps on intervient dans le contrôle de la population pour appliquer des règles de répartition ou d'égalitarisme  ( entre filières, métiers, formations, ... ) et ensuite on proclame défendre la liberté.