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Le numérique

Un article sur le numérique qui va subir les dispositifs féministes dits "égalité" et apporter son lot de discrimination masculine premier objectif 30 % de femme, toujours sans discrimination enfin il paraît :

La rupture numérique laisse les femmes au bord du chemin

Par AFP , publié le

Paris - "Où sont les femmes'" Au vu de la très faible présence féminine au sein de l'écosystème numérique français, le célèbre tube de 1977 de Patrick Juvet peut continuer d'inonder les ondes. Car la révolution numérique semble reproduire les inégalités hommes/femmes, alors qu'elle se targue de "disrupter" les consciences.

Selon une étude du cabinet EY réalisée conjointement avec l'association France Digitale, 91% des start-ups hexagonales sont dirigées par des hommes. 

Pis, dans la première promotion des 48 start-ups ayant bénéficié du pass "French Tech" -- dispositif visant notamment à faciliter l'accès aux financements -- seulement une était dirigée par une femme, Céline Lazorthes, la fondatrice du service de cagnottes en ligne Leetchi. 

"Clairement c'est préoccupant, on a l'impression d'être dans une phase de régression", s'inquiète la secrétaire d'Etat au numérique Axelle Lemaire, dans un entretien accordé à l'AFP. 

"Aujourd'hui en 2015, le constat que je suis obligée de faire, c'est que dans le secteur économique le plus porteur, celui qui créé des emplois et de la valeur, les femmes sont quasiment absentes", déplore-t-elle. 

Alors qu'il se targue de renverser l'ordre établi de la "vieille économie" et ses principes jugés archaïques, et est porté par une nouvelle génération n'ayant pas forcément hérité des préjugés du passé, le numérique reproduit paradoxalement les mêmes schémas d'exclusion, voire même les approfondit. 

"J'ai parfois le sentiment que l'avènement du numérique emmène une nouvelle forme d'exclusion", s'alarme Mme Lemaire. "C'est inquiétant car pourtant la création d'entreprises, c'est une manière de faire voler en éclat le plafond de verre", ajoute-t-elle. 

Dès la formation, les femmes sont sous représentées, très peu nombreuses étant celles sortant des écoles d'ingénieur, amenant les rares à s'y aventurer à être parfois préemptées par des entreprises soucieuses de diversité. 

"La proportion de femmes dans certaines écoles d'ingénieurs ne dépasse pas les 5 à 10%, ça n'incite pas forcément les femmes à y aller. Pourtant, il y a un gros besoin de féminisation du secteur", estime pour sa part Erwan Kezzar, cofondateur de l'école de programmation informatique Simplon.co. 

Véronique di Benedetto, présidente de la commission femmes du numérique pour l'organisation Syntec Numérique le reconnaît aisément, le problème se situe au niveau du vivier: "il y a autant de jeunes hommes que de jeunes femmes en terminale S (scientifique) mais beaucoup d'entre elles s'orientent vers des métiers qu'elles voient avec du contact humain, médecine, le commerce, il y a un stéréotype qui s'est créé sur le numérique que l'on voit comme un métier d'homme et solitaire". 

 Manque de modèles - 
 

"Dès le plus jeune âge on montre, volontairement ou non, que c'est un univers d'hommes avant tout, ce qui joue sur la conscience et l'inconscient des enfants", pense Charlotte de Broglie, organisatrice de l'Ada week, semaine consacrée à la question. 

L'événement, qui s'est déroulé du 12 au 17 octobre à Paris, a regroupé 500 femmes qui "étaient confrontées à la problématique et (avaient) la volonté de tenter de la résoudre". 

Parmi les femmes ayant choisi la voie du numérique, la question ne se pose pas en ces termes. Si barrières il y a, les femmes "se les mettent toutes seules", estime Diane, 25 ans, développeuse de programme chez Criteo. 

"L'informatique ou les nouvelles technologies, ça s'apprend de la même manière pour un homme ou une femme, ce n'est pas inné", rappelle la jeune femme. 

Pour Arbia Smiti, fondatrice de "Carnet de mode", plateforme de distribution pour les jeunes créateurs, le manque d'héroïnes ou de modèles de réussite auxquels s'identifier reste préjudiciable

"Si vous demandez à tous les entrepreneurs hommes qui les ont inspiré, ils vont vous répondre Steve Jobs ou Elon Musk", explique-t-elle.  

"Mais pour les femmes, il y en a très peu malheureusement, à part peut-être Sheryl Sandberg...et elle n'est pas entrepreneuse", explique la jeune dirigeante trentenaire et ingénieure de formation, en référence à la numéro 2 de Facebook devenue égérie de la lutte pour la promotion des femmes dans le numérique grâce au succès de son livre "En avant toutes", paru en 2013 et vendu à des centaines de milliers d'exemplaires. 

Mais toutes le disent, il n'est pas question pour elles d'être mises en avant parce qu'elles sont des femmes. Si elles veulent être reconnues, c'est uniquement pour leurs compétences professionnelles. 

Si la prise de conscience est là, les solutions commencent à apparaître, mais pourraient prendre du temps. L'école Simplon.co a tenté de mettre en place une promotion de femmes pour sa prochaine session, de novembre, et d'autres écoles tentent d'attirer des jeunes femmes. 

Dans le cadre de la création de la Grande école du numérique lancée en septembre, qui permettra notamment à des jeunes sans diplôme ou à la recherche d'un emploi de se former aux nouvelles technologies, le gouvernement a de son côté fixé "un objectif de 30% de recrutement de jeunes femmes parmi les apprenants", indique Mme Lemaire

http://lexpansion.lexpress.fr/actualites/1/actualite-economique/la-rupture-numerique-laisse-les-femmes-au-bord-du-chemin_1731067.html

 

Des prises de postions intéressantes :

"Car la révolution numérique semble reproduire les inégalités hommes/femmes" Il y une inégalité dans la représentation 91 % de patrons homme c'est inégalitaire voire sexiste

"Le secteur économique le plus porteur, celui qui créé des emplois et de la valeur, les femmes sont quasiment absentes" c'est la faute à stérétype, sexiste au moins d'intérêt pour ce domaine, on pourra également noter que beaucoups de patrons homme mais ils savent crééer de l'emploi contrairement à certain discours.

 "c'est une manière de faire voler en éclat le plafond de verre" plafond de verre contre plancher de verre.

"s'y aventurer à être parfois préemptées par des entreprises soucieuses de diversité" c'est pas la faute aux hommes

"La proportion de femmes dans certaines écoles d'ingénieurs ne dépasse pas les 5 à 10%, ça n'incite pas forcément les femmes à y aller. Pourtant, il y a un gros besoin de féminisation du secteur"  Il faut minimun 40 %  sinon c'est code masculin, stéréotype en gros c'est mise en place de réseau et le discours très à la mode On le devient il y bien une volontée de féminisation.

 "d'entre elles s'orientent vers des métiers qu'elles voient avec du contact humain, médecine, le commerce, il y a un stéréotype qui s'est créé sur le numérique que l'on voit comme un métier d'homme et solitaire".  Ah la notion de stéréotype et métier d'homme noton la se n'est pas force c'est le côté solitaire.

"Dès le plus jeune âge on montre, volontairement ou non, que c'est un univers d'hommes avant tout, ce qui joue sur la conscience et l'inconscient des enfants" le choix des jouets et de l'éducation c'est la mode du féministe.

"Si barrières il y a, les femmes "se les mettent toutes seules", estime Diane, 25 ans" au moins c'est dit.

"les jeunes créateurs, le manque d'héroïnes ou de modèles de réussite auxquels s'identifier reste préjudiciable" il y a le choix de héros toutefois il existe de nombreux parcours d'orientation professionnelle réservée aux femmes et la mise en place de tutorat leur  plus réservées.

"il n'est pas question pour elles d'être mises en avant parce qu'elles sont des femmes. Si elles veulent être reconnues, c'est uniquement pour leurs compétences professionnelles."  cependant toujours la même méthode "les solutions commencent à apparaître " on les connait "une promotion de femmes pour sa prochaine session" , "d'autres écoles tentent d'attirer des jeunes femmes"  "un objectif de 30% de recrutement de jeunes femmes parmi les apprenants"  premier palier 30 % ensuite 40 % sans oublier sexisme, stéréotype, label "égalité" pour appuyer les demandes féministes.

 

Les méthodes mises en oeuvre et il en reste encore ce n'est que le début :

http://madame.lefigaro.fr/business/numerique-comment-inciter-les-filles-a-travailler-260117-129384

Plusieurs dizaines de jeunes filles fourmillent et cherchent leur groupe. «Les rouges vont à la table ronde et les bleues au speed meeting», guide une femme sur l’estrade avec un énorme micro siglé. Pas de temps à perdre, lycéennes et étudiantes ont rendez-vous avec leur avenir. Elles sont venues rencontrer des femmes ingénieures dans les métiers du numérique. 

Une action sexiste et discriminante de plus, ne concerne que les filles car l'homme et trop nombreux  en plus il faut remplir le quota 30 % de femme pour un beau tableau féministe aucune discrimination c'est bien ça ? Il faut dire que le ministère "du droit des femmes" comme le Haut Conseil à "l'égalité" ne vont pas condamner ce genre d'action. il faut dire que les normes égalité comme les dispositifs sont à dominance féminine / féministe.. .

 

Cette journée est organisée par l'association Elles Bougent qui lutte pour féminiser les équipes scientifiques des entreprises. Lors de son lancement, en 2005, la présidente Marie-Sophie Pawlak a fait le constat suivant : «La parité existe dans les classes de terminales scientifiques, or, l'année suivante, il y a quatre fois moins de filles qui se dirigent vers les filières scientifiques et technologiques. Pourquoi ?» Stéréotypes, peur et surtout méconnaissance des métiers... Beaucoup de raisons expliquent cette déperdition. Son association s'emploie à déconstruire l'image cadenassée de certains métiers à dominance masculine.

Une association féministe pure et dure ce qui faut c'est féminiser la discrimination masculine sa n'existe pas en plus pas la parité (catastrophe) dans le secteur d'activité c'est la domination masculine et les stéréotypes par contre les moyens mis en oeuvre ne sont pas stéréotypés et sexistes aucun critère de sexe quand il faut féminiser tous les moyens sont bons pourquoi il n'y a pas les mêmes actions pour les garçons dans le même secteur d'activité quand on veut une égalité professionelle et éducative peut-être la répartition sexuée il faut dire que maintenant tout marche aux quotas de femmes.

 

En ce début d'année 2017, son fer de lance est le numérique, plus particulièrement ses métiers, à travers cet événement qui réunit près de 1000 jeunes filles dans tout la France. L'association en organise 200 chaque année. L'objectif est de «faire rentrer l'entreprise au lycée et montrer la réalité des métiers«, fait valoir Marie-Sophie Pawlak. Et de remplir le réservoir des écoles d'ingénieurs avec les filles «qui en ont la capacité en cassant les stéréotypes». Pour y parvenir, elle fait témoigner «des femmes en poste, de tous âges, de la jeune diplômée, pour plus d'identification, à la dirigeante. 

C'est une action qui oublie que des garçons peuvent être intéressés par ces filières (numériques, technique, scientifique,...) la recherche de talents ne se limite pas aux sexes, ils  ne choisissent  en termes féministes subissent  (le féministe) des discriminations de sexe (trop nombreux, quota,...) la méconnaissance des métiers.  Les stéréotypes et le sexisme féministe et de certaines femmes existent ont voit ici une action sexuée réservée aux filles (c'est peut-être la boîte de l'usine à fabriquer les féministes) on ne fait pas la même action pour les garçons car les discriminer sont les femmes, les dominants sont les hommes donc tous les moyens sont réservés aux filles en sanctuarisant les postes (parité, objectif de recrutement féminin, formation féminine, scolarité féminine, nomination féminine,...) et après aucune différence égalité malheureusement on a une fois de plus une égalité de féministe et de la discrimination masculine.