8 mars 2024

Une liste de mesures prises dans le cadre du 8 mars 2024. C'est l'égalitarisme sexué, la représentation sexuée leur mesure n'est pas fondée sur le genre c'est nouveau et ne discrimine pas les hommes c'est une justice sociale c'est plus  une idéologie féministe totalitaire complètement fan de l'égalitarisme sexué dite positive près à tout pour arriver à ses fins tout les ans faura des mesures spécifiques sans cela  leur modèle mentale et vision de leur construction sociétale s'effondera.

 

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/les-femmes-ne-jouissent-que-de-77-des-droits-reconnus-aux-hommes-2913afc5be75254246f30c3448511a44

L'indice mesurant l'évolution des réformes en faveur d'une plus grande égalité juridique n'a progressé que de 0,5 point, selon un rapport de la Banque mondiale jeudi 2 mars. Il s'établit à 77,1 points. "Cela signifie que les femmes ne jouissent en moyenne qu'à peine 77% des droits juridiques reconnus aux hommes", explique l'institution, dans son rapport "Les femmes, l'entreprise et le droit" pour 2022.

Concrètement, 34 réformes ont été menées l'année écoulée dans 18 pays , ce qui en fait le plus faible total depuis le début du siècle. Au rythme actuel des réformes, une jeune femme entrant aujourd'hui dans la vie active n'atteindra pas l'égalité juridique lors de son départ à la retraite dans la plupart des pays. Le rapport pointe un risque d'entrave de "la croissance économique à un moment critique pour l'économie mondiale". "Le fait qu'une grande partie du monde n'accorde pas aux femmes les mêmes droits qu'aux hommes constitue non seulement une injustice à l'égard de celles-ci, mais aussi un obstacle dans la capacité de ces pays à promouvoir un développement vert, résilient et inclusif", estime le chef économiste de la Banque mondiale Indermit Gill.

L'institution estime en effet qu'une égalité juridique permettrait d'augmenter le Produit intérieur brut (PIB) par habitant à long terme de près de 20% en moyenne. Les gains économiques mondiaux sont estimés entre 5.000 et 6.000 milliards de dollars (4.720 à 5.665 milliards d'euros) , si les femmes pouvaient créer et développer de nouvelles entreprises aussi facilement que les hommes.

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Voire le graphique conseil d'administration, cadre, directions, personnel

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À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, des députés de la Nupes ont présenté mercredi une proposition de loi pour revaloriser les "professions féminisées" comme celles de caissière ou d'aide-soignante. Il s'agit notamment de mieux prendre en compte leur pénibilité. Les élus LFI, socialistes, communistes et écologistes n'ont pas précisé à ce stade de calendrier pour un éventuel examen de leur texte, mais ont invité le gouvernement à s'en saisir.

Entourée d'une dizaine de collègues lors d'un point presse à l'Assemblée, l'Insoumise Sarah Legrain a estimé que les "professions féminisées" restent un "angle mort de la législation" et que leurs "salaires, qualification et pénibilité sont systématiquement sous-évalués".

Elle se réfère au Québec où, dès 1996, "une loi a été promulguée pour comparer les emplois à prédominance féminine et prédominance masculine, afin d'objectiver les biais de genre qu'il y a dans la prise en compte des qualifications et des risques".

La proposition de loi de la gauche prévoit notamment l'ouverture au moins une fois tous les quatre ans de négociations salariales dans les branches et les entreprises afin de revaloriser les emplois occupés majoritairement par des femmes, grâce à une méthode "d'équivalence des différents emplois" , tenant compte du diplôme, de l'expérience et de la pénibilité.

Dans la fonction publique, la coalition de gauche réclame un plan d'action sur le sujet et l'extension de la liste des métiers classés dans la catégorie "active" en matière de pénibilité, celle des emplois qui présentent "un risque particulier ou des fatigues exceptionnelles" , en y incluant par exemple les puéricultrices et les aides à domicile.

Selon les derniers chiffres disponibles, les femmes représentent près de deux tiers des 5,7 millions d'agents publics en France mais n'occupent que 43% des emplois les mieux rémunérés et les plus prestigieux. La rémunération des femmes est inférieure de 12% à celle des hommes dans le public , et l'écart grimpe à 15% dans le privé.

https://bourse.boursorama.com/videos/actualites/parite-homme-femme-qu-est-ce-qui-cloche-en-2023-feef782b8ccd27d1605a8399dc936c6e

Les entreprises avaient jusqu'au 1er mars pour publier leur index égalité professionnelle. Un outil revenu dans l'actualité à l'occasion de la réforme des retraites

https://bourse.boursorama.com/actualite-economique/actualites/france-les-marches-publics-reserves-aux-entreprises-vertueuses-en-matiere-d-egalite-hommes-femmes-f6836d9f3322cb4e894c2db1279067af

PARIS, 8 mars (Reuters) - Les marchés publics seront désormais réservés aux entreprises vertueuses en matière d'égalité hommes-femmes, a annoncé mercredi Isabelle Rome, ministre chargée du sujet à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes.

Le gouvernement a décidé de n'autoriser l'accès aux marchés publics qu'aux entreprises respectant les obligations en matière de publication de l'index égalité professionnelle ou qui ont obtenu une note suffisante à cet index, qui prend en compte les rémunérations et les promotions, a déclaré la ministre déléguée chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l'Egalité des chances lors du compte rendu du conseil des ministres.

Selon des chiffres officiels, les femmes perçoivent en moyenne un salaire inférieur de 15,8% à celui des hommes. L'écart salarial entre femmes et hommes, à poste équivalent, est de 9%.

https://bourse.boursorama.com/actualite-economique/actualites/les-femmes-dirigeantes-mises-a-l-ecart-dans-les-organisations-multilaterales-etude-5479c1591e2985a4d4945a03b16d8df2

WASHINGTON, 6 mars (Reuters) - Les femmes n'ont occupé depuis 1945 que 12% des postes à responsabilité dans 33 des plus grandes institutions multilatérales, et plus d'un tiers de ces organismes, dont les quatre grandes banques de développement, n'ont jamais été dirigés par une femme, selon une nouvelle étude publiée lundi.

Cinq de ces organismes n'ont été présidé par une femme qu'une fois dans leur histoire, selon l'article préparé par GWL Voices for Change and Inclusion, une ONG composée de 62 dirigeantes actuelles et anciennes.

L'étude, qui sera publiée cette semaine lors de la réunion de la Commission de la condition de la femme des Nations unies, appelle à une représentation proportionnelle des femmes à tous les niveaux des organisations multilatérales, des bureaux de terrain aux sièges, ainsi que dans les secrétariats et les organes directeurs.

"Nous sommes 50% de la population mondiale, donc c'est une question de justice démographique, pour commencer", a expliqué Maria Fernanda Espinosa, ancienne ministre équatorienne et présidente de l'Assemblée générale de l'ONU de 2018 à 2019 lors d'un entretien avec Reuters vendredi.

"Mais je crois aussi que les femmes apportent cette combinaison de leadership, de sagesse et d'empathie, et parfois, une compréhension encore plus grande de ce qui se passe dans le monde", a-t-elle ajouté.

https://bourse.boursorama.com/actualite-economique/actualites/le-premier-cercle-du-pouvoir-dans-les-banques-une-affaire-d-hommes-dfe3902417ea8894d756d3e377539d1a

Jamais une femme n'a dirigé de grande banque en France, ni n'en dirige aujourd'hui. A quelques jours de la journée internationale des droits des femmes, le constat est sévère pour une profession pourtant majoritairement féminine.

Les mieux placées arrivent dans le premier cercle. Les banques Société Générale et Crédit Agricole comptent par exemple chacune une femme, Diony Lebot et Valérie Baudson, parmi leurs 12 directeurs généraux délégués et adjoints. Aucune au sein de BNP Paribas et de Crédit Mutuel Alliance fédérale.

Ce constat peut être dressé dans diverses industries, mais la banque est un secteur particulier, qui compte plus de femmes que d'hommes, soit 57% des effectifs des quelque 350.000 salariés, selon la Fédération bancaire française (FBF).

Le rapport s'inverse chez les cadres et s'accentue à mesure que grossissent les responsabilités et le salaire. Seuls 32% des plus hauts cadres bancaires sont des femmes, un pourcentage cependant nettement plus élevé qu'en 2012 (24%)

Les banquiers sont-ils donc d'irréductibles machistes? Non, répond le professeur de management à l'université de Genève et chercheur affilié à Skema business school Michel Ferrary, qui avance l'argument de la formation, la finance à haut niveau restant très "matheuse" et dépendante d'un vivier d'écoles d'ingénieurs très peu féminisé.

Et "pour arriver au sommet de grands groupes, la mobilité internationale est clé", ajoute-t-il, interrogé par l'AFP, une mobilité souvent freinée par des contraintes familiales plus pesantes pour les femmes, selon lui.

- Force de loi -

Les banques, comme l'ensemble des entreprises de plus de 1.000 salariés, devront se conformer aux quotas prévus à partir du 1er mars 2026 par la loi Rixain, sous peine de sanctions financières. Ce texte voté fin 2021 impose un minimum de 30% de femmes parmi les "cadres dirigeants" et au sein des "instances dirigeantes" des entreprises (comité exécutif, comité de direction, etc.), puis 40% à partir du 1er mars 2029.

Il s'inscrit dans le sillage de la loi Copé-Zimmermann de 2011, qui impose un minimum de 40% de femmes autour de la table des conseils de surveillance et d'administration.

La plupart des établissements bancaires sont déjà dans les clous des premières exigences de la loi Rixain.

Mais à y regarder de plus près, les femmes qui se hissent aux premières loges sont souvent cantonnées à des directions dites "fonctionnelles" comme les ressources humaines, la RSE, le juridique ou la communication, moins écoutées dans les décisions stratégiques que les grands métiers apporteurs d'affaires.

La banque LCL en est un exemple: un comité exécutif composé de neuf personnes, dont deux femmes en charge des finances et du juridique pour la première, des ressources humaines pour la seconde.

La loi Rixain "accélère la féminisation des comités exécutifs", salue auprès de l'AFP Floriane de Saint Pierre, présidente de la plateforme de données dédiées à la gouvernance d'entreprise Ethics & Boards, une étape indispensable avant d'avoir un jour une femme directrice générale.

- Plafond de verre -

Les nominations récentes ne traduisent pour l'instant qu'un léger frémissement en ce sens.

Celles du mois de février aux directoires de BPCE (pour Banques populaires et Caisses d'épargne), et de la Banque postale permettront à BPCE d'atteindre la parité (deux sur quatre avec l'arrivée le 1er avril d'Hélène Madar, qui rejoint Béatrice Lafaurie) et à la Banque postale les 40%, avec l'arrivée de Perrine Kaltwasser.

https://www.safran-group.com/fr/actualite/safran-seats-ameliore-troisieme-annee-consecutive-son-index-egalite-femmes-hommes-2023-03-07?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=IN20230307FR

Cet index conçu pour faire progresser au sein des entreprises l'égalité salariale entre les femmes et les hommes, permet aux entreprises de mesurer les efforts déjà réalisés et le chemin qu’il reste à parcourir en se basant sur cinq critères:

L'écart des rémunérations femmes-hommes (40 points)

La répartition des augmentations salariales (20 points)

La répartition des promotions (15 points)

Le nombre de femmes augmentées à leur retour de congé maternité (15 points)

Le nombre de femmes parmi les 10 plus hautes rémunérations (10 points)

Pour ce début d’année 2023, Safran Seats à un index de 93/100 en augmentation continue par rapport aux années précédentes: 92/100 en 2021 et 78 en 2020.

Au total, 69 femmes promues en 2022 avec revalorisation salariale. L’amélioration de cet index confirme l’engagement de Safran Seats dans ce domaine depuis plusieurs années et pour les années à venir.

Safran Seats poursuit par ailleurs ses ambitions en matière de représentation des femmes parmi les cadres dirigeants et les instances dirigeantes. Pour 2022, la part des femmes est de 7 % parmi les cadres dirigeants et de 12 % au sein des instances dirigeantes.

https://www.safran-group.com/fr/actualite/developpement-durable-entreprise-doit-prendre-sa-part-2023-09-28?utm_source=push&utm_medium=email&utm_campaign=IN20230928FR

5. Egalité entre les sexes (objectif de féminisation, mesures et recrutement spécifique, quota, représentation sexuée,... )

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-gendarme-bancaire-europeen-veut-lutter-contre-le-manque-de-feminisation-des-conseils-d-administra--43179566/

LONDRES, 7 mars (Reuters) - L'organisme de surveillance bancaire de l'Union européenne a déclaré mardi qu'il prendrait des mesures sévères à l'encontre des 28% de banques n'ayant pas encore mis en place une politique obligatoire sur la diversité de genre dans leurs conseils d'administration.

Selon les données recueillies auprès de 800 banques et sociétés de gestion par l'Autorité bancaire européenne (ABE), les femmes ne représentaient à fin 2021 que 18% des administrateurs exécutifs et 28% des administrateurs non exécutifs.

Les femmes gagnaient en moyenne 9,5% de moins que les cadres supérieurs masculins, et 6% de moins que leurs collègues cadres.

Près de la moitié des banques de l'échantillon ne comptaient aucune femme parmi leurs directeurs exécutifs, alors même que les entreprises qui pratiquent la diversité affichent un rendement des capitaux propres supérieur à la moyenne de 7,9%, contre 5,3% pour celles qui ne comptent que des directeurs exécutifs masculins, selon l'ABE.

Les banques sont tenues depuis 2014 d'avoir une politique en matière d'égalité entre les femmes et les hommes, mais 28% n'en ont toujours pas, a indiqué l'ABE.

Si les banques sont autorisées à fixer leurs propres objectifs en ce qui concerne la présence de femmes dans leurs conseils d'administration, certains États de l'Union européenne ont adopté des lois nationales assorties d'objectifs.

Les banques de grande taille et les banques d'Europe du Nord et de l'Est ont obtenu de meilleurs résultats en matière de diversité, peut-être en raison de l'existence de meilleures structures d'accueil pour les enfants dans ces pays.

"L'équilibre entre les genres s'améliore progressivement, mais trop lentement", indique le rapport de l'ABE.

D'autres indicateurs de diversité, tels que l'éducation ou les antécédents sociaux, pourraient également être améliorés, selon l'ABE.

 

(Reportage de Huw Jones, version française Dina Kartit, édité par Kate Entringer)

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-femmes-souffrent-d-une-penalite-de-maternite-dans-l-OCDE-etude--43180379/

Londres (awp/afp) - Les progrès vers l'égalité de salaires sont minimes entre hommes et femmes et ces dernières pâtissent à travers le monde d'une "pénalité de maternité" avec des gardes d'enfants trop chères et des carrières ralenties par les naissances, selon une étude de PwC. La plus forte chute dans le classement a été enregistrée par la Suisse, qui se place 20e.

L'enquête "Les femmes au travail" (Women in Work Index) montre que les progrès vers l'égalité entre hommes et femmes dans l'OCDE ont été "excessivement faibles" sur les dix dernières années, avec un écart de salaire persistant de 14%, qui n'a reculé que de 2,5 points de pourcentage depuis 2011, détaille PriceWaterhouseCooper (PwC) dans un communiqué mardi.

A ce rythme, il faudra 50 ans pour atteindre la parité, selon le cabinet.

D'autant que les améliorations "au cours de l'année passée découlent davantage de la reprise post-covid sur le marché du travail que de progrès authentiques", précise PwC.

La firme de conseil estime qu'une "pénalité de maternité", soit une perte de rémunération au cours de la vie pour les femmes qui élèvent des enfants, est le principal facteur expliquant cet écart de salaire.

Elle est due à une progression de carrière plus lente lorsque celles-ci retournent travailler après une naissance, et à la part "injustement faible des soins et de l'éducation des enfants prise par les pères" à travers le monde.

L'étude s'attarde notamment sur le Royaume-Uni, parlant d'une "crise des gardes d'enfants devenues inabordables et d'une faible part des hommes qui prennent des congés parentaux", forçant "une part croissance des femmes à ne plus travailler".

"Un coût abordable des gardes d'enfants est essentiel pour atténuer les pressions sur les mères et les familles et réduire la charge de travail non rémunérée des femmes".

"Repenser les politiques de congés parentaux pour soutenir un modèle de +deux salaires, deux carrières+ aiderait à modifier les attitudes sociétales" sur le rôle des pères et des mères et bénéficierait économiquement à la société entière, insiste PwC.

Au sein des pays de l'OCDE, le Royaume-Uni a perdu cinq places dans l'indice de PwC sur l'égalité salariale entre femmes et hommes, passant de la 9e en 2020, en pleine pandémie, à la 14e place un an plus tard, la dernière année de données disponibles.

Le Royaume-Uni reste malgré tout en tête des pays du G7, devant le Canada (18e place), les Etats-Unis (25), la France (23), l'Allemagne (21), le Japon (28) et l'Italie (30).

Luxembourg, Nouvelle-Zélande et Slovénie ressortent aux trois premières places de l'indice, avec la plus forte avancée marquée par la Hongrie, désormais 13e.

 

 

Journée internationale des droits des femmes - La femme républicaine est un femme libre

DITES-LE AVEC NOUS

Peut-on être féministe et de droite ?

OUI, bien sûr ! alors, dites-le avec nous !

Oui ! la droite défend l’égalité entre les femmes et les hommes

N'abandonnons pas aux féministes de gauche le monopole de cette belle idée de l'émancipation des femmes. Nous, nous prônons l'égalité, pas la similitude des sexes, pas un matriarcat qui se vengerait des hommes !

La gauche parle beaucoup, mais qui a le plus agi concrètement pour les femmes ? La droite !

Qui a donné aux femmes les moyens de leur liberté ? La droite !

La droite, c'est :

- Le Droit de vote en 1944 avec le général de Gaulle.

- La liberté de travailler et de gérer elles-mêmes leurs biens propres avec le gouvernement G. Pompidou en 1965.

- La loi Neuwirth sur la contraception en 1967.

- La loi Veil sur l'IVG en 1975.

- La création de la Paje (Prestation d'Accueil Jeune Enfant) en 2004 par Christian Jacob.

- La création de l'Observatoire de la Parité en 1995 par Jacques Chirac.

- La plus forte présence des femmes au sein des conseils d'administration grâce à la loi Copé Zimmermann en 2011.

- Un engagement constant pour aider les victimes de violences conjugales depuis la loi de 2010 instaurant l'ordonnance de protection.

Aidez-nous à faire entendre un autre féminisme !
Un féminisme républicain !

Nous vous appellerons à une mobilisation sur les réseaux sociaux le 8 mars. Nous ferons entendre votre voix grâce à vos témoignages que nous devons recueillir dès aujourd’hui.

Envoyez-nous dès maintenant votre témoignage en vidéo ou par écrit à l’adresse indiquée en bas de page.

Dites-nous pourquoi vous pensez que l'on peut être de droite et féministe, c'est-à-dire défendre l'égalité entre hommes et femmes.

Aujourd'hui, nous sommes fidèles à nos convictions et à nos actions.

Les femmes sont libres ! Libres de s'engager ! Libres de choisir de travailler, ou d'élever leurs enfants, ou les deux !

La puissance publique doit les aider à exercer cette liberté, pas les contraindre à vivre selon le moule imposé par la gauche moralisante.

Ne laissons pas le monopole de l'égalité femme homme à la gauche !

Nous comptons sur vous (femmes et hommes, bien entendu)

Merci d'avance !

Amicalement

Les Républicains

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Des-progres-ont-ete-accomplis-au-Japon-en-ce-qui-concerne-l-ecart-salarial-entre-les-hommes-et-les-f--43185912/?utm_medium=RSS&utm_content=20230308

Le Japon s'est classé 116e sur 146 pays en matière de parité hommes-femmes dans le rapport mondial du Forum économique mondial de l'année dernière, et les efforts visant à promouvoir les femmes dans la gestion et le gouvernement sont au point mort. Il n'y a que deux femmes ministres parmi les 20 membres du cabinet du Premier ministre Fumio Kishida.

Les femmes éprouvent souvent des difficultés à concilier travail et tâches ménagères, encore largement considérées comme relevant de la responsabilité des femmes, ce qui les contraint à accepter des contrats "temporaires" instables et mal rémunérés.

"Les mesures que nous avons prises ont permis d'augmenter le nombre d'emplois pour les femmes. Mais il est également vrai que beaucoup d'entre elles optent pour un travail temporaire lorsqu'elles donnent naissance à un enfant, et les mesures visant à remédier à ce problème ne sont encore qu'à mi-parcours", a-t-il déclaré, ajoutant qu'il était conscient qu'il restait beaucoup à faire pour changer les attitudes sociales à l'égard des hommes et des femmes.

 

Une série d'actions spécifiques a un genre toutes au long de l'année pour accompagner les objectifs de féminisation que le modèle mental féministe a chosie dans le cadre de la vision de sa société :

https://www.safran-group.com/fr/actualite/trophees-femmes-industrie-marjorie-cavarroc-recompensee-2023-10-06?utm_source=push&utm_medium=email&utm_campaign=IN20231006FR

C’est au cœur de Paris, entre les murs du prestigieux pavillon Wagram, à quelques encablures de la célèbre place de l’Etoile, qu’a eu lieu la remise de prix de la 13e édition des Trophées des Femmes de l’industrie. Entreprenariat, innovation, développement durable… À travers 11 catégories, cet événement annuel majeur permet de mettre en lumière des femmes aux parcours exemplaires.

En 2022, Marjorie Cavarroc recevait ainsi le prix Irène Joliot-Curie dans la catégorie « Femme, recherche et entreprise ». Elle a également été nommée experte pour le Prix « Pour les Femmes et la Science » de la fondation L'Oréal-UNESCO et experte pour les traitements de surface par la DGA.

Nul doute que sa carrière, véritable parcours d’excellence, en inspirera plus d’uns ! À commencer par les jeunes filles qu’elles marraine au sein de l’association « Elles bougent ».