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Quelques exemples 4

Une série d'articles d'action sexuée spécifique et de discrimination sexuée positive (négatif c'est femme positive c'est homme) pour obtenir l'égalitarisme sexué :

 

 

Elle dévoile également des chiffres dénonçant ces inégalités. Ainsi, les femmes sont payées en moyenne 21% de moins que les hommes, 60% des entreprises ne respectent pas l'obligation d'être couvertes par un accord égalité ou un plan d'action, 9% des femmes cadres occupent un emploi à temps partiel (contre seulement 1% des hommes) et 25% des femmes cadres à temps partiel ont une responsabilité hiérarchique contre 38% des femmes à temps plein.

"LE PLAFOND DE MÈRE"

"Grâce à l'élévation du niveau de qualification des femmes, l'encadrement se féminise", souligne le syndicat. Pourtant, "les inégalités entre femmes et hommes au travail sont tenaces (...) Le 'plafond de verre' joue à plein". Marie-José Kotlicki, secrétaire générale, et Sophie Binet, secrétaire générale adjointe, voient dans l'origine de ces "discriminations" la maternité, "réelle et supposée" : le "plafond de mère"."L'exercice des responsabilités professionnelles ne s'imaginant pas en dehors du culte du présentéisme et les tâches ménagères étant toujours massivement assumées par les femmes, elles sont confrontées à une mission impossible et à une culpabilisation permanente", écrivent-elles dans la présentation de la campagne.

Estimant que les lois traitant de l'égalité hommes-femmes présentent des "résultats insuffisants", le syndicat demande "des dispositions légales plus astreignantes". Il propose de "mieux indemniser le congé parental" ou encore d'"instaurer des autorisations d'absence de l'entreprise pour motif familial avec maintien intégral du salaire".

À l'occasion de cette semaine de sensibilisation (3 au 9 octobre), la ministre des Droits des femmes, Laurence Rossignol, doit présenter mardi un "1er plan interministériel à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes".

#viedemère, la campagne pour l'égalité professionnelle

Pour la ministre, l'objectif de ce premier plan interministériel 2016-2020 est de "parvenir à développer une culture de l'égalité réelle entre les femmes et les hommes au travail", à travers quatre points: lutter contre les stéréotypes sexistes, améliorer l'accès à l'emploi des femmes, encourager le partage des responsabilités "domestiques" et prévenir les violences à l'encontre des femmes.

Un label "Egalité professionnelle" viendra souligner les bonnes pratiques des entreprises concernant l'équilibre femme, homme. Un observatoire de l'entrepreneuriat féminin sera également créé. Concernant la mixité professionnelle, le plan intègrera l'objectif du plan mixité 2014 visant à augmenter de 12 à 33% d'ici 2025 les métiers mixtes dans les transports, le bâtiment, le numérique.

Selon des chiffres du ministère, seuls 7,2% des hommes travaillent à temps partiel contre plus de 30% des femmes et l'emploi féminin se concentre dans 12 familles professionnelles sur un total de 87.

Par ailleurs, une seule femme est dirigeante exécutive d'une entreprise du Cac 40 (ndlr: Isabelle Kocher chez Engie), les hommes gagnent en moyenne 19% de plus que les femmes et une femme sur cinq dit avoir été confrontée à une situation de harcèlement sexuel au travail.

Mme Rossignol avait déclaré lors du lancement début septembre de la campagne "Sexisme, pas notre genre!" vouloir engager une "bataille culturelle". Selon elle, les lois et autres dispositifs mis en place depuis la loi Veil de 1975 ont fait progresser les droits des femmes, cependant il faut maintenant "passer à la vitesse supérieure".

Plan interministériel pour l'égalité professionnelle homme/femme

https://www.thalesgroup.com/sites/default/files/database/document/2020-04/Thales%20-%20Document%20d'Enregistrement%20Universel%202019%20(DEU)%20-%208%20avril%202020.pdf

Depuis 2016, des objectifs volontaristes de renforcement de la diversité et de l’inclusion au sens large ont été fixés pour l’ensemble du Groupe et font l’objet d’un tableau de bord de suivi trimestriel (voir section 5.4.2). Afin de favoriser la diversité des équipes et l’inclusion des collaborateurs dans le respect de leurs différences, le Groupe a mis en place une gouvernance dédiée et structurée autour d’un Comité de pilotage, d’unConseil de la Diversité et de l’Inclusion et d’une fonction centrale Diversité et Inclusion. S’agissant de la mixité et de l’égalité professionnelle en France, le Groupe déploie depuis 2004 des plans d’actions négociés dans le cadre d’accords conclus avec les organisations syndicales. Depuis 2009, Thales a signé un accord européen IDEA, porteu rd’engagements dans les domaines de l’égalité entre les femmes et les hommes. Les actions du Groupe en la matière sont détaillées en section 5.4.2.

la progression de la part des femmes dans les effectifs, représentant 26 % de l’effectif du Groupe

Par ailleurs, les profils féminins étant d’autant plus rares dans les métiers scientifiques, Thales s’emploie à faire découvrir aux jeunes femmes les filières techniques et scientifiques et les opportunités professionnelles qu’elles peuvent offrir.

Le Groupe est également attentif à susciter l’intérêt des élèves pour les métiers scientifiques et technologiques. Partenaire de longue date de l’association « Elles Bougent » dont l’objectif est d’attirer les jeunes femmes vers les métiers de l’ingénierie, Thales compte aujourd’hui 415 marraines, salariées du Groupe, au sein de l’association et accueille régulièrement des collégiens et lycéens pour qu’ils puissent découvrir le métier d’ingénieur dans un groupe industriel comme Thales.

En 2016, le Président-Directeur général de Thales s'est engagé sur une cible ambitieuse de long terme en termes de pourcentage de recrutement de femmes (40 %), d'accès des femmes à des postes de niveau de responsabilité élevé (30 %) ainsi que de la présence d'au moins trois femmes dans chaque Comité de direction. Une approche globale et volontariste a été adoptée pour progresser dans ce domaine et faire de Thales une entreprise ouverte et accueillante pour l'ensemble des collaborateurs.

Le Groupe s’est engagé, de longue date, dans une véritable dynamique d’évolution en matière d’égalité professionnelle. Ainsi, dès2004, en France, Thales a déployé, avec les organisations syndicales représentatives, des actions fortes en ce domaine (plans d’action négociés élaborés sur la base de rapports de situation comparée). En Europe, l’accord IDEA signé en 2009 est porteur d’engagements dans tous les domaines de l’égalité entre les hommes et les femmes :recrutement, développement de carrière, égalité de rémunération,équilibre vie professionnelle/vie personnelle.En 2019, les actions tendant à favoriser la mixité des équipes se sont accentuées sur le plan international.

Les audits YAL (Yearly Assignment Letters), réalisés chaque année, se sont enrichis en 2018, d’une analyse complémentaire sur la base d’indicateurs d’égalité de traitement entre les hommes et les femmes(recrutement, promotions, salaires). En 2019, 25 audits ont été réalisés.Un budget annuel spécifique de 0,1 % de la masse salariale totale de chaque société en France est dédié aux actions en faveur de la promotion des femmes et au financement des actions de sensibilisation et de formation pour le soutien au développement professionnel des femmes.

Quand l'éducation national ne prend en cause que les filles pour les programmes :
Cette année encore, le rapport annuel, qui étudie les résultats aux examens (cap – bep – bacs) en EPS, met l’accent sur les inégalités entre filles et garçons. « Dans l’attente d’une réorganisation significative de l’offre de formation prenant mieux en compte les attentes et les appétences des filles, la commission nationale invite les commissions académiques à mettre tout en œuvre pour réduire l’écart entre les filles et les garçons ».
C’est que pour tous les examens l’écart entre les sexes est de 1 point de moyenne au détriment des filles. Le javelot, le pentabond, le volley, le tennis de table, le basket et le handball sont particulièrement négatifs pour les filles. Or justement, les épreuves les plus répandues sont le badminton, le volley, le demi-fond et le tennis de table.
La commission préconise donc une nouvelle liste d’épreuves : « la commission nationale préconise que la liste nationale subisse un renouvellement et soit composée des cinq binômes suivants : demi fond et badminton, demi fond et tennis de table, tennis de table et sauvetage, basket-ball et gymnastique, basket-ball et sauvetage ».
Elle propose une théorie du développement moral de la femme : une morale des droits et de la justice caractérise les mentalités masculines, alors que les personnalités féminines seraient plus modelées par une morale de la responsabilité, du partage et pourraient donc plus être appréhendées en terme d'empathie qu'en termes d'équilibre de droits, créances et dettes
AFP le 02/09/2015 à 13:53 proposition de mme Pécresse
Elle promet aussi une relance de la politique d'internats avec la "création de 3.000 places sur la mandature contre 400 depuis 1998 par la gauche", avec "un effort particulier pour l'accueil des jeunes filles". Créés sous Nicolas Sarkozy et supprimés sous François Hollande en raison de leur coût très élevé, les internats d'excellence ont sa faveur même s'il faut l'aval du gouvernement pour les remettre en place.

Allemagne: les entreprises ont un an pour nommer plus de femmes à leur tête

AFP le 16/08/2017 à 11:32

Allemagne: les entreprises ont un an pour nommer plus de femmes à leur tête

La ministre allemande de la Famille, Katarina Barley, a posé mercredi un ultimatum d'un an aux entreprises allemandes pour nommer davantage de femmes à leur direction, et menacé d'introduire des quotas contraignants si elles n'obtempèrent pas.

"Je donne un an au secteur économique pour régler cela tout seul", a lancé la ministre social-démocrate dans un entretien au groupe de journaux Redaktionsnetzwerk Deutschland (RND).

"Si rien n'est fait d'ici là, nous interviendrons par la loi", a-t-elle ajouté alors que l'Allemagne est notoirement à la traîne dans le domaine de l'emploi des femmes à des postes de hautes responsabilités.

"Je n'aurais pas de problème avec un quota de femmes contraignant pour les directoires d'entreprises", a souligné la ministre en pleine campagne électorale pour les législatives du 24 septembre pour lesquelles le Parti social-démocrate (SPD) ne part pas favori.

Depuis janvier 2016, plus d'une centaine de grandes entreprises allemandes cotées en Bourse doivent employer 30% de femmes dans leur conseil de surveillance qui a la main sur les salaires et les conditions de travail.

La loi avait été imposée à la chancelière conservatrice Angela Merkel par son partenaire de coalition social-démocrate.

Mais dans les directoires d'entreprise - cercle restreint autour du patron -, la proportion de femmes demeure faible. Selon des chiffres de l'Institut économique DIW, le pourcentage de femme dans les directoires des 106 plus grosses entreprises allemandes n'était que de 6,5% l'an dernier.

Elles étaient plus nombreuses dans les conseils de surveillance de ces mêmes sociétés, avec 27%.

L'Allemagne, où le féminisme n'est pas en reste, est longtemps demeuré un pays où il était très difficile pour une femme de concilier carrière professionnelle et maternité.

SCOR : renforce son engagement en faveur de la mixité avec la signature d’une Charte mondiale d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

SCOR franchit une nouvelle étape dans son engagement en faveur de la mixité avec la signature, ce jour, d'une Charte mondiale d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Cette Charte étend les engagements de la Charte Européenne signée en 2015 à l'ensemble des implantations du Groupe à travers le monde, en matière de recrutement et d'embauche, d'évolution de carrière, de l'accès des femmes et des hommes aux postes à responsabilités de l'entreprise, de formation professionnelle, d'équité salariale et d'équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle.

L'engagement du Groupe en faveur de la mixité s'appuie par ailleurs sur un ensemble d'initiatives, telles que :
• La promotion et le suivi de la mixité dans la gestion du capital humain ;
• L'organisation de journées dédiées à la diversité dans l'ensemble des implantations du Groupe;
• La participation, en France, aux « Trophées de la Femme dans l'Assurance », où SCOR présente des candidates et soutient le trophée de la femme manager ;
• L'adhésion à Financi'Elles, la fédération française des réseaux de promotion de la mixité dans le secteur Banque-Finance et Assurance.

Au-delà de ces initiatives, un réseau interne de promotion de la diversité, SIGN (SCOR International Gender Network) a été créé à l'initiative de plusieurs femmes du Groupe. Soutenu par le Comité exécutif de SCOR, ce réseau œuvrera à la mise en œuvre d'un programme global de mentoring dédié aux femmes ainsi qu'au déploiement de nombreuses actions liées à la mixité au niveau local.

Denis Kessler, Président directeur général du groupe SCOR, a déclaré : « SCOR est un groupe global et, à ce titre, attache une importance particulière à la diversité des talents. C'est dans ce cadre que le Groupe a signé, dès 2015, une Charte Européenne pour l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, qui est étendue aujourd'hui à l'ensemble de nos implantations partout dans le monde. Les engagements contenus dans cette charte fixent un cap et ouvrent la voie à de nombreuses actions en faveur de la mixité. L'engagement de SCOR en faveur de l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est conforme à nos valeurs et est un facteur de dynamisme des équipes et de performance collective pour le Groupe. ».

SCOR : renforce son engagement en faveur de la mixité avec la signature d’une Charte mondiale d’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes | Zone bourse

Les groupes français sont ceux qui respectent le plus la parité dans leurs conseils d'administration au sein de la zone euro, selon un classement publié lundi par l'agence de notation extra-financière Standard Ethics.

Le taux de féminisation des conseils d'administration s'établit à 33% en France, contre 27% en Italie et 21% en Allemagne, indique par ailleurs Standard Ethics.

Le groupe énergétique Engie (ex-GDF Suez) et les banques BNP Paribas et Société générale sont en tête du classement des 50 plus grandes entreprises de la zone euro en matière de parité, suivis par le géant néerlandais de l'agroalimentaire et des cosmétiques Unilever.

En dernière position figure le groupe de santé allemand Fresenius, qui ne compte aucune femme dans son conseil d'administration. Juste avant se situe le bancassureur néerlandais ING, avec une femme contre 15 hommes dans son conseil.

En France, les trois groupes en queue du classement des 40 plus grandes entreprises cotées sont le fabricant de verres ophtalmiques Essilor (3 femmes pour 13 hommes), Airbus Group (2 femmes pour 10 hommes) et le cimentier LafargeHolcim (1 femme pour 13 hommes).

En Allemagne, le groupe qui respecte le plus la parité est Deutsche Telekom (9 femmes pour 18 hommes), et en Italie, il s'agit de Banca Mps (7 femmes pour 7 hommes).

Conseils d'administration: plus de femmes, mais la parité est encore loin (étude)

AFP le 04/09/2015 à 12:11
La féminisation des conseils d'administration se poursuit en France, mais les grandes entreprises restent loin de leur objectif de parité et devraient recruter 150 femmes d'ici 2016 pour y parvenir, selon une étude du cabinet Russell Reynolds Associates publiée vendredi.

De 2006 à 2012, la part des femmes parmi les dirigeants salariés d'entreprises a progressé de 10%. Mais elles restaient à cette date peu représentées : "fin 2012, en France et hors agriculture, 900.000 femmes sont indépendantes ou dirigeants salariées d'entreprises, contre 1.800.000 hommes", indique l'Insee dans une étude basée sur des chiffres de 2012 et publiée ce mardi 28 juillet.
Elles sont encore plus sous-représentées (25%) parmi les gérants de sociétés à responsabilité limitée (SARL) et encore plus minoritaires (17%) parmi les dirigeants de sociétés hors SARL. Elles ne représentent également que 40% des auto-entrepreneurs, un statut qui "offre des facilités pour exercer une activité à une échelle plus modeste, en particulier en complément d'une activité principale".
Par secteur, les femmes sont davantage représentées dans les services aux particuliers et dans la santé - dans ce dernier secteur, 55% des indépendants et dirigeants salariés d'entreprises sont des femmes. Les hommes sont eux surreprésentés dans la construction, l'industrie et les transports.
Selon l'Insee, la part des femmes parmi les indépendants et dirigeants salariés d'entreprises diminue à mesure que la taille de l'entreprise augmente : elles représentent 37% de ceux travaillant seuls dans leur entreprise, 28% de ceux dont les entreprises comptent de 2 à 4 personnes, 16% dans les entreprises de 20 à 49 personnes et 14% dans les entreprises de 50 personnes ou plus. Par ailleurs, elles sont plus jeunes que leurs homologues masculins, étant âgées en moyenne de 44,6 ans contre 46,2 ans pour les hommes.
Enfin, les femmes indépendantes ou dirigeantes salariées d'entreprises gagnent 31% de moins que les hommes, avec un revenu d'activité mensuel s'établissant en 2012 à 2.020 euros contre 2.915 euros pour les hommes. Des écarts de revenus qui s'expliquent en partie "par un nombre d'heures travaillées moins important sur l'année", selon l'Insee.
Faire en sorte qu'il y est moins d'inégalités seraient peut-être un bon point. C'est pour cela que, sous l'égide du Premier Ministre, un Comité interministériel aux droits des femmes et à l'égalité entre les femmes et les hommes, s'est tenu le 30 novembre dernier (2012), afin de d'améliorer et de réduire ces inégalités. Le gouvernement à donc décidé dernièrement d'une série de mesures ayant pour objectif de:
- 1: s'attaquer aux inégalités dès le plus jeune âge.
- 2: alléger les contraintes de la vie quotidienne de la femme et lever les obstacles à l'Egalité professionnelle.
- 3: placer la réduction des inégalités entre les hommes et les femmes au coeur de la démocratie sanitaire et salariale.
- 4: protéger les femmes contre les violences.
- 5: décliner l'égalité dans tout les plans de l'action publique.
- 6: affirmer les droits des femmes au niveau internationnal.
La loi Roudy du 13 juillet 1983 imposait aux entreprises de plus de 50 salarié(e)s d'établir un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes et de proposer aux commités d'entreprises de débattre sur ce thème. Ce sont des propositions qui, il faut le reconnaître, n'ont quasiment jamais été appliquées. Plus près de nous est venue, en 2001, la loi Génisson. Elle est d'une importance capitale pour les femmes qui travaillent puisqu'elle vient renforcer la loi Roudy en développant le dialogue social sur l'égalité professionnelle, laquelle devient un enjeu majeur de la négociation collective. En effet ce texte ajoute spécifiquement l'égalité professionnelle aux autres négociations. Pour ce qui est de l'application de a loi Génisson, les négociations doivent s'appuyer sur un rapport annuel de la situation comparée des hommes et des femmes à l'intérieur de l'entreprise. Ce rapport sert ainsi de base à une analyse de la situation portant en particulier sur les conditions générales d'emploi (éffectifs, durée et organisation du travail, congés, embauches et départs, positionnement professionnel, évolutions de carrières, promotions) les rénumérations, la formation et les conditions de travail. Les constats fait, la négociation doit permettre de délimiter les champs d'intervention afin d'améliorer de façon significative la parité hommes femmes, et de mettre en oeuvre des actions spécifiques.
 
 
https://event.investirday.fr/partner/e1a36136-e865-ed11-9f5e-000d3a4695f2

Description

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https://www.zonebourse.com/cours/action/AMAZON-COM-INC-12864605/actualite/Les-licenciements-dans-les-grandes-entreprises-technologiques-pourraient-perturber-davantage-les-eff-42668573/

023 s'annonce comme une année difficile pour être une femme ou une minorité travaillant dans le secteur de la technologie, ou même une personne ayant une année de trop à son actif.

Selon les données d'un cabinet d'études, la hausse des licenciements dans les entreprises technologiques l'année dernière touche de manière disproportionnée les femmes et les talents en milieu de carrière, ce qui pourrait rendre plus difficile l'amélioration de la diversité dans l'un des secteurs les plus recherchés.

Ces dernières années, les grands noms de la technologie américaine ont intensifié le recrutement et fait de la diversité, de l'équité et de l'inclusion (DEI) une priorité. Mais alors que le secteur est aux prises avec le sur-embauche depuis le milieu des années 2020, la hausse des taux d'intérêt et les changements de comportement des entreprises et des consommateurs, les entreprises technologiques ont annoncé des coupes sombres, mettant en péril leurs efforts en matière de diversité.

 

Nous proposons des journées de sensibilisation pour les collégiens et lycéen pour l'aéronotique, les STM, le numérique, l'industrie, le numérique, etc... . Le féministe est contre pour-quoi ?

C'est proposer d'apporter le même soutien aux homme et femme aux garçon et filles

C'est mettre fin la répartation genré quota , parité

C'est contre l'égalitarisme sexuel

Le fémisme dans sa sa doctrine l'homme et dominant et la femme l'opressé donc un discriminé un homme et positif une femme c'est négatif les normes féministes ne sont pas une construction sociétale pourtant les quotas et l'égalitarisme sexué sont bien une construction sociétale

https://www.safran-group.com/fr/actualite/safran-seats-accueille-6-lyceennes-8eme-edition-feminisons-metiers-aeronautique-2023-01-25?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=IN20230125FR

"Jeudi 19 janvier, notre site d’Issoudun (Indre) a accueilli une nouvelle fois des lycéennes de l'établissement Balzac d’Alembert. L’objectif de cette journée est de susciter des vocations et convaincre les jeunes filles qu’il y a une place pour elles dans la filière aéronautique."

"La balle est désormais dans le camp des lycéennes !  Elles ont quelques semaines pour finaliser leur projet dans le cadre du concours national « Féminisons les métiers de l’aéronautique » dont la remise des prix se déroulera au salon du Bourget, en juin 2023 !"

Etre contre les quotas, les journées réservées aux filles et femmes pour découvrir ces métiers, les financements spécifiques et actions diverses (écoles et entreprise) pour arriver à remplir les pourcentages et nombres désirés de genre femme c'est être contre la présence de femmes et de filles dans les filières scientifiques et l’aéronautique

https://www.safran-group.com/fr/videos/safran-celebre-journee-internationale-femmes-filles-science?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=IN20230210FR

« Oui, nous avons toute notre place dans les filières scientifiques et l’aéronautique ! Ce sont nos compétences, notre leadership et notre envie qui sont nos forces, et que nous allons pouvoir mettre en œuvre dans le monde de l’entreprise. »
À la veille de la journée internationale des femmes et des filles de #science, @Marjolaine Grange, Directrice Groupe Industrie Achats et Performance chez Safran, partage avec Magalie, apprentie chez Safran, ses convictions sur la place des femmes dans les filières scientifiques et son parcours qui l’a amenée à son poste actuel dans l’aéronautique. 
#inclusion #femmesensciences #Women-girls-science

Quand on Connaît le Haut conseil à l'égalité on pourrait le renommer haut conseil à la discrimination  masculine et à l'égalitarisme sexué :

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/borne-va-presenter-la-semaine-prochaine-un-plan-de-lutte-contre-les-discriminations-de6539ad513627d58de28c18657acb83

Élisabeth Borne va présenter "la semaine prochaine" un plan de lutte contre les discriminations, a-t-elle annoncé lundi lors de ses vœux à la presse.

"Le combat pour l’égalité des chances, c'est briser les inégalités de destins, (...) c’est la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, c'est la lutte contre les discriminations", a-t-elle énuméré car "la France doit être la patrie de l'émancipation".

Élisabeth Borne a en outre jugé "vraiment pas satisfaisantes" les conclusions du rapport rendu lundi par le Haut conseil à l'égalité.

Malgré la sensibilisation qu'a provoqué le mouvement #MeToo, le sexisme perdure en France, notamment avec des "réflexes masculinistes" chez les jeunes hommes, déplore ce rapport, qui demande notamment de "réguler les contenus numériques".

Ce rapport du Haut conseil à l'égalité "renvoie à plusieurs sujets, notamment à la vision de la sexualité chez les jeunes. Et je pense que l'énergie que le ministre de l’Éducation nationale met à repenser l'éducation sexuelle est la bienvenue dans ce contexte", a souligné Mme Borne.

"Ensuite il y a certainement encore à agir (...) pour avoir moins de stéréotypes de genre, y compris dans l'orientation", a ajouté la Première ministre en indiquant qu'elle réunirait "au cours du mois de mars" un comité interministériel sur ces sujets.

https://bourse.boursorama.com/actualite-economique/actualites/femmes-et-sciences-borne-promet-de-redoubler-d-effort-pour-la-mixite-des-filieres-fd87aeac96aa84df42955e7fb4d44274

Elisabeth Borne a remis vendredi à la physicienne Bérengère Dubrulle le prix de la "Femme scientifique de l'année", qui vise à promouvoir la place des femmes dans la recherche en France, et promis de "redoubler d'effort pour veiller à la mixité des filières" scientifiques.

"Pour construire le futur, la science a besoin de femmes. Aucune discipline, aucun domaine n'est la chasse gardée des hommes", a déclaré la Première ministre lors de la cérémonie du prix Irène Joliot-Curie au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) à Paris.

La Première ministre a dit vouloir porter le "combat" de l'égalité entre les femmes et les hommes, "grande cause" du président Emmanuel Macron, "jusque dans les sciences, en attaquant d'abord les inégalités à la racine".

"A l'université, les femmes représentent 60% des étudiants, mais seulement 31% en sciences fondamentales. Toutes formations confondues, la part des femmes diplômées d'un titre d'ingénieur en 2020 est seulement de 28%. Ce n'est pas assez", a-t-elle développé.

"Nous allons redoubler d'effort (à l'école), dans le primaire et dans le secondaire, pour veiller à la mixité des filières", a-t-elle poursuivi, rappelant l'objectif de parité d'ici 2027 dans les mathématiques et la physique-chimie annoncé par le ministre de l'Education Pap Ndiaye, et la réintroduction des mathématiques obligatoires en classe de première à la rentrée 2023.

Dès le collège, "nous allons favoriser les rencontres avec les professionnels" pour "faire naître des vocations", a précisé Mme Borne, qui a échangé avec des lycéennes en marge de la cérémonie

 

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/AG-Fidelity-cible-l-inflation-la-crise-climatique-et-la-diversite-de-genre-dans-les-conseils--43126486/

Enfin, Fidelity, qui se veut un " fervent défenseur de la diversité qu'elle soit de genre ou ethnique, " estime que la diversité a " un impact notable et positif sur la création de valeur à long terme et l'atténuation des risques. " Elle encourage les conseils d'administration à rechercher des administrateurs ayant " des compétences et des expériences complémentaires ". Fidelity envisagera de voter contre la direction des entreprises qui n'ont pas une représentation féminine d'au moins 30% au sein de leur conseil d'administration. Sur les marchés où les normes en matière de diversité sont encore en cours d'élaboration, un seuil initial de 15% est visé. L'année dernière, Fidelity a voté contre la direction de plus de 400 sociétés (abstentions comprises) dans le monde entier, sur l'enjeu de la diversité des conseils d'administration.

 

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Pour-la-premiere-fois-les-femmes-representent-40-des-conseils-d-administration-des-grandes-entrep--43103255/

La part des femmes dans les conseils d'administration des 350 plus grandes sociétés cotées en Grande-Bretagne a atteint 40 % pour la première fois en 2022, selon un rapport soutenu par le gouvernement britannique mardi, soit trois ans avant la date prévue.

L'amélioration de la diversité dans les conseils d'administration est devenue une priorité pour de nombreux décideurs et investisseurs qui affirment qu'un plus large éventail d'expériences améliore la prise de décision et la culture d'entreprise.

En février 2022, le FTSE Women Leaders Review, dirigé par des entreprises, a fixé aux sociétés du FTSE350 un objectif de 40 % de femmes dans les conseils d'administration et les équipes de direction d'ici 2025, contre 33 % auparavant.

Ce nouvel objectif a reçu le soutien officiel de la Financial Conduct Authority, qui réglemente les sociétés cotées en bourse, en avril 2022, l'organisme de surveillance ayant également inclus des objectifs de diversité plus larges.

La proportion de femmes dans les conseils d'administration du FTSE 350 a augmenté de près de 3 % en 2022 pour atteindre 40,2 % au 11 janvier 2023, tandis que dans les 100 premières entreprises, le FTSE 100, les femmes occupaient 40,5 % des postes au sein des conseils d'administration, contre 39,1 % en 2021, indique le rapport.

"Ces progrès sont les bienvenus et j'invite les entreprises à poursuivre sur cette lancée afin de parvenir à un meilleur équilibre dans les postes de direction ainsi que dans les salles de conseil", a déclaré Kemi Badenoch, secrétaire d'État aux affaires et au commerce et ministre de l'égalité des femmes.

Contrairement à des pays comme la Belgique et la France, la Grande-Bretagne n'a pas de système de quota obligatoire pour les femmes dans les conseils d'administration des sociétés cotées en bourse, ce qui rend les progrès plus remarquables, selon le rapport.

Il y a un peu plus de dix ans, 152 des conseils d'administration du FTSE 350 ne comptaient aucune femme. Aujourd'hui, il y a des femmes dans chaque conseil et la grande majorité des entreprises en comptent trois ou plus, ajoute le rapport.

Toutefois, la proportion de femmes occupant des postes de direction - définis comme le comité exécutif et ses rapports directs - reste en deçà de l'objectif, le FTSE 100 étant à 34,3 % et le FTSE350 à 33,5 %.