Pour commémorer le 8 mars 2017 nous avons le droit à toutes sortes d'articles, nous avons choisi celui-ci sur la parité dans les conseils d'administration les 40 % sont obligatoires, la parité et une discrimination de genre et une construction sociale sauf que c'est présenté comme un outil "égalité" mais c'est aussi devenu une norme féministe, de la représentation de sexe, l'entreprise ou les hommes refusant de se plier aux règles féministes (parité, quota sexué, objectif de féminisation,...) nous parlons souvent de ses règles féministes et leur discrimination sexuée et plus particulièrement leur discrimination masculine, donc les entreprises et personne ne respectant pas leurs règles sont considérés comme sexistes voire machistes le simple fait de critiquer les normes féministes et considérées comme être contre les femmes.

Quelques passages de l'article :

Depuis cette année, l’égalité hommes-femmes est devenue une réalité dans les conseils d’administration ou de surveillance de plus de 10 000 entreprises françaises. Du moins, une obligation. Toutes les sociétés cotées en Bourse, mais aussi toutes celles qui ne le sont pas mais emploient plus de 500 salariés et présentent un chiffre d’affaires ou un total de bilan de plus de 50 millions d’euros, doivent compter au moins 40 % de personnes du même sexe dans ces instances. La loi dite Copé-Zimmermann le leur impose.

Si un homme et viendrait à être nommés il ne peut être accepté car la loi impose une discrimination de genre sous couvert d'égalité nous avons donc de la discrimination masculine la parité n'est plus la seule dans l'univers professionnel comme éducative. Depuis cette année, la représentation de sexe hommes-femmes est devenue une discrimination d'égalitarisme dans les conseils d’administration ou de surveillance de plus de 10 000 entreprises françaises. Du moins, une obligation sexiste et discriminatoire. législatif et social. Toutes les sociétés cotées en Bourse, mais aussi toutes celles qui ne le sont pas mais emploient plus de 500 salariés et présentent un chiffre d’affaires ou un total de bilan de plus de 50 millions d’euros, doivent compter au moins 40 % de personnes du même sexe dans ces instances. La loi dite Copé-Zimmermann le leur impose.

 

Dans les grandes entreprises, la règle est plutôt respectée. S’il reste quelques moutons noirs, comme Carrefour, Renault ou Orange, qui sont en dessous du seuil, certaines font carrément du zèle. Engie atteint les 63 % de femmes, Kering 60 %, et Total 54,5 %.

 

Entrée progressivement en œuvre avec un premier seuil à 20 % en 2014, la loi a déjà bouleversé l’ordre établi. « Quand les administrateurs sont là depuis trop longtemps, ils n’ont plus de curiosité, ne posent plus de questions », explique, pragmatique, Michèle Bellon, ancienne présidente du directoire d’ERDF (Enedis), aujourd’hui administratrice de la RATP. « Les femmes sont très sensibles à leurs responsabilités. Les hommes aussi. Mais une routine s’était installée entre eux, et cette sensibilité s’était émoussée », ajoute-t-elle. « Les femmes sont plus disponibles. Elles sont nombreuses dans les comités spécialisés », ces instances du conseil chargées de questions particulières, comme l’audit des comptes ou la rémunération des dirigeants.

 

Ce PDG d’un grand groupe français apprécie la différence et ne craint pas, lui, d’affirmer que « le genre porte des spécificités de vision du monde. Les femmes adoptent moins de postures statutaires. Elles sont moins agressives, plus concrètes, plus ouvertes. Elles cherchent davantage à être utiles...

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/03/05/des-conseils-au-feminin-pluriel_5089617_3234.html#oFMsq62cfGvW0s1K.99

 

A lire également

Sia partners  Economie / Entreprises

Dans cet article nous constatons également que quand la part de femme et supérieur à 50 % ce n'est pas le même vocabulaire que quand c'est les hommes nous rappelons également que la parité et fixés à 40 % dans les conseils d'administration les 50 % sont des objectifs autres labels égalité et d'une "bonne image".

http://blog.francetvinfo.fr/oeil-20h/2016/03/08/conseils-dadministration-la-parite-a-lepreuve.html

En tant qu'actionnaire, l'Etat nomme des administrateurs pour le représenter au conseil d'administration. Sur 19 grandes entreprises, une seule décroche la palme de la parité : la Française des Jeux. Une autre décroche la palme de la féminité, c'est Engie (ex GDF Suez) avec 58% d'administratrices.

Nexter, 6% de femmes

Le bonnet d'âne de la parité revient à Nexter. Le groupement d'armement spécialisé dans les véhicules blindés n'a que 6% de femmes dans son conseil d'administration. Nexter n'a pas souhaité commenter ces chiffres. Vient ensuite Airbus Group avec 83% d'hommes et 17% de femmes. L'Etat français est actionnaire le premier actionnaire mais ce n'est pas lui qui fait la loi selon le service de presse de l'avionneur : "On n'y est pas obligé, on est un groupe de droit néerlandais".

Dans le sillage d'Airbus, le groupe Safran qui produit des moteurs d'avion est représenté par 76% d'hommes et 24% de femmes selon nos calculs. Le groupe brandit néanmoins une autre règle, celle du code de bonne conduite adopté par les grands groupes du CAC 40 : "le code nous impose 20 % de femmes dans les conseils d’administration nous le respectons, nous estimons être à 27%".

Et France Télévisions dans tout cela ? L’Etat a-t-il nommé autant d’hommes que de femmes au sein du conseil d’administration ? Nous avons comptabilisé 10 hommes et 7 femmes, soit 41% d’administratrices seulement. La parité en revanche s’applique pour le comité exécutif avec autant de patrons que de patronnes dans les directions du groupe.

Enfin combien y'a-t-il de patronnes dans les entreprises où l’Etat est actionnaire ? Nous avons dénombré 16 hommes pour 3 femmes, respectivement a la tête de France Télévisions, la Française des jeux et la Ratp. Nous sommes encore loin du compte mais selon le ministère de l’Economie, la féminisation est en marche. C’est vrai qu'avec 27% d’ administratrices fin 2015, c’est quand même mieux que 16%, chiffre de 2012. Rendez-vous dans un an pour un nouveau décompte.