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Dans cet article  nous allons montrer quelques passages de mixité professionnels :


http://www.lecese.fr/content/mixite-des-metiers-comment-lutter-contre-la-segregation-professionnelle

"C'est le cas dans le secteur de l'informatique, contraint de se tourner vers l'étranger pour recruter des compétences alors même que des marges importantes de progrès existent pour intéresser davantage de femmes à ces métiers."
 

Encore un discours de féministe en effet le fait d'avoir des femmes dans ces secteurs d'activité comme dans d'autres secteurs nous n'avons rien contre cependant appliquer des méthodes pour discriminer les hommes et les garçons dans ces secteurs pour dire ensuite égalité là nous sommes contre. En effet des mesures "égalité" enfin égalitarisme et/ou "pour femme" et de la représentation dont nous parlons assez souvent sur le site sont les mesures phares du féministe. Cependant un homme ou une femme avant d'être diplômé et après subissent également des inégalités en plus de la discrimination de sexe notamment pour les garçons et les hommes un exemple au niveau scolaire "Les filles sont plus souvent diplômées de l’enseignement supérieur que les garçons (50 %de la cohorte entrée en 6e en 1995 contre 38 %). Cela vaut quel que soit le milieu social, mais l’écart entre les filles et les garçons est moindre pour les enfants de cadres (8 points d’écart contre au moins 13 pour les autres milieux sociaux)."  Nous  parlons plus quand on parle de mixité des filles et des femmes, sans y intégrer les garçons et les hommes d'ailleurs d'autres paramètres sont à prendre en compte :  la classe sociale, les parents et plusieurs autres paramètres voir à ce sujet le rapport du CNESCO : http://www.cnesco.fr/inegalites-sociales-et-migratoires-comment-lecole-les-amplifie/ 

 Un extrait de notre rubrique scientifique :

"D’après elle, le nombre plus important d'hommes dans le domaine des mathématiques, de l'informatique, de l'ingénierie et de la physique est un fait de la vie et elle critique les initiatives récentes visant à augmenter le nombre de femmes actives dans ces domaines. Elle déclare : « Se lancer dans un processus coercitif d'ingénierie sociale afin d'équilibrer la représentation distinctive des sexes pourrait bien être la pire des discriminations. Cela sert également à entraîner des gens dans des activités qu’ils n’apprécieront pas et pour lesquelles ils 'n'ont aucun talent. »"

http://www.science.ca/scientists/scientistprofile.php?pID=10&pg=1&-table=activities&-action=list&-cursor=0&-skip=0&-limit=30&-mode=list&-lang=fr

 

La proposition du projet de loi européen http://www.vigi-gender.fr/leurope-envisage-de-preconiser-la-promotion-active-de-legalite-des-genres-a-lecole.php

 « considérant que, si les femmes disposent le plus souvent d’une formation secondaire ou universitaire, leur activité professionnelle se concentre néanmoins autour de tâches qui ont pour objet la reproduction et la continuation des structures sociales et économiques traditionnelles, et qu’il importe d’augmenter le taux de femmes dans l’enseignement technique, ainsi que dans les domaines des mathématiques, des sciences, de l’ingenierie et de la technologie« .

Un intérêt encore trop prononcé de beaucoup de femmes pour les métiers qui touchent à la vie, aux domaines sociaux, voilà donc le problème!

 

http://www.lecese.fr/content/mixite-des-metiers-comment-lutter-contre-la-segregation-professionnelle

 

"Faire progresser la mixité des métiers est donc un élément clé de notre compétitivité, à l'échelle de la Nation comme à celle de l'unité économique : les professionnels du transport, du bâtiment,""
 

"d'examiner l'opportunité et les possibilités d'introduire des mécanismes d'incitations et/ou des dispositifs contraignants de manière à ce que la mixité professionnelle soit réellement incontournable." !!!

" il n'existe que peu de métiers qui créent des contraintes physiques telles qu'ils ne puissent être proposés qu'à des hommes. "

 

La loie instaurant des quotas de 40 % va être respectée il faut noter que les entreprises sont plus ou moins obliger de les appliquer et de signer des accords "égalitaire" de représentation  et la "mode" et plus à 50 % dans les instace dirigeantes car si pas paritaire c'est inégale.

L'assemblée générale mixte des actionnaires de Société Générale  s'est tenue le 18 mai 2016 , à noter que pour l'entreprise Coface plus de 50 % de son conseil d'administration et composé de femme s'est tenue le 18 mai 2016 :

A la suite du renouvellement et des nominations d'administrateurs, 50% des membres du conseil d'administration sont des femmes dont 5 femmes nommées par l'assemblée (41,6%). Le taux d'administrateurs indépendants est supérieur à 91,6% (11/12) selon le mode de calcul du Code de gouvernement d'entreprise AFEP-MEDEF. Le conseil d'administration sera composé de 14 membres dont 2 administrateurs élus par les salariés en mars 2015 pour 3 ans

Publicis: deux nouveaux membres indépendants au conseil.

Amaury de Seze n'ayant pas souhaité se représenter, le conseil de surveillance sera désormais composé de 12 membres, dont six hommes et six femmes.

Ce n'est pas uniquement dans les conseils d'administration que des objectifs de répartition sexué ont lieu :

Banques :

http://www.fbf.fr/fr/secteur-bancaire-francais/metiers-de-la-banque/chiffres-cles/les-effectifs-et-les-metiers-bancaires

Les femmes représentent 56,5 % des effectifs en 2012, un taux en croissance depuis plusieurs années.

La part des femmes parmi les cadres croit à un rythme soutenu. On compte ainsi 44,6 % de femmes parmi les cadres en 2012, soit + 0,7 point en un an, à périmètre constant. L'objectif d'un taux de 40 % de femmes parmi les cadres pour 2010, fixé dans l'accord professionnel sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est donc largement atteint.

Le second exemple :

Les mesures prises dans l’armée de terre, en matière de fidélisation des personnels, consistant à proposer un deuxième temps de carrière dans des spécialités administratives au personnel ayant servi dans des spécialités opérationnelles, ont des conséquences sur le recrutement. L’absence de recrutement extérieur initial dans les emplois administratifs qui jusqu’ici étaient recherchés par une population à dominante féminine, comporte un risque de diminution du taux de féminisation global de l’armée de terre, si, dans le même temps, un renforcement de leur accès aux autres unités n’est pas recherché53

En février 2011, le rapport Guégot préconisait de relancer la politique d’égalité professionnelle dont les axes principaux étaient :

- la définition d’objectifs contraignants de proportion de femmes aux postes de direction ;

- la mise en œuvre de mesures concernant la gestion des ressources humaines pour favoriser les déroulements de carrière des femmes ;

 

On retrouve là la rengaine égalitariste, qui érige en système l’égalité absolue au détriment de chacun. L’enjeu n’est plus de donner à chacun les éléments pour pouvoir s’épanouir dans ses propres choix de carrière, de vie, l’enjeu devient de plaquer un système unique pour tous visant à un résultat d’égalité apparente parfaite, à base de pourcentage, au moins 40% de femmes ou d'hommes (dans les "secteurs féminins")  par métier, pour pouvoir dire qu'il y a "l’égalité" est là cette méthode et incontestable. Mais où est la liberté ? La liberté ? La flexibilité ? On prétend lutter contre un système en imposant un système qui crée également des stéréotypes et en plus de manière autoritaire en plus en pratiquant une distinction de sexe le paradoxe et que nous avons dans ces méthodes le "sans distinction" de genre féministe.

 

Comment avoir de l'objectivité quand ces méthodes ne sont pas critiqués par les premiers à en être discriminé :

"Quand les féministes se mobilisent pour venir en aide aux victimes de violences objectives, elles font leur travail. Mais quand elles étendent le concept de violence masculine à tout et à n’importe quoi, quand elles tracent un continuum de la violence qui va du viol au harcèlement verbal, moral, visuel… en passant par la pornographie et la prostitution, alors chaque femme un peu parano peut se déclarer victime – réelle ou potentielle – des hommes en général. Il est stupéfiant de voir que c’est au moment où les femmes sont en train de réussir une révolution immense que le discours féministe fait comme s’il s’agissait de fausses avancées, comme s’il n’y avait pas de différence entre les conditions féminines aujourd’hui, hier, et partout dans le monde. On met globalement en cause l’autre partie de l’humanité – tous les hommes sont des salauds. C’est une tentative d’instaurer la séparation des sexes…
Ils ( les hommes) sont tétanisés par la bien-pensance féministe et crèvent de trouille à l’idée de passer pour des machos, donc des salauds et des réactionnaires. Au moment du débat sur la parité, quiconque disait son dissentiment était flingué par les deux grands quotidiens de gauche, Le Monde et Libération. Il faut n’avoir rien à perdre pour affronter ces outrages.."

Il faut tout revoir au niveau des méthodes et pédagogie aussi bien au niveau professionnel en plus de la dernière loi "égalité" La discrimination contre les hommes un autre exemple :

"La loi Roudy du 13 juillet 1983 imposait aux entreprises de plus de 50 salarié(e)s d'établir un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes et de proposer aux commités d'entreprises de débattre sur ce thème. Ce sont des propositions qui, il faut le reconnaître, n'ont quasiment jamais été appliquées. Plus près de nous est venue, en 2001, la loi Génisson. Elle est d'une importance capitale pour les femmes qui travaillent puisqu'elle vient renforcer la loi Roudy en développant le dialogue social sur l'égalité professionnelle, laquelle devient un enjeu majeur de la négociation collective. En effet ce texte ajoute spécifiquement l'égalité professionnelle aux autres négociations. Pour ce qui est de l'application de a loi Génisson, les négociations doivent s'appuyer sur un rapport annuel de la situation comparée des hommes et des femmes à l'intérieur de l'entreprise. Ce rapport sert ainsi de base à une analyse de la situation portant en particulier sur les conditions générales d'emploi (éffectifs, durée et organisation du travail, congés, embauches et départs, positionnement professionnel, évolutions de carrières, promotions) les rénumérations, la formation et les conditions de travail. Les constats fait, la négociation doit permettre de délimiter les champs d'intervention afin d'améliorer de façon significative la parité hommes femmes, et de mettre en oeuvre des actions spécifiques. "

 

Que des actions soient menées quand il y a des problèmes de sexisme de mauvais traitements, d'écart salarial injustifié mais quand il faut faire des actions spécifiques pour avoir du 10, 20, 30 40, 50 % de quotas et des actions d'une entreprise soit limité exclusivement a "pour femme" dans les objectifs de recrutements, soutien, formation, nomination, visite,... . Que les hommes et les  femmes ont des spécificités c'est pas nouveau par contre appliqué une distinction de sexe, de genre aussi prononcé c'est également de la discrimination et du sexisme. Que des métiers soient mixtes on  n'a rien contre mais faire des mesures sexuées pour les femmes et les justifier en parlant d'égalité tout en y incluant pas les hommes ou refuser de voir les hommes comme nous discriminé car dominant là qui est stéréotypé.

Oui on peut faire de nombreuses "enquêtes" encore qu'il faut faire attention aux critères et oui la parité et ce n'est pas la seule mesure est une distinction de sexe que le nombre de femmes au parlement  ne signifie pas une égalité on confond encore égalité et mixité et on ne parle pas de méthodes pour arriver aux chiffres souhaités :

http://www.lepoint.fr/monde/l-inquietant-rapport-sur-la-place-des-filles-dans-la-societe-24-10-2016-2078261_24.php#xtor=CS3-192

Elle s'est intéressée au traitement réservé aux filles dans 144 pays du monde. Pour son classement, l'ONG a pris en compte cinq indicateurs différents : éducation scolaire, mortalité maternelle, grossesses des adolescentes et proportion des femmes au Parlement.

Et le résultat de cette étude baptisée Every Last Girl

mauvaise position qu'elle doit au non-respect de la parité au Parlement français. Nos voisins du Royaume-Uni sont quelques places devant (15e position). Comme le précise Courrier international, ce résultat est lié au taux de grossesses chez les jeunes filles et à la faible représentation des femmes au Parlement.

http://www.huffingtonpost.fr/2016/10/26/legalite-professionnelle-hommes-femmes-pas-avant-2186-selon/

"Le monde risque de gâcher un nombre alarmant de talents s'il n'agit pas rapidement pour réduire les inégalités entre les sexes, qui peuvent compromettre la croissance et priver certaines économies de possibilités concrètes de développement."

Autre constat, les femmes sont toujours moins nombreuses à avoir accès au travail. Seules 54% d'entre elles sont actives contre 81% des hommes. Mêmes inégalités pour les postes à hautes responsabilités. Paradoxal alors que "la proportion de femmes diplômées d'une université est égale, voire supérieure à celle des hommes dans 95 pays", comme l'explique Franceinfo.

La encore les enquêtes sont discutable mais comme les méthodes égalité et féministe ne peuvent être critiquer négativement quant a la scolarité Education quelques passages :

Les filles vont donc moins en séries scientifiques même si elles s’estiment très bonnes en mathématiques et diversifient plus leurs choix.

Les filles vont donc moins en séries scientifiques même si elles s’estiment très bonnes en mathématiques et diversifient plus leurs choix.

À l’âge des années lycées (15 à 17 ans), 94 % des jeunes poursuivent leurs études, dans un établissement scolaire pour la quasi-totalité des filles, dans un centre de formation d’apprentis (CFA) pour 10 % des garçons. C’est entre 18 et 25 ans que les taux de scolarisation entre filles et garçons sont les plus éloignés (respectivement 43 % et 39 %). L’écart se creuse encore si l’on compare les taux de scolarisation dans l’enseignement supérieur (respectivement 33%et 27 %). Ces différences en termes de taux de scolarisation à partir de 15 ans, soit en toute fin de la scolarité obligatoire, se traduisent en espérance de scolarisation à 15 ans : 6,8 années pour les filles dont 2,8 passées dans l’enseignement supérieur, contre 6,3 années pour les garçons, dont 2,2 dans l’enseignement supérieur. Les filles profitent donc plus que les garçons de l’allongement des études vers l’enseignement supérieur. Les meilleurs résultats des filles à l’école peuvent se mesurer à travers la plus grande précocité de leur scolarité. Elles sont moins souvent en situation de retard scolaire que les garçons et ce, quel que soit le milieu social d’origine. Ainsi, 88%des écolières entrées en sixième en 2010 étaient « à l’heure », contre 85 % des écoliers. De même, en troisième, 34 % des garçons ont accumulé du retard pour aborder le lycée, contre 27% des filles.

Combien de points de PIB ? Combien d'argent sa nous coute la non-prise en compte des hommes et garçons ? Combien ça nous coute l'égalitarisme et la répartition sexué ?... . L'humanité est composée de garçons et de fille et d'homme et de femme la première égalité et de ne pas les discriminer et sa marche pour les deux sexes contrairement à certaines pratiques.