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Voici quelques articles sur la présidentielle 2022 et son féminisme qui nous font réagir.

On retrouve ici un essai d'argumentaire féministe "Le chroniqueur mène une croisade contre l'émancipation de la moitié de l'humanité" de son ouvrage "Le Premier sexe". Il faut dire qu'aujourd'hui la liberté et l'émancipation de la moitié de l'humanité c'est l'interdiction de certaines parutions, l'interdiction de certains textes, la répartitition sexuée, les quotas, les différentes adaptations sexuées, la discrimination positive, de nouvelles normes de réussite, une nouvelle façon d'écrire,...

"les inégalités salariales sont inexistantes tout en affirmant ailleurs sans aucune cohérence que les femmes +choisissent+ d'être moins payées", poursuivent les militantes féministes." D'après le féministe c'est 27 % chiffres datant de 1997 de mémoire, elles fixent une date a partir d'une déduction pour commémore certain pourcentage, etc... . Quand il y a peu madame Pénicaut parlait de 9 % dut au stéréotype de genre c'est en gros il faut une répartition sexuée pour supprimer les écarts de salaires. Pour lutter contre les inégalités salariales que les féministes justifient quand les femmes sont devant elles appliquent les quotas, les adaptations sexués, la discrimination masculine.

"le féminisme comme horizon" définition : la discrimination masculine dans toute la société, le prisme de la femme, une société des quotas avec adaptations car tous doit être pensé ainsi, l'égalitarisme.

Bien sur tout ceci doit être applaudi

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/ca-suffit-des-elues-lfi-et-pcf-s-insurgent-contre-la-misogynie-de-zemmour-4bc5ef07cb6022b8339e4f0f225e1ff5

"Le chroniqueur mène une croisade contre l'émancipation de la moitié de l'humanité", "depuis 15 ans" et la parution" de son ouvrage "Le Premier sexe", dénoncent les députées LFI Clémentine Autain, Danièle Obono, Mathilde Panot et Bénédicte Taurine, la communiste Elsa Faucillon (PCF), l'eurodéputée Manon Aubry (LFI), l'historienne Mathilde Larrère et la militante altermondialiste Aurélie Trouvé.

Il peut par ailleurs soutenir ici que les inégalités salariales sont inexistantes tout en affirmant ailleurs sans aucune cohérence que les femmes +choisissent+ d'être moins payées", poursuivent les militantes féministes.

"Le problème n'est pas seulement Zemmour, mais les digues qu'il ouvre, la légitimité qu'il offre à tous ces discours rétrogrades", insistent les élues. "Nous appelons à la mobilisation générale autour du seul antidote réel à la zemmourisation des esprits en défense du mâle dominant: une voix qui porte haut et fort le féminisme comme horizon", ajoutent-elles.

Dans son dernier essai "La France n'a pas dit son dernier mot", Eric Zemmour écrit que "dans une société traditionnelle, l'appétit sexuel des hommes va de pair avec le pouvoir ; les femmes sont le but et le butin de tout homme doué qui aspire à grimper dans la société. Les femmes le reconnaissent, l'élisent, le chérissent".

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/presidentielle-jadot-s-engage-a-nommer-une-premiere-ministre-8afbf84f8ba1d47cb12051925d0ffcda

Le candidat EELV à la présidentielle Yannick Jadot a pris lundi l'engagement de nommer une Première ministre s'il est élu et souhaite aussi que la présidence de l'Assemblée nationale revienne à une femme.

"Je prends l'engagement de nommer une femme Première ministre. Ce que je souhaite, c'est que la présidence de l'Assemblée nationale soit tenue par une femme", a résumé sur Twitter l'eurodéputé après avoir pris ces engagements sur Franceinfo.

"Nous ferons comme au Mexique, comme dans d'autres pays +latino+, ce qu'on appelle la parité de sortie à l'Assemblée nationale: elle sera élue à la proportionnelle, ce sera 50% de femmes, 50% d'hommes dans l'hémicycle, c'est un engagement", a ajouté M. Jadot.

Valérie Pécresse pour la droite, la socialiste Anne Hidalgo et la candidate du Rassemblement national Marine Le Pen, en lice pour la troisième fois, ambitionnent de devenir en 2022 la première femme à accéder à la présidence, longtemps après la plupart des voisins européens.

https://www.causeur.fr/matignon-pourquoi-se-contenter-dune-femme-231592?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=da85757feb-Newsletter_4_fevrier_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-da85757feb-57363449

En effet, Emmanuel Macron voudrait nommer une femme. C’est du moins ce que déclarait Clément Beaune, Secrétaire d’État aux Affaires européennes sur BFMTV, lundi.

Soyons honnêtes, cette instrumentalisation des femmes n’est pas l’apanage d’Emmanuel Macron. C’est la première chose qu’a dite Valérie Pécresse après sa nomination comme candidate au Congrès des Républicains. Je suis une femme, comme c’est moderne ! Anne Hidalgo a également essayé d’en jouer pendant la campagne. Et vous verrez que bientôt des femmes politiques ou leurs partisans nous expliqueront que leurs mauvaises performances s’expliquent par le machisme qui règne dans le monde politique…

On peut évidemment nommer une femme à Matignon. Ce n’est bien sûr pas la nomination d’une femme qui pose problème en soi, mais cette affirmation que le président chercherait une femme par principe. C’est humiliant pour les femmes, et c’est d’ailleurs paradoxal, car si les femmes sont les égales des hommes – ce dont tout le monde est convaincu – pourquoi y aurait-il une façon féminine de gouverner ?

Depuis les années 90 de nonbreuses entreprise penser en termes de quota début 2000 s'est arrivé en politique aujourd'hui cest le nombre de femme et la prochainne mesure quota ou limitation des hommes qui fait votre succès. Justement on pourrait s'intéroger sur les dites politiques menés depuis un peu plus de 30 ans. On arrrive a limiter les postes, les recrutements les formations en fonction du genre

"Allez au bout de vos rêves et rien ne doit freiner le combat pour la place des femmes dans notre société." 

La place des femmes dans la société et allez au bout de vos rêves cela fait penser aux pays nordiques c'est pays pratique la discrimination positive depuis de nombreuses années. Ainsi la société doit être régie selon les quotas et adaptations pour les femmes. Les pays nordiques ne sont pas en retard dans l'éducation féministe et on constate (France tv) qu'il leur faut des quotas dans les recrutements, les entreprises, les formations, en politique, etc,... . S'il suffirait de mettre une femme premier ministre malheureusement on sait  que les quotas ne vont pas être illégale que la discrimination positive ainsi que les lois prismes de la femme vont continuer.

Nous ne sommes pas contre la nomination et pour être honnête avec un homme ça serait identique nous ne critiquons pas la personne nous critiquons les méthodes et la narration. Par exemple sur madame Cresson le fait que ce soit une femme est plus important que la politique menait. Le féministe est une structure totalitaire qui ne c'est pas s'adapter cela fait plus de 30 ans qu'on a des lois genrés dans de nombreuses fonctions, Assemblé nationale, Sénat, texte législatif, les recrutements sont régis selon le féminisme mais leur en faut plus tous les ans et on a plus le droit de les contredire. Si le critère était le sexe un parti comme le RN  a eu des têtes d'affiches femmes alors que l'électorat était plutôt considéré comme masculin. Le machisme est convainu d'une supériorité de l'homme sur la femme, le féministe dit que discriminait une fille ou une femme est négatif par contre discriminée un homme ou un garçon et positif, c'est des lois quotas, la moralisation quota, une éducation nationale féministe, des réseaux dans tous les domaines, il existe aucune différence entre les sexes sauf pour les filles et les femmes, elle utilise la misandrie pour justifier leur norme, etc... . Vous comprendrez que l'on rejette ces deux idéologies.

https://www.boursorama.com/bourse/actualites/france-macron-nomme-elisabeth-borne-une-techno-de-gauche-a-matignon-91dad8d5f7563809aaa3e2180dee6fc6

Le profil d'Elisabeth Borne correspond au portrait-robot qu'avait esquissé Emmanuel Macron : une personnalité féminine disposée à mettre en haut de la pile les dossiers sociaux, écologiques et productifs.

La nomination d'une femme à Matignon est une rupture dans l'ère Macron, qui a élevé l'égalité femmes-hommes au rang de grande cause nationale, nommé des gouvernements paritaires mais placé des hommes aux principaux ministères et aux postes-clés comme la présidence de l'Assemblée nationale et la direction du parti présidentiel.

Dans une interview au Journal du Dimanche, Edith Cresson disait souhaiter "beaucoup de courage" à la future Première ministre, fustigeant le "machisme de la classe politique" française.

Sur BFM TV, cette pionnière a salué lundi "un très bon choix". "Il était largement temps quand même!", a-t-elle lancé.

Dans son discours, Elisabeth Borne lui a rendu hommage avant de s'adresser "à toutes les petites filles" : "Allez au bout de vos rêves et rien ne doit freiner le combat pour la place des femmes dans notre société."