Le cinéma

Le cinéma est souvent attaqué car stéréotypé et sexiste toutefois tout voire comme discrimination ou sexiste peut être une caricature un peu rapide :

Il existe des réseaux de femmes tel que : Smart girls, Writers Lab, Pacific Standard   

La nudité est souvent attaquée voire le cas récent de la série Game of thrones mais on peut également se souvenir de la scène de l'interrogatoire de Basic Instinct qui avait fait polémique. Une sélection d'affiche sur la nudité  représentation identique :

http://cineday.orange.fr/actu-cine/dossier-cine/10-affiches-qui-osent-le-nu-CNT000000eat3c/photos/

D'après le magazine Forbes, l'acteur le mieux payé d'Hollywood  Robert Downey a engrangé 80 millions de dollars l'an dernier, près de 30 millions de dollars de plus que l'actrice la mieux payée, Jennifer Lawrence (52 millions de dollars).

1. Robert Downey Jr. — 80 millions de dollars
2. Jackie Chan — 50 millions de dollars
3. Vin Diesel — 47 millions de dollars
4. Bradley Cooper — 41.5 millions de dollars
5. Adam Sandler — 41 millions de dollars
6. Tom Cruise — 40 millions de dollars
7. Amitabh Bachchan — 33.5 millions de dollars
8. Salman Khan — 33.5 millions de dollars
9. Akshay Kumar — 32.5 millions de dollars
10. Mark Wahlberg — 32 millions de dollars

Si on parle de rentabilité c'est l'acteur Harrison Ford qui arrive en tête 4.71 milliards : https://fr.news.yahoo.com/cinema-harrison-ford-acteur-le-plus-rentable-histoire-152430271.html

Pour les séries Télévisées c'est une femme qui est en tête quand on ne parle pas de sexisme cela dépend du sexe en tête ? Suivant le genre, l'intérêt portait à la série ou film et la capacité de l'acteur ou l'actrice à remplir les salles ont également une influence sur la rémunération à lire également http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2015/10/21/coup-de-pub-feministe-chez-les-actrices-de-hollywood-271139.html#more

En  2013  http://www.purebreak.com/news/sofia-vergara-un-meilleur-salaire-que-les-hommes-au-classement-des-acteurs-de-tv-les-mieux-payes/67789

http://www.staragora.com/news/top-10-des-actrices-de-series-les-mieux-payees-kaley-cuoco-et-sofia-vergara-au-top/51

Le classement 2017 du top 10 des acteurs les mieux payés :

http://lifestyle.boursorama.com/pop-culture/top-10-des-acteurs-les-mieux-payes-en-2017/

"Établi selon les revenus perçus entre l’été 2016 et à l’été 2017, il démontre que le talent n’est pas toujours là où on le croit, ou qu’il n’est pas toujours rémunéré comme on le pense."

"Pour les cinéphiles amateurs de grands rôles et de chef-d’oeuvre du 7e art, le classement peut surprendre. En effet, ce ne sont pas des acteurs de génie et/ou oscarisés qui figurent dans le top 3, mais des hommes souvent cantonnés à des rôles stéréotypés. "

C'est deux passages sont également valable pour les femmes que se soit pour le talent comme pour "les rôlles stéréotypés"

"Ce que montre aussi ce classement, c’est que les actrices continuent d’être bien moins rémunérées que les acteurs. Emma Stone, comédienne la mieux payée du moment, a touché 26 millions de dollars… Elle reste donc très loin des 68 millions de dollars empochés par Mark Wahlberg. À titre de comparaison, les dix actrices les mieux rémunérées en 2017 ont amassé 172,5 millions de dollars au total, contre 488,5 millions de dollars pour leurs collègues masculins."

Les hommes ne gagnent pas le même salaire, les femmes c'est pareil le type de film, le nombre d'entrée, plusieurs paramètres font le salaire d'un acteur ou d'une actrice Hollywood adopte également des normes féministes  par exemple la représentation de femme et le rôle de la femme dans les films d'action. Sur le salaire l'égalitarisme voudrait un salaire car même métier cependant  c'est un égalitarisme sexué.

 

http://madame.lefigaro.fr/societe/les-7-chiffres-effarants-des-stereotypes-homme-femme-au-cinema-020915-97996

Ce fin observateur a scruté les bandes-annonces des cinq films les plus vus en France de novembre 2013 à mai 2014. Parmi les 58 trailers recensés, ceux d'American Bluff, Le Loup de Wall Street, 12 years a slave, Hunger GamesLes gazelles, Rio 2, Robocop ou encore Yves Saint Laurent. Le but ? Relever et comptabiliser qui, de la femme ou de l'homme, rit, crie, frappe, conduit la voiture ou encore réalise le film... Une expérience en apparence saugrenue mais instructive qui met en lumière le rôle du cinéma dans le renforcement des stéréotypes de l'homme viril et fort et de la femme douce qu'il faut protéger.

L'étude se concentre que sur 58 trailers il serait plus intéressant de faire une étude plus large avec les autres catégories de film voir série télévisée féminine (héroïne féminine) et leur représentation des hommes.  Si on se base sur deux films comme 50 nuances de grey ou  Magic Mike XXL qu'elles sont les équivalents cinématographiques pour un public masculin ?

 

Qui répend ou defend des stéréotypes :

http://www.aufeminin.com/evenement/dans-le-coeur-des-femmes/top-30-films-pour-filles.asp

http://www.elle.fr/Societe/News/Jacky-aux-royaume-des-filles-un-film-qui-denonce-les-stereotypes-2661158 (en applicant des stéréotypes et un "résumé" simpliste)

http://www.aufeminin.com/culture/album916042/notre-top-30-des-films-pour-filles-0.html#p9

Un article qui explique pourquoi les reboots tournés à la sauce féminine de franchises sorties en 2017-18 (Ocean's Eight, Sos Fantôme etc...) n'ont pas trouvé leur public tant d'un point de vue marketing que filmique :

https://medium.com/@matthewkadish/why-all-female-reboots-do-not-work-storycraft-5d5b6658dfa

http://seriestv.blog.lemonde.fr/2015/10/27/supergirl-un-beau-plaidoyer-post-feministe/#xtor=RSS-32280322

http://fabiusmaximus.com/2015/10/29/castle-future-of-marriage-family-90098/ Le mariage et ses évolutions. La représentation de l'homme dans la série ?

https://fabiusmaximus.com/2020/02/06/birds-of-prey-review/

"Hollywood no longer even tries to make good films. Birds of Prey is dreck. Its target audience is women of all ages who enjoy seeing women beat up men. Past films have shown this to be a big market in America, so expect to see more of these."

"Of course most of the reviewers love her: she is fourth-wave feminism in action: rule-breaking, selfish, purposeless, and violent."

“Women have a lot to be angry about: harassment, pay inequality, bad boyfriends – and that list is barely a black-glitter-nail-polish scratch on the surface of our grievances. …I just kept wishing the movie could be wittier as it goes about its vengeful business.”
— Stehanie Zacharek at TIME. Like Harley Quinn and other fourth-wave feminists, she sees only her side. With no awareness of, let alone empathy for, the problems of men. Victimhood defines feminist critics’ world view, and gives them belief in their moral superiority."

"The film gives us the now-familiar Hollywood story showing evil men, women’s anger, and feminist solidarity. Plus the usual hyper-graphic violent fight scenes in which outnumbered women easily beat up much larger and more-experienced men – because grrl-power. Without getting a scratch, aided by the men who generously don’t use guns. They look like dances. This is not a film for anyone who feels empathy for the male cops, male guards, and bystanders (men, women, children) injured or killed in Birds’ fun fights and chases."

“YAY for girl power! …To add to the female dominance, BIRDS OF PREY is directed by Cathy Yan and written by Christina Hodson. Two of the producers are Robbie and Sue Kroll – so take that all of you Academy members who won’t nominate women!”
— Jeanne Kaplan at Kaplan vs. Kaplan.

https://www.causeur.fr/hollywood-series-servante-ecarlate-feminisme-148129

https://fr.cinema.yahoo.com/post/140680117858/les-10-meilleurs-films-f%C3%A9ministes-pour-la-journ%C3%A9e

https://fabiusmaximus.com/2017/07/06/scary-next-steps-in-the-gender-revolution/

https://fabiusmaximus.com/2019/12/20/review-rise-of-skywalker/

"Contrast the portrayal of the women in Skywalker – sexless outfits, boring demeanor – with that of the men. The actresses are prisoners of the canons of socialist realism theater. Daisy Ridley’s flat affect is boring (not as bad as Brie Larson in Captain Marvel, quite unlike Gal Gadot in Wonder Woman).” I suspect critics applaud Ridley’s performance for political reasons. Politics dominates many of the reviews (see below). But Oscar Isaac as Poe and John Boyega as Finn are macho, showing a wide range of expressions. This, of course, reflects the film’s writing and direction, not the relative appearances or skills of the actors and actresses."

https://fabiusmaximus.com/2019/03/07/review-battle-angel-alita/

"Alita isn’t Cameron’s first empowered heroine. Previously he has helped bring to life two of the most popular heroines in modern science fiction: Ellen Ripley in in Alien and Sarah Connor in The Terminator.

Despite Alita’s heroism and her producer’s track record, feminist viewers panned the movie as sexist. In hindsight, they would probably reject Cameron’s earlier heroines if he released them today, for similar reasons.

For example, Alita, Ripley and Sarah all have limitations and failures. Ripley’s superiors don’t believe her story of aliens. Everyone thinks Sarah is insane (including her son in Terminator 2). The other hunter-warriors laugh at Alita when she tries to recruit them to fight Grewishka (which gives her another similarity to Luke in his first movie. His friends often find his inexperience annoying). New feminist heroes have to be perfect, and they have to always win. Wonder Woman and Rey never lose at anything, and the upcoming Captain Marvel probably won’t either."

https://fabiusmaximus.com/2019/09/20/review-of-ad-astra/

"Much of Hollywood’s energy these days goes to attacking masculinity. Books with strong male heroes are fixed to make them broken characters, as Peter Jackson does to Aragorn in The Lord of the Rings."

"A staple of critics reviews is dissatisfaction with the role of women in the film. All films must portray full-bore socialist realism with a 40%-40% role for cisgender men and women. Anything else means that the women’s roles are “underwritten” (used so often it must be F4 on the critics’ keyboard)."

https://fabiusmaximus.com/2017/12/19/the-last-jedi-feminism-and-screw-up-guys/

https://fabiusmaximus.com/2019/12/04/women-superheroes-are-cinderella/

"Summary: Women superheroes are moving to full equality with men. Yet they have very different stories. This is a clash of women’s dreams and their costs, the first of many more to come. The results will help shape America."

"Male superheroes often pay a severe price for the responsibilities their bear.

  • Superman lives a life pretending to be Clark Kent, a pitiful beta, without the benefits of his powers. It is like wearing a hair shirt.
  • Bruce Wayne lives as Batman, without the benefits of his wealth. His vigilante work means endless suffering.
  • Spiderman gets beaten up a lot, and cannot have a normal life.
  • The Shadow lives a life seeking redemption, burned with memories of his sins as a criminal.
  • Cyclops of the X-Man lives in fear that his uncontrollable eye beams will kill bystanders and who has (like Batman) trained himself to inhuman levels.
  • Some men are transformed into monster-defenders, such as the Thing, the Hulk, and Swamp Thing.
  • Some are broken. Iron Man became an alcoholic. Ant Man (Hank Pym) became a wife-beater.

James Bond suffers in most of the Ian Flemming’s books. He usually experiences some combination of being shot, tortured, and beaten up . This is in the tradition of the hardboiled detective stories, paying a personal price as they defend society in the dark."

"Now women are joining the game. But seeking the wish-fulfillment aspects of superheroes but not the burdens and costs. That is the pattern of feminism. The obvious example is marriage. In traditional marriages, a man supported his wife and children. Modern marriage is hypergamy in action: a women professional or executive marrying a man with higher income (if possible).

Another example is the work world. Women want their aggregate pay to be that of men, but do not do the physically demanding, dangerous, and sometimes hazardous jobs. For details see fake news about the “wage gap”, and the real gender gap.

The extreme clash for women between dreams and costs will be in the next shooting war, as the women in combat begin returning as cripples or in body bags. Of the 6,967 military deaths in OCO/GWOT operations (through 3/19)149 have been women – mostly during the early years of the war. The lies told by the military about the injury and capture of Jessica Lynch show their concern about the public’s reaction (they described her as Rambo, she did not fire a shot)."

"Conclusions

We are in the midst of a giant experiment in social engineering. Gender roles are socially determined, complex, and change over time. How our society evolves will depend on how women resolve the inevitable contradictions. We are in unknown territory, with few precedents."

https://fabiusmaximus.com/2019/05/31/godzilla-2019-the-king-of-modern-monster-films/

It is unisex. Men and women dress alike, mostly in drab grey and blue. They talk and act alike (the script need not distinguish between male and female roles). The women look like the men, except for the faces and hair. But except for the one Asian woman (the beautiful Ziyi Zhang, age 40), they appear quite plain. There is no appeal to the evil “male gaze.” The only marriage mentioned ended in divorce – due, of course, to the man’s behavior (drunkenness and fleeing his responsibilities). Half of the key roles are women, including scientists and senior soldiers. Plus the obligatory androgynous-looking hyper-competent 15-year-old girl with a unisex name.

https://fabiusmaximus.com/2019/03/08/review-of-captain-marvel/

"A question for those how have seen or will see the film: if Captain Marvel was a man, would they have to change a single line of dialog? What does that mean for her as a role model for girls? Is it progress that girls as well as guys grow up loving power fantasies – films about domination? Unlike those written for boys, these written for girls focus on domination of boys."

"Despite its often over-the-top go-grrl message, many criticize the film for being insufficiently feminist (“80 minutes into this formulaic Marvel flick, with surprisingly, barely a hint of progressive feminist attitude…”)."

"Fourth wave feminism is the quest for superiority, not equality. To test for it, reverse the genders. If the result is sexist, its 4th wave.

  • “For most of Captain Marvel it’s the female characters who save the day (fine!), while the male figures are either dressed down or neutered…” — Christian Toto at Hollywood in Toto.
  • “Carol’s discovery of her power and besting over the men in her life is good.” — Kristen Lopez at Fansided.

Some critics forget that this is fiction: “given that she’s the first woman to be charged with the duty of saving this cinematic universe, I for one totally support her avenging.” — Dana Stevens at Slate."

https://fabiusmaximus.com/2018/04/13/role-models-in-film-for-men/

https://www.zonebourse.com/KERING-4683/actualite/Kering-WOMEN-IN-MOTION-A-5-ANS-28550034/

La collaboration de Women In Motion avec Stacy L. Smith débutera à Cannes, à l'occasion d'une table ronde menée par la chercheuse, et se poursuivra pour 9 mois de recherche sur la thématique de la représentation des femmes au cinéma et leur reflet dans les médias.

« Notre partenariat avec Women In Motion et Kering est une opportunité sans précèdent de faire avancer l'inclusion et l'égalité de manière significative dans le cinéma, en particulier dans sa représentation dans les médias. Ensemble, nous pouvons impliquer à nos côtés des acteurs clés du secteur pour développer et mettre en œuvre des solutions concrètes qui permettront un changement profond et durable. »

https://fabiusmaximus.com/2019/08/02/review-of-hobbs-and-shaw/

An important point, emphasized by many of the critics – do not worry, PC gender norms are observed in the film. The women kick ass as well as the men, and are both smarter and more mature. For example, the women are the hackers (as usual in film-world). When the men act as fools, women set them straight. Dads are bad guys; moms are the voice of reason. And, also as usual in film-world, the women initiate first kisses.

The three leads are opposites. US Diplomatic Service agent Hobbs (Dwayne Johnson) lives a middle-class life in LA. He plays the role like he is channeling a friendly Conan the Barbarian. Debonair but cranky criminal (retired?) Shaw (Jason Statham) enjoys a luxury lifestyle in London, because crime pays well in this film. MI-6 agent Hattie (Vanessa Kirby) is the standard action girl. As usual for these, she dresses like a guy, but with a cosmetic-heavy beautiful face. She does a lot with a shallowly-written role.

The minor male characters are the plot’s butt-monkeys. The minor women characters are wise, powerful, and competent.

https://www.causeur.fr/forme-de-l-eau-oscar-critique-toro-149966

Ce film est un exemple-type de l’inclusion rider, cet addendum que les plus crétins des acteurs et actrices (y compris Frances McDormand, qui a profité de son Oscar de meilleure actrice, dimanche dernier, pour s’en faire le promoteur) voudraient faire ajouter à tous les contrats désormais : une expression inventée en 2016 par deux femmes, une spécialiste de communication, Stacy Smith, et une avocate des droits civiques, Kalpana Kotagal. Il s’agit d’une clause visant à établir une juste représentation des femmes et des minorités dans les films.

https://fabiusmaximus.com/2018/03/24/review-of-pacific-rim-uprising/

Like many or most films these days, the women are clearly better in every way than the men. It is an oddity that the women are not running the show (perhaps they will in the sequel). In some films the superiority of the women followers is ludicrously large over their male leader (e.g., Percy Jackson & The Olympians).

https://fabiusmaximus.com/2019/07/02/review-from-spiderman-far-from-home/

"Hollywood gives relentless attention to the gender politics of its film. SFFH hits the standard tropes. The guys are mostly dorks of various kinds, even Spiderman and Nick Fury. Some get the occasional moments of competence (most radically, Spiderman in the climactic battle). Most of the time we laugh at them. But the girls are brave, smart, and aggressive. Following Hollywood’s iron rule, all first kisses are initiated by the girl. When the kids are in danger, the girls’ boldness and aggression save them.

The exception is, as usual, the villain. My youngest son pointed this out to me: the role models for men in modern films are the villains. They show poise, pride, commanding presence, take no crap from anybody, and seek independence. Our society is shit, so they rebel. The epitomize an insight of the great Russian Nikolay Chernyshevsky: “the worse, the better.” Who else in most modern films would a boy of spirit seek to imitate? I saw a similar dynamic when I worked in Buffalo’s inner city. The heroes admired by the young were, quite rationally, pimps and drug kingpins. Best to live fast and die young with pride. I suspect that Crazy Horse and Geronimo would have understood."

https://fabiusmaximus.com/2018/05/06/a-review-of-tully/

 

https://www.causeur.fr/netflix-tue-musclor-maitres-de-l-univers-206880?utm_source=Envoi+Newsletter&utm_campaign=4785814685-Newsletter_4_fevrier_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_6ea50029f3-4785814685-57363449

"La première duperie concerne le titre et le sujet de l’histoire : si He Man fait un retour tonitruant dans le premier épisode, c’est pour mourir dès la fin de cet épisode ! Une fois évacué rapidement notre guerrier bodybuildé, nous ne le verrons qu’à la fin de cette première série, au paradis, en version frêle Adam : il revient momentanément sur Eternia, pour être cette fois-ci lamentablement achevé par son ennemi, sans avoir pu faire usage de son épée dont le pouvoir ne semble plus lui répondre. Impuissant, dépressif, Adam/HeMan ne semble servir dans la série que pour avouer son échec dans la vie et passer le flambeau à Teela, la vraie héroïne. Les producteurs nous servent donc une héroïne féminine (aucun problème à cela puisque les nombreux fans d’He Man l’étaient aussi dans les années 80 de She Ra, sa contrepartie féminine) : mais elle s’avère aussi irritante et mal conçue que la Rey des derniers Star Wars. Rappelons d’abord aux scénaristes woke qu’humilier le héros masculin et le faire passer à Canossa n’est pas le meilleur moyen, en creux, de forger une héroïne féminine. Pour poursuivre leur idéologie woke, peut-être devraient-ils façonner leurs propres histoires, leurs propres héroïnes, au lieu de se livrer à la désacralisation de toutes nos icônes (Skywalker dans Star Wars, He Man dans les Maitres de l’Univers) !"

"Afin de donner quelques éléments de satisfaction aux fans historiques, la série explore aussi les secrets de l’univers Eternia. Par un détour au paradis des guerriers, on découvre la lignée des détenteurs de l’épée de Grayskull, les ancêtres d’Adam/HeMan. Étant donné le physique d’Adam, on aurait pu s’imaginer une cohorte de géants blonds aux yeux bleus. Las, on apprend que tout un chacun peut finalement recevoir le pouvoir de Grayskull, mais surtout des membres de communautés identifiées, noirs, indiens, etc… L’homme blanc est le seul d’ailleurs à ne pas assumer sa virilité, puisqu’alors que les autres He Man demeurent au paradis sous leur forme de guerrier surpuissant, notre He Man blanc a lui revêtu la forme du simple Adam, par choix (castration ?)."

https://fabiusmaximus.com/2018/12/21/mary-poppins-shows-us-how-weve-changed-since-1964/

Feminists will see no bad gender stereotypes in Returns. The mother is dead, so there is no pro-natalist influence on the young audience. The women are all smart, strong, competent – and single. They are role models for the 21st century.

Returns also shows an important difference between Hollywood productions in 1964 and today. The original overflowed with witty dialog. There is little in Returns, mostly exposition. The film lurches from one musical set piece to another with little between (much as Lord of the Rings was stripped down to the battle scenes). This makes Returns feel like an empty treat – like cotton candy. The songs and choreography are fun but forgettable. It is a film for a shallow America, a people disconnected from their history (which our reformers despise) and values (which our reformers also despise)

https://www.boursorama.com/boursoramag/actualites/james-bond-revient-pour-sauver-le-monde-et-le-cinema-a9bb39f6ec2dbefb6e392a97b2fd57a9

"Afin de répondre aux critiques sur le sexisme de certaines oeuvres de la franchise, l'actrice et scénariste Phoebe Waller-Bridge ("Fleabag") a été mise à contribution pour améliorer la représentation des femmes dans "Mourir peut attendre"."

https://www.causeur.fr/cinema-le-festival-des-cons-185535

"Des hommes en trop. Ce n’est pas le titre d’un film, mais la chronique, qui risque bien de devenir ordinaire, de la vie des réalisateurs français. Dans le cadre de la campagne promotionnelle de leur dernier film, Effacer l’historique, les cinéastes Gustave Kerven et Benoît Delépine accordaient un entretien à l’hebdomadaire Marianne. « Un tel film est-il facile à produire ? » leur demande le journaliste. Le film est une comédie, les acteurs sont populaires, nos budgets sont limités, la chose est donc aisée, répond en substance Kerven. Intervient alors Delépine qui, sans crainte, met les pieds dans le plat : « On a quand même failli subir un gros problème puisqu’une chaîne de télévision associée à la production a retiré sa participation quinze jours avant le tournage. — Pour quelles raisons ? interroge le critique. — Parce que nous ne sommes pas des réalisatrices… La chaîne avait des quotas à respecter et on se retrouvait en trop dans le camp des mâles. »"

"En novembre 2018, Delphine Ernotte, la présidente du groupe, annonçait pour 2020 l’instauration de « quotas pour les femmes réalisatrices ». Or, il faut savoir que la « France compte le plus grand nombre de réalisatrices de longs métrages en Europe » et que « les projets déposés par les femmes sont plus souvent soutenus que ceux déposés par les hommes » par la commission de l’avance sur recette du Centre national du cinéma. Ces données ont été rendues publiques lors d’une table ronde organisée par le CNC lui-même en avril 2018, intitulée « Femmes et cinéma : la relève ». Quelle conclusion en était tirée ? Non que le combat était gagné, mais qu’il fallait plus que jamais « continuer à agir ». L’objectif est donc explicite : le mot « relève » est à entendre en son sens le plus fort, celui de – on s’y risquera – « grand remplacement », et très exactement de destitution des hommes par les femmes. "

 

https://fabiusmaximus.com/2018/12/27/romance-is-dying/

“Film is equally sterile and chaste. Leading men are more likely to wear face paint and capes than tuxedos or cowboy hats, and starlets jockey for ‘transgressive’ roles as tattooed, gun wielding action heroes, rather than brides-to-be or even femme fatales.

Editor’s note: Gender roles are increasingly reversed by Hollywood. For example, women hitting men(the men passively taking it), andwomen almost always being the one to initiate kisses. In Hollywood reality, women love faint-hearted betas – not bold alphas. Not so in the real world.

"There are many songs expressing the true love of feminist women! These sentiments cannot be said by men. That would be toxic masculinity."

 

https://fabiusmaximus.com/2018/06/30/review-of-oceans-8/

The one major guy in the plot is a weasel, and not very bright (his stupidity carries the plot at a key point). Sandra Bullock threatens him, and he bows before her righteous anger (as guys always do in modern films, since it is wrong to hit girls who attack you).

https://fabiusmaximus.com/2018/06/17/review-of-incredibles-2/

"Elastigirl steps out from the shadow of Mr. Incredible, resuming her career as a solo heroine. She is omnicompetent and uniformly awesome. Also, women are the only voices of authority in the film (even as teenagers). Guys’ commands and advice are ignored."

https://fabiusmaximus.com/2018/11/02/christian-films-show-the-feminist-revolutions-power/

"The radical feminists have won. They control almost all the major institutions in America, and powerfully influence those they do not control (e.g., the military and higher appellate courts). The have begun the equivalent of the last stage of battle: the pursuit of a broken enemy to crush the remnant of opposition – and consolidate their victory.

Dalrock has chronicled the conquest of conservative Protestant Christian institutions by feminists. In this article he shows the extent of their victory: films advocating divorce as a casual tool by wives to enforce their will on husbands. They have inverted the biblical concept of the husband’s headship over his family to make him a servant (see his posts).

As usual in America, films are a mirror showing how we have changed. As Americans, our amnesia – living in the present, ignorant of our past – makes us unaware how much we have changed. See these films as markers on the path to a new America, tributes to our careless apathy about America. See the trailers at the end of this post."

https://fabiusmaximus.com/2018/12/23/review-of-aquaman/

“Please let us continue the tradition of telling stories about men who proudly don’t care about anything thrust into positions of power and authority purely by dint of birthright. I mean, as long as they have some smart, dedicated, noble-minded women around to support them and guide them and show them the way to wise manhood, that’s fine, right? Like, maybe some women who have been working toward whatever lofty goals the man will eventually ‘achieve’ even though he’s just arrived on the scene and, as previously noted, couldn’t give a shit about the things they will now step aside and let him take all the credit for.”

— “Deep blah sea” by MaryAnn Johanson at Flickfilosopher. She nails it.

How many films have you seen where the woman is far better – in most or all ways (especially intelligence) – than the male lead?

  • Princess Lea would have made a better Jedi than her twin brother Luke, who was a doofus at the start.
  • In Ant-Man and the Wasp, the Wasp was stronger both intellectually and morally than Ant Man.
  • In Black Panther, T’Challa’s younger sister, Shuri, would have made a better Black Panger (ruler of Wakanda) than T’Challa.
  • The nameless Valkyrie is an Einstein compared to Thor in Thor: Ragnarok. – and would better rule the survivors of Asgard.
  • Wonder Woman rightly says in Justice League, her partners are like children to her.
  • Mera would make a better ruler of Atlantis than Aquaman. She kicks ass with the best of them – with no weapons, simple weapons, or using her magic powers. And she is smart.

In all of these films, there is a moment in which the female lead visibly wonders “why am I not running this show?” Look at their plots. The big male heroes (and often the villains) are guys with too much testosterone, thinking with their balls and their fists, whose motives a 16-year old girl would consider crude. The bad King of Atlantis is a moron. It does not occur to his testosterone-poisoned brain to reveal Atlantis to the surface world – and trade their superior tech for a cleaner ocean. Like most dumb-ass superhero protagonists, Aquaman stumbles his way to success without a glimmer of intelligence (except for one scene totally out-of-character with the rest of the film – in which he shows extraordinary knowledge of ancient history).

Do not assume that the Social Justice Warriors who run Hollywood produce these unaware. Unawoke. They show us a world ruled by toxic masculinity. Fortunately, there are glimmers of a better future world. For example, in films and on TV men almost never initiate kisses. Momoa’s acting tour de force is Aquaman, the brew-swilling bruiser,  bewildered – like a shy virgin (what do I do now?) – when Mera kisses him. Women initiate kisses in films and TV. This must baffle teenage boys, future incels, waiting – politely, respectfully – in vain for girls to kiss them.

https://fabiusmaximus.com/2018/03/06/film-review-of-red-sparrow/

"Many critics shared Puchko’s condemnation of Red Sparrow‘s violation of political correctness. This is quite daft, since the film is a feminist parable. The pitch to the studio was probably “Let’s do a Cold War spy flick version of The Last Jedi!” Lawrence plays Rey, but without the Mary Sue. Their thick ideological blinders prevented most critics from seeing this. Red Sparrow is an addition to the growing genre of female killers, along with Atomic Blonde and La Femme Nikita. And female super-spies, such as Angelina Jolie in Salt (2010) — which has themes similar to that of Red Sparrow.

Unfortunately, the films loses its momentum as the go girl theme becomes dominant.  In every confrontation between Lawrence and a guy, she wins. Sometimes by intimidation. Sometimes by force. Sometimes by deus ex machina, because She intervenes. The film’s conclusion is foreordained: grrl-power triumphant. As usual in films and on TV (but unlike life), she initiates all kisses, and is more sexually aggressive than her CIA boyfriend."

"There are two ways to show the hero’s exceptional strength in fiction. First, by showing strength greater than the average or more-than-average other characters. Second, by diminishing the other characters. Red Sparrow does the latter. The key male characters lose IQ points during the film as if they’re swilling mercury instead of vodka. In a key scene near the end, the 41-year old master spymaster acts like a smitten teenage boy."

https://fabiusmaximus.com/2018/04/16/review-of-new-lost-in-space-2018/

"This show is useful not just as a snapshot of modern American, but allows a comparison showing how we have changed. In the original series (1965-1968), John Robinson was the family patriarch. A brilliant scientists, physically and morally strong, brave, and a good father. His wife was beautiful, intelligent, warm, wise, and compassionate. Netflix has taken almost all of John’s strengths (except courage) and shifted them to Maureen – in addition to her original strengths (which included courage). She is now super-awesome. She even has humility and grace. She apologizes to her husband when she did not take his good advice. She congratulates him when he does something well (e.g., driving backwards very fast)."

"I occasionally talk to young men about the young women they see in films and TV shows. That is, about the characters portrayed – not the actresses. These women tend to be athletic, beautiful, intelligent, self-reliant (“I can take care of myself”), and kick-ass (the new Lost In Space “is all about the badass ladies“). They are the exemplars of what our parents and schools seek to produce."

http://madame.lefigaro.fr/celebrites/maiwenn-bizarrement-on-a-un-peu-moins-damis-quand-le-succes-survient-100817-133569

Maïwenn, actrice et réalisatrice, qui a obtenu en 2011 le prix du Jury au Festival de Cannes pour le film Polisse, déclare à Madame Figaro :

Je suis anti-mouvement féministe et je trouve absurde ce débat récurrent autour du manque de réalisatrices en sélection au Festival de Cannes. Je n’aimerais pas qu’un jour un individu soit sélectionné pour son sexe et non plus pour la qualité de son film. Il y a moins de femmes en compétition tout simplement parce qu’il y a moins de réalisatrices que de réalisateurs. Ce métier fait appel à des hormones très masculines, et quand je suis sur mon plateau, c’est comme si mon côté féminin était remisé au placard. Mais je n’ai jamais été confrontée à des financiers qui ne voulaient pas produire mon film sous prétexte que j’étais une femme.

 

 

Sur le film Wonder Woman,, quelques passages :

https://fabiusmaximus.com/2017/06/05/causes-of-rising-hatred-in-america/

“So, to all the men complaining that a couple screenings of Wonder Woman exclude them, I say this: just shut up. Women have had to deal with the bullshit of non-representation for generations, and we will probably keep having to deal with it for generations to come. …Any man who doesn’t respect that doesn’t understand what Wonder Woman’s been fighting for all these years.
 

“As for the frisson of male outrage – that’s all too expected, not to mention the product of gluttonous entitlement. Just as reverse racism is structurally impossible, so too is reverse sexism: many – though not enough of us – understand that the world is organized so as to buttress the power of white heterosexual men. You cannot be discriminated against in a world that is made for you.”
 

Belief in universal right — human rights — has transformed western societies during the past two centuries. They have not become Heaven or utopia, but have displayed rapid progress toward social justice on a scale — in both space and time — seldom seen in history. In America that has meant fantastic breakthroughs in rights for women and African-Americans, pushing back against generations of sexism and racism.

This has meant special programs for women, even as women students caught up with and then surpassed male students. For African-Americans, the quest for integration has been to some extent replaced by demands for black-only spaces. As seen at Evergreen College in Washington, quite violent demands (see a gentle description of this fascinating story, and a more explicit one at USA Today). And social justice warriors demand increasingly severe changes to US society, using the government’s power vast power to convince or compel.

The quest for special rights for these and other oppressed groups appears never-ending. As seen — on a small scale in the Wonder Women screenings — the quest for human rights has been replaced by new goals. Now the Left seeks social justice through social engineering. As part of this the great civil rights have been retconned, given new meanings directly opposite to their original intent. Prohibition of discrimination by gender or race becomes authorization for special treatment by gender or race.

 

Il serait anormal de parler de cinéma et de féministe sans mentionner l'actrice Emma Watson et de proposer un petit rappel :

http://hommelibre.blog.tdg.ch/apps/search/?s=watson

"À propos de vulnérabilité elle ne parle pas au nom des centaines de milliers d’hommes sans domicile fixe (la population masculine représente le 83% des situations les plus préoccupantes en France), des suicides masculins – environ 80% d’hommes en occident, pour ne citer que ces deux situations de grande vulnérabilité."

"Emma Watson reste dans le communautarisme féministe, dans l’humanitaire de genre."

"Votre interlocutrice gagne certainement beaucoup plus que des millions d’hommes dans le monde. Elle peut s’offrir des palaces, des villas, des yachts…, quand ces derniers se tuent au boulot pour faire vivre leur famille. Est-ce parce que Emma Watson est une femme que seule la moitié féminine de la planète l’intéresse ? S’investir uniquement dans la cause des femmes est un communautarisme ; défendre celle des deux sexes est un humanisme."

Un exemple d'action de l'actrice : ONU femme et l'université

 

 

Récemment une idée a fait son apparition celle de quota dans le financement du cinéma en fait les femmes ne représentent pas 50 % dans la réalisation des films et récompense c'est le moment de mettre en oeuvre des mesures non discriminate.

Cette action nous a fait penser aux déclarations de Louis-Jean Cornier quand il a répondu une journaliste qui lui demandait s’il était pour ou contre la parité hommes-femmes dans les festivals de musique  :

« A priori, je suis contre, car je veux qu’on fasse passer l’art avant le sexe. (…) Du côté de la technique, ce que je veux, c’est avoir la meilleure équipe possible. Mais on n’est pas proche de l’équité parce que les techniciennes n’ont pas beaucoup d’expérience... »

Après bien évidenment le tribunal sociétale le renoncement  :

« … j’ai l’air d’un gros mononc débile et arriéré (ndla: personne vieux jeu au Québec). Tous les gens qui me connaissent savent que je ne suis pas ce gars là, que je suis pour la parité homme-femme point. (…) Mais je sous-estime à quel point je fais partie des plus privilégiés de ce monde : je suis un homme blanc hétérosexuel. »

En lire plus : http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/03/17/excuses-no-excuses-290798.html#more

 

Cette idée de parité et de financement féminin avance l'idéoligie féministe dans le cinéma se renforce :

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/parite-et-egalite-francoise-nyssen-prete-a-conditionner-les-aides-publiques-ed62a3fe55fc371391bbbab81aabf8ce

La ministre de la Culture Françoise Nyssen a annoncé dimanche à Cannes être "prête" à ce que les aides publiques versées dans le secteur du cinéma "soient conditionnées à des objectifs en matière de parité et d'égalité salariale".

"Je crois à la nécessité des incitations, des quotas: quand les choses ne changent pas d'elles-mêmes, c'est à nous de les faire changer", a dit Françoise Nyssen.

Dans le cadre du 71e Festival de Cannes, la ministre participait dimanche matin à une conférence pour la promotion de l'égalité femmes-hommes et la lutte contre le harcèlement sexiste, dans le prolongement du mouvement #MeToo.

Françoise Nyssen souhaite organiser un vaste débat public sur ces sujets dans le 7e Art, qualifiant le harcèlement sexiste et l'inégalité femmes-hommes de "réalités indignes de notre modèle de société, de notre démocratie, de la sphère artistique et de notre République".

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Montee-des-marches-feministe-au-festival-de-Cannes--26574430/

Quatre-vingt-deux actrices, réalisatrices ou productrices ont monté samedi les marches du Palais des Festivals de Cannes pour réclamer plus de parité et de transparence dans le cinéma, point de départ de l'onde de choc de l'affaire Weinstein.

"Les femmes ne sont pas une minorité dans le monde et pourtant notre industrie dit le contraire.

"Nous mettons au défi nos institutions pour organiser activement la parité et la transparence dans les instances de décision et partout où les sélections se font", a-t-elle ajouté.

En 71 éditions et 1.645 films, le festival de Cannes n'en a sélectionné que 82 réalisés par des femmes.

http://www.legorafi.fr/2019/02/04/cesar-marlene-schiappa-sinsurge-contre-labsence-de-femmes-dans-la-categorie-meilleur-acteur/

Cette absence totale de femmes dans la liste n’a pas manqué de faire réagir Marlène Schiappa : « Comme d’habitude, au lieu de se montrer avant-gardiste en matière de lutte contre le sexisme, la France a décidé de céder au patriarcat le plus rance ».

Marlène Schiappa a également fustigé le choix du genre masculin pour désigner aussi bien les César que les films : « Il serait temps de féminiser ces noms afin que l’égalité soit totale ». 

https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/05/11/festival-de-cannes-2019-des-films-et-enfin-davantage-de-femmes_5460781_3246.html#xtor=AL-32280539

"Un signe de l’évolution des mentalités accélérée notamment par l’action du Collectif 50/50 pour 2020."

"Mais aux responsables du Collectif 50/50, think tank français créé début 2018 afin de promouvoir l’égalité et la diversité dans l’industrie du cinéma. « Il voulait nous dire qu’il dévoilerait plus tard, avec nous, les statistiques genrées collectées lors du processus de sélection », confie la productrice Judith Nora, l’une des fondatrices du groupe."

Et ça aboutie :

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/l-academie-des-cesar-promet-la-parite-dans-ses-instances-bfcc8331321b119bb9b8fd7698b970df

"Les nouveaux statuts prévoient qu'avant septembre, tous les membres votants de l'Académie, soit quelque 4.300 personnes, pourront se porter candidats ou voter pour désigner leurs 170 représentants au sein d'une nouvelle assemblée générale, laquelle élira, pour un mandat de deux ans renouvelable une fois, le nouveau conseil d'administration de l'association, ainsi qu'un tandem femme/homme pour sa présidence."

"Ces nouveaux statuts vont permettre de réaliser la parité intégrale au niveau des membres élus de l'AG, du CA, du Bureau et de la présidence de l'association", a déclaré l'Académie dans un communiqué."

 

Un autre exemple sur cette idée de parité :

https://www.lemonde.fr/culture/article/2019/02/03/cinema-la-berlinale-s-engage-pour-la-parite-et-cela-se-voit-dans-sa-selection_5418538_3246.html#xtor=AL-32280539

"la Berlinale s’engage pour la parité et cela se voit dans sa sélection"

"Les réalisatrices seront représentées à un niveau inédit au sein de la compétition : 7 des 17 films en compétition, soit 41 % des œuvres, ont été réalisés par des femmes. Avec respectivement 14 % et 5 % en 2018, Cannes et Venise font pâle figure."

« Les débats de l’année dernière nous ont ouvert les yeux et quand les yeux sont ouverts, vous prenez des décisions différentes », explique à l’AFP M. Kosslick à propos des mouvements #MeToo contre le harcèlement sexuel et #TimesUp visant la discrimination sexuelle dans le secteur du divertissement. Mais, assure le directeur, « on ne l’aurait pas fait si les films avaient été mauvais ».

"Pour la responsable du groupe « Women and Hollywood », Melissa Silverstein, cette importante part de réalisatrices tombe d’autant mieux qu’aucune femme ne figure parmi les nominés aux Oscars du meilleur film ou réalisateur. Dans ce contexte, les festivals sont, selon elle, essentiels pour assurer la diversité du secteur : un festival « permet de se faire remarquer, qu’on en parle dans les journaux du monde entier. Les gens verront votre film et les acheteurs et autres programmateurs le verront ». Sera ainsi signé durant la Berlinale un engagement de parité, non contraignant, que Cannes, Venise et d’autres grands festivals ont déjà paraphé."

 

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Cinema-Le-festival-de-Berlin-s-engage-pour-l-egalite-hommes-femmes--27989612/

"Nous avons encore beaucoup à faire pour parvenir à l'égalité entre les hommes et les femmes", a ajouté le patron de la Berlinale, qui a signé samedi une charte en faveur de la promotion des femmes dans le monde du cinéma.

Par cette charte, la Berlinale s'engage à retenir davantage de femmes dans la composition de ses jurys, de ses sélections de films mais aussi parmi le personnel oeuvrant à son organisation.

 

https://www.boursorama.com/boursoramag/actualites/cannes-couronne-feminisme-et-jeunesse-avec-julia-ducournau-7dd6f71f4fd00defdbada7ac4fec6895

Plus largement, à l'image d'une industrie travaillée par les évolutions sociétales, les films cannois, dans la compétition et au-delà, ont fait souffler un vent frais : le féminisme est omniprésent, des réalisateurs s'en sont emparé, et les relations lesbiennes par exemple ont désormais toute leur place.

 

Toujours plus de contrôle après le cinéma, les séries TV, les émissions un nouvel article vous retrouver les postures classiques il faut dire que de la part de la Fondaton des femmes c'est féminsiteland France :

https://www.ladepeche.fr/2021/08/26/interview-70-des-200-videos-les-plus-vues-sur-youtube-contiennent-au-moins-un-stereotype-genre-sinquiete-sylvie-pierre-brossolette-9752091.php

la Fondation des femmes, un tiers des vidéos les plus vues sur YouTube présentent une "image dégradante" des femmes. Sylvie Pierre-Brossolette, journaliste et membre de la Fondation des femmes

Il en ressort un constat alarmant : 70% des vidéos YouTube étudiées contiennent au moins un stéréotype genré et 25% de ces vidéos contiennent des scènes de violence ou propos violents (qu'ils soient verbaux, psychologiques ou physiques). On a également observé que les hommes dominent complètement la situation : ce sont eux qui détiennent les premiers rôles. Malheureusement, ces vidéos rencontrent un public, donc il y a de la curiosité malsaine quelque part, voire une certaine forme d'adhésion. Si les personnes n’aimaient pas, elles ne regarderaient pas ces productions.

Nous considérons que ces images humiliantes pour les femmes font le lit des violences dans la société. Cela montre une image biaisée des rapports entre les sexes et fournit ainsi des modèles sociaux catastrophiques au jeune public (18-24 ans), d'autant plus que ce sont eux qui regardent le plus ce type de vidéos. Il se trouve qu’il y a beaucoup de clips musicaux mais bien d'autres vidéos également. Si ces personnes ne prennent pas au second degré ces contenus, ils risquent de s’identifier aux personnes puis de reproduire les modèles qui sont à l’image (ex: le mâle dominant et la femme dominée). Cela commence par des stéréotypes, cela continue par du sexisme puis par des images dégradantes et cela peut finir par des féminicides. C’est à prendre tout à faire au sérieux, ce n’est pas anecdotique. 

Ce ne sont que des hébergeurs donc ils sont seulement astreints de surveiller tous les contenus haineux, terroristes, l’incitation à la haine ou encore la protection des mineurs. Ils pourraient faire quelque chose sur l'image des femmes mais pour l’instant rien ne les oblige. La Fondation des femmes propose des mesures comme l'autorégulation de ces plateformes qui devront respecter un certain nombre de principes vis-à-vis des femmes. 

Le CSA régule l'audiovisuel classique, c'est-à-dire la télévision et la radio. Il a deux autres missions concernant le numérique : la haine en ligne et la protection des mineurs. Nous suggérons comme proposition qu’il y ait désormais un troisième sujet, celui de l’image des femmes. Je pense pour le moment que c’est un rêve mais bon, il faut bien commencer !

 

"le collectif 50/50, en pointe sur les questions d'égalité" l'égalitarisme sexué positif et l'idéologie féministe ensemble  le cinéma est déjà la cible du féministe car il produit un contenu qui doit être contrôlé dans sa réalisation, création, son financement, son recrutement, etc... .

https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/cannes-fait-la-part-belle-au-cinema-americain-et-aux-realisatrices-50497de46ad363200c00b4f32647335b

- Plus de parité -

Cette dernière est la première femme à présider le festival, qui envoie cette année le signal qu'il compte avancer un peu plus sur le long chemin de la parité.

Thierry Frémaux a souligné le "nombre jamais atteint" de réalisatrices qui concourent pour la Palme d'Or, remporté seulement deux fois par des femmes: elles seront six sur les rangs, contre cinq l'an dernier.

"C'est encourageant de voir qu'il y a des progrès, mais on adorerait arriver un jour à la parité", a réagi auprès de l'AFP le collectif 50/50, en pointe sur les questions d'égalité.

 

Une conclusion plus souriante :

http://www.slate.fr/story/108067/seins-arme-ultime#xtor=RSS-2

Le théatre :

https://www.causeur.fr/la-culture-subventionnee-est-lavant-garde-du-wokisme-230430

Pour sa première saison lilloise, il promet de revisibiliser les femmes, de démasculiniser le théâtre, de combattre les stéréotypes de genre, d’ouvrir son théâtre à la diversité, etc. Il a par conséquent invité « trois femmes engagées » à jouer un spectacle supposé battre en brèche « les certitudes d’une société hétéronormée » et intitulé “Viril”.